Cette fois, c'est le Dr Thomas Cowan, auteur du récent livre "Le mythe de la contagion", qui révèle un nouveau scandale sur le virus.
Seules des cellules rénales empoisonnées de singe ont réussi à
'cultiver' le 'virus'
Par Tom Cowan
Traduit par Apolline
Cette semaine, ma collègue et amie Sally Fallon Morell a attiré
mon attention sur un article surprenant publié par le CDC en juin
2020. Le lien vers cet article est ici.
Le but de cet article rapporte qu'un groupe d'une vingtaine de
virologues voulait décrire l'état de la science dans l'isolation,
la purification et les caractéristiques biologiques du nouveau virus
SARS-CoV-2 et de partager cette information avec d'autres
scientifiques pour leurs recherches personnelles. Une lecture
intégrale et soigneuse de ce papier important révèle de choquantes
découvertes.
Tout d'abord, dans la section intitulée "Séquençage
complet du génome', nous voyons qu'au lieu d'isoler le virus et de
séquencer le génome d'un bout à l'autre, ils ont trouvé 37 paires
de base provenant d'échantillons non purifiés à l'aide du test
PCR. Ce qui veut dire qu'ils ont examiné 37 des approximativement
30.000 paires de base prétendument appartenir au génome du virus
intact. Ils ont ensuite pris ces 37 segments et les ont mis dans un
programme informatique, qui a complété le reste des paires de base.
À mon avis, cette étape de création assistée par ordinateur
constitue une fraude scientifique. Voici une équivalence :
un groupe de chercheurs prétend avoir découvert une licorne parce
qu'ils ont trouvé un morceau de sabot, un crin de la queue et un
petit bout de corne. Ils ajoutent ensuite cette information dans un
ordinateur et le programment pour recréer une licorne et ils disent
ensuite que cette recréation informatique est une vraie licorne. Ils
n'ont bien sûr jamais vu la licorne et n'ont donc pu examiner son
identité génétique pour comparer leurs échantillons avec les
vrais éléments de crin, sabot et corne de la licorne.
Les chercheurs ont déclaré qu'ils ont décidé quel était le
vrai génome du SARS-CoV-2 par un "consensus", en quelque
sorte par un vote. Encore une fois, différents programmes
informatiques sortiront avec différentes versions de la "licorne"
imaginaire, ils se mettent donc d'accord dans le groupe et décident
que c'est la véritable licorne imaginaire.
La découverte majeure vient plus
loin dans l'étude, découverte si choquante que j'ai dû la lire
plusieurs fois pour croire ce que je lisais. Laissez-moi citer le
passage dans son intégralité :
"Pour cela, nous avons examiné la capacité du SARS-CoV-2
à infecter et se répliquer chez plusieurs primates communs et dans
des lignées cellulaires humaines, comme
les cellules d'adénocarcinome humain (A549), les
cellules de foie humain (HUH 7.0) et les cellules
embryonnaires de rein humain (HEK-293T). Et aussi les
cellules Vero E6 et Vero CCL81… [la lignée cellulaire vero
est issue de cellules de rein venant d'un singe vert africain] Chaque
lignée cellulaire a été inoculée à forte dose et examinée
sur 24 heures. Aucun effet cytopathique [changements pathologiques de
la cellule] n'a été observé dans une quelconque lignée cellulaire
à l'exception des cellules Vero, qui ont fait une "pousse"
de 10 puissance 7 en 24 heures. En revanche, les cellules HUH 7.0
[foie humain] et 293T [rein humain] n'ont montré qu'une modeste
réplication virale et les cellules A549 [adénocarcinome humain]
se sont avérées incompatibles avec une infection à SARS-CoV-2."
Que signifie en fait ce jargon et pourquoi est-ce la déclaration
la plus choquante de toute la communauté virologiste ? Quand
des virologues tentent de prouver l'infection, ils ont trois "hôtes"
ou modèles possibles sur lesquels tester. Le premier, ce sont les
êtres humains. Exposer des humains n'est généralement pas fait
pour des raisons éthiques et n'a jamais été pratiqué avec le
SARS-CoV-2 ou un autre coronavirus. Le deuxième hôte possible, ce
sont des animaux. En oubliant quelque peu qu'ils n'ont jamais utilisé
de virus purifié quand ils exposent des animaux, ils se servent de
solutions qui selon eux contiendraient le virus. Une exposition à
des animaux a été réalisée une fois avec le SARS-CoV-2, lors
d'une expérience sur des souris. Dans un groupe de souris
génétiquement modifiées, un nombre statistiquement insignifiant a
perdu des poils. Elles n'ont rien montré s'apparentant à une
maladie nommée Covid 19.
La troisième méthode qu'utilisent les virologues pour prouver
une infection et une pathogénie – méthode la plus courante –
est l'inoculation de solutions contenant le soi-disant virus sur
diverses cultures de tissus. Comme je l'ai souligné plusieurs fois,
une telle inoculation n'a jamais été démontrée comme tuant le
tissu, à moins qu'on n'ait affamé et empoisonné ce tissu.
Ce qui est choquant dans la citation ci-dessus, c'est qu'en
utilisant leurs propres méthodes, les virologues ont
découvert que les solutions contenant le SARS-CoV-2 – même
en grande quantité – N'ONT PAS, je répète, N'ONT
PAS infecté les trois cultures de tissu humain testées.
En bon français, cela signifie qu'ils ont prouvé, selon leurs
modalités, que ce "nouveau coronavirus" n'infecte pas les
êtres humains. Il n'infecte que les cellules rénales de singe et
seulement quand on ajoute au mélange deux puissants médicaments (la
gentamicine et l'amphotéricine), réputés toxiques pour les reins.
Mes amis, relisez ceci encore et encore. Ces virologues, publiés
par le CDC, ont produit une preuve claire de l'innocuité du
SARS-CoV-2 pour les humains. C'est la seule conclusion possible,
mais, malheureusement, ce résultat n'est même pas mentionné dans
leur conclusion. Ils disent simplement qu'ils peuvent fournir des
stocks de virus cultivés sur des cellules de singe Vero, nous leur
en sommes gré.
Si les gens ont vraiment compris comment cette "expérience"
a été faite, j'espère qu'ils vont prendre les portes d'assaut et
exiger l'honnêteté, la transparence et la vérité.