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27 décembre 2015
27 octobre 2015
Les crapauds
Hommage à ces précieux petits collaborateurs de nos jardins et potagers, qui inspirent souvent de la répulsion.
Une chanson entendue dans mon enfance qui date de la fin du 19ème siècle, écrite par Marc Legrand et composée par Victor Meusy.
Alain Souchon l'a reprise dans son album "À cause d'elles".
Des souvenirs pour certains d'entre vous ?
Pour les paroles, vous les trouverez ICI.
Une chanson entendue dans mon enfance qui date de la fin du 19ème siècle, écrite par Marc Legrand et composée par Victor Meusy.
Alain Souchon l'a reprise dans son album "À cause d'elles".
Des souvenirs pour certains d'entre vous ?
Pour les paroles, vous les trouverez ICI.
25 septembre 2015
L'air de valse le plus joué
Très célèbre depuis 1994, mais il date de 1902. Il est joué 1,8 milliards de fois par jour et environ 20.000 fois par seconde. Le reconnaitrez-vous ?
12 avril 2015
27 mars 2015
Une musique spécifique pour les animaux
Nous humains sommes très sensibles à la musique, pourquoi les animaux n'y réagiraient-ils pas ?
Mais un singe ne réagira pas à la même musique qu'un chat. Des chercheurs ont mis au point des sons spécifiques pour des espèces différentes. Il y en a des exemples dans l'article ci-dessous, mais ne pouvant importer les pistes musicales, vous devrez cliquer sur le lien en fin d'article pour les écouter.
Est-il facile d'appréhender la musique et dans quelle mesure les animaux l'appréhendent-ils ?
C'est une question que s'est posée le compositeur de musique David Teie, en émettant une théorie globale appelée musique spécifique aux espèces, qui tente d'expliquer le processus cognitif qui a cours dans la compréhension et l'appréciation de différentes musiques pour chaque espèce.
Teie a fait équipe avec Charles Snowdon, psychologue à l'université de Wisconsin-Madison qui étudie le comportement animal, pour créer de la musique à laquelle chaque espèce répondrait d'une manière unique. Ils ont d'abord étudié l'effet de la musique de David sur des singes tamarins, donnant une première étude contrôlée qui démontrait des réponses importantes et appropriées à la musique par une espèce autre qu'humaine.
Et c'est maintenant au tour des minets.
Les chants prévus pour les félins ont des vocalisations plus coulées et davantage de changements de ton comparé à l'expression ou à la musique pour humains.
Les tempos du mélange de miaulements de Teie comprennent des ronronnements et le bruit de succion de chatons qui tètent.
Les chansonnettes pour chaton, les ballades pour chats et les airs félins - comme on nomme les diverses mélodies - ne sont pas juste des bruits de chats. C'est "de la vraie musique avec des thèmes, des répétitions et des variations", a expliqué Snowdon au National Geographic.
Des extraits musicaux pour d'autres animaux ICI.
Mon chat Hermès qui dormait à quelques mètres de l'ordinateur a orienté ses oreilles quand j'ai mis en route la musique pour chat (1er extrait). Expérience à renouveler quand il sera plus près...
Mais un singe ne réagira pas à la même musique qu'un chat. Des chercheurs ont mis au point des sons spécifiques pour des espèces différentes. Il y en a des exemples dans l'article ci-dessous, mais ne pouvant importer les pistes musicales, vous devrez cliquer sur le lien en fin d'article pour les écouter.
Ils ont créé une musique pour les chats et c'est étrangement beau
Est-il facile d'appréhender la musique et dans quelle mesure les animaux l'appréhendent-ils ?
C'est une question que s'est posée le compositeur de musique David Teie, en émettant une théorie globale appelée musique spécifique aux espèces, qui tente d'expliquer le processus cognitif qui a cours dans la compréhension et l'appréciation de différentes musiques pour chaque espèce.
Teie a fait équipe avec Charles Snowdon, psychologue à l'université de Wisconsin-Madison qui étudie le comportement animal, pour créer de la musique à laquelle chaque espèce répondrait d'une manière unique. Ils ont d'abord étudié l'effet de la musique de David sur des singes tamarins, donnant une première étude contrôlée qui démontrait des réponses importantes et appropriées à la musique par une espèce autre qu'humaine.
Et c'est maintenant au tour des minets.
Les chants prévus pour les félins ont des vocalisations plus coulées et davantage de changements de ton comparé à l'expression ou à la musique pour humains.
Les tempos du mélange de miaulements de Teie comprennent des ronronnements et le bruit de succion de chatons qui tètent.
Les chansonnettes pour chaton, les ballades pour chats et les airs félins - comme on nomme les diverses mélodies - ne sont pas juste des bruits de chats. C'est "de la vraie musique avec des thèmes, des répétitions et des variations", a expliqué Snowdon au National Geographic.
Pour tester la musique, Snowdon a visité 47 différents foyers avec des chats en faisant jouer deux airs de musique classique et deux airs spécifiquement composés pour les chats.
Les chats ont répondu plus positivement aux compositions personnalisées en s'approchant plus rapidement du haut-parleur ou en venant s'y frotter qu'en entendant les autres airs, selon l'étude publiée en février dans le journal Applied
Animal Behavior.
Écoutez les extraits musicaux ICI.
[Il est dit que le premier extrait peut être d'une grande aide pour des
chats traumatisés ou vivant dans des refuges en leur procurant un effet calmant.]
Mon chat Hermès qui dormait à quelques mètres de l'ordinateur a orienté ses oreilles quand j'ai mis en route la musique pour chat (1er extrait). Expérience à renouveler quand il sera plus près...
23 janvier 2015
Les oiseaux de passage
Georges Brassens a mis en musique un passage de ce très long poème de Jean Richepin.
Ô vie heureuse des bourgeois
Qu'avril bourgeonne
Ou que décembre gèle,
Ils sont fiers et contents
Ce pigeon est aimé,
Trois jours par sa pigeonne
Ça lui suffit il sait
Que l'amour n'a qu'un temps
Ce dindon a toujours
Béni sa destinée
Et quand vient le moment
De mourir il faut voir
Cette jeune oie en pleurs
C'est là que je suis née
Je meurs près de ma mère
Et je fais mon devoir
Elle a fait son devoir
C'est a dire que oncques
Elle n'eut de souhait
Impossible elle n'eut
Aucun rêve de lune
Aucun désir de jonque
L'emportant sans rameurs
Sur un fleuve inconnu
Et tous sont ainsi faits
Vivre la même vie
Toujours pour ces gens là
Cela n'est point hideux
Ce canard n'a qu'un bec
Et n'eut jamais envie
Ou de n'en plus avoir
Ou bien d'en avoir deux
Ils n'ont aucun besoin
De baiser sur les lèvres
Et loin des songes vains
Loin des soucis cuisants
Possèdent pour tout cœur
Un viscère sans fièvre
Un coucou régulier
Et garanti dix ans
Ô les gens bien heureux
Tout à coup dans l'espace
Si haut qu'il semble aller
Lentement un grand vol
En forme de triangle
Arrive plane, et passe
Où vont ils? ... qui sont-ils ?
Comme ils sont loin du sol
Regardez-les passer, eux
Ce sont les sauvages
Ils vont où leur désir
Le veut par dessus monts
Et bois, et mers, et vents
Et loin des esclavages
L'air qu'ils boivent
Ferait éclater vos poumons
Regardez les avant
D'atteindre sa chimère
Plus d'un l'aile rompue
Et du sang plein les yeux
Mourra. Ces pauvres gens
Ont aussi femme et mère
Et savent les aimer
Aussi bien que vous, mieux
Pour choyer cette femme
Et nourrir cette mère
Ils pouvaient devenir
Volailles comme vous
Mais ils sont avant tout
Des fils de la chimère
Des assoiffés d'azur
Des poètes, des fous
Regardez les vieux coqs
Jeune Oie édifiante
Rien de vous ne pourra
Monter aussi haut qu'eux
Et le peu qui viendra
d'eux à vous
C'est leur fiente
Les bourgeois sont troublés
De voir passer les gueux
Ô vie heureuse des bourgeois
Qu'avril bourgeonne
Ou que décembre gèle,
Ils sont fiers et contents
Ce pigeon est aimé,
Trois jours par sa pigeonne
Ça lui suffit il sait
Que l'amour n'a qu'un temps
Ce dindon a toujours
Béni sa destinée
Et quand vient le moment
De mourir il faut voir
Cette jeune oie en pleurs
C'est là que je suis née
Je meurs près de ma mère
Et je fais mon devoir
Elle a fait son devoir
C'est a dire que oncques
Elle n'eut de souhait
Impossible elle n'eut
Aucun rêve de lune
Aucun désir de jonque
L'emportant sans rameurs
Sur un fleuve inconnu
Et tous sont ainsi faits
Vivre la même vie
Toujours pour ces gens là
Cela n'est point hideux
Ce canard n'a qu'un bec
Et n'eut jamais envie
Ou de n'en plus avoir
Ou bien d'en avoir deux
Ils n'ont aucun besoin
De baiser sur les lèvres
Et loin des songes vains
Loin des soucis cuisants
Possèdent pour tout cœur
Un viscère sans fièvre
Un coucou régulier
Et garanti dix ans
Ô les gens bien heureux
Tout à coup dans l'espace
Si haut qu'il semble aller
Lentement un grand vol
En forme de triangle
Arrive plane, et passe
Où vont ils? ... qui sont-ils ?
Comme ils sont loin du sol
Regardez-les passer, eux
Ce sont les sauvages
Ils vont où leur désir
Le veut par dessus monts
Et bois, et mers, et vents
Et loin des esclavages
L'air qu'ils boivent
Ferait éclater vos poumons
Regardez les avant
D'atteindre sa chimère
Plus d'un l'aile rompue
Et du sang plein les yeux
Mourra. Ces pauvres gens
Ont aussi femme et mère
Et savent les aimer
Aussi bien que vous, mieux
Pour choyer cette femme
Et nourrir cette mère
Ils pouvaient devenir
Volailles comme vous
Mais ils sont avant tout
Des fils de la chimère
Des assoiffés d'azur
Des poètes, des fous
Regardez les vieux coqs
Jeune Oie édifiante
Rien de vous ne pourra
Monter aussi haut qu'eux
Et le peu qui viendra
d'eux à vous
C'est leur fiente
Les bourgeois sont troublés
De voir passer les gueux
22 décembre 2014
Interlude musical
Après le yaybahar (voir ICI), voici un autre instrument original, des "gamelles" musicales qui, sous les doigts de David Charrier, offrent une mélodie bien sympathique...
18 novembre 2014
Deux démonstrations musicales
1. Une interprétation qui a du piquant
Prenez un orchestre de chambre, par exemple l'orchestre de chambre national du Danemark et faites manger un morceau de piment fort (Habanera) à chacun des musiciens au milieu d'une interprétation (ici "Tango Jalousie"). Voilà ce que cela donne...
2. Des sons et vibrations originaux qui sortent de l'instrument créé par Görkem Sen, le Yaybahar. Cordes, ressorts et tambours. Écoutez :
Prenez un orchestre de chambre, par exemple l'orchestre de chambre national du Danemark et faites manger un morceau de piment fort (Habanera) à chacun des musiciens au milieu d'une interprétation (ici "Tango Jalousie"). Voilà ce que cela donne...
2. Des sons et vibrations originaux qui sortent de l'instrument créé par Görkem Sen, le Yaybahar. Cordes, ressorts et tambours. Écoutez :
12 juillet 2014
L'expérience d'après-vie de Wolfgang Amadeus Mozart
Une
anecdote trouvée ICI, une sorte d'hommage à la musique de Mozart,
que j'ai trouvée suffisamment originale pour vous la traduire. Le
titre original de l'article en anglais est "Wolfie"
(petit nom affectueux pour Wolfgang...)
Mozart meurt le 5 décembre 1791,
cinq minutes avant une heure du matin, à l'âge de trente-cinq ans.
(…) Les raisons de sa mort restent inconnues. Il était alors obèse
et alité.
(…) Le
service funèbre se déroule, sans messe ni musique, dans la chapelle
du Crucifix, une chapelle latérale de la cathédrale St Étienne de Vienne. Le corbillard conduit la dépouille à
la tombée de la nuit au cimetière Saint Marx, dans la banlieue de
Vienne, dans un des seize caveaux d'un « tombeau communautaire
simple », conformément aux règles d'inhumation viennoises,
dit un seul auteur. Il fut en fait enterré, de l'avis général des
ouvrages de référence, dans une fosse commune ordinaire; une fosse
pouvant contenir seize corps avec des couches de terre par rangées
de quatre selon le Dictionnaire Mozart, au tarif le moins cher, 8
florins et 36 kreutzers, comme la majorité des classes moyennes.
Être enterré dans une fosse commune n'avait rien d'inhabituel.
L'Empereur avait imposé une loi en ce sens, pour éviter que les
Viennois ne se rendent aux cimetières et ramène en ville des
maladies. (Extraits de Wikipédia)
L'expérience d'après-vie de Wolfgang
Amadeus Mozart
Je me souviens trop bien être en train
de regarder deux gars balancer sans cérémonie mon corps dans une
fosse commune, juste au-dessus d'autres cadavres pourrissants. Ils
ont répandu de la chaux sur moi pour hâter le processus de
décomposition. Quel choc ! Quel affreuse vision pour moi !
Il va sans dire que je n'ai pas traîné
dans le coin après. Ce n'était pas comme s'il y avait des centaines
d'amis en deuil pleurant ma mort. Tous, sauf mes créanciers,
semblaient avoir oublié le grand Mozart, le génie et l'enfant
prodige. Je me demandais, où sont-ils maintenant ? Comment
ont-ils pu m'oublier si vite ?
Constance, ma femme, était submergée
par le désespoir et elle en arriva presque dangereusement à
détruire toute ma musique. En mourant je ne lui avais rien laissé
sauf mes dettes de jeu. Elle voulait se venger. Elle voulait me faire
du mal, bien que je sois déjà mort et à l'abri de sa vengeance.
![]() |
Constance |
Après les funérailles elle est restée
assise toute seule dans notre minable appartement à boire verre
après verre du vin bon marché que je gardais caché. Malheureuse et
hypnotisée par le maigre feu qui crépitait devant elle, la colère
qu'elle ressentait pour moi brûlait dans son âme et sa haine pour
moi la consumait.
Elle s'est soudain dirigée vers mon
secrétaire et a hâtivement attrapé des piles de partitions. J'ai
paniqué. Elle n'allait sûrement pas brûler ma musique. Mon esprit
a crié vers elle. Elle semblait si déterminée. Il a fallu toute
mon énergie pour l'arrêter. Sa colère passée, elle est tombée
par terre en sanglotant, tenant dans ses bras ma musique.
Je me souviens toujours des premiers
temps quand elle a commencé à m'aimer. Comme son rire était
agréable. J'étais alors le centre du monde pour elle.
13 février 2014
Edith Piaf
Je me suis toujours demandée comment une voix pareille pouvait sortir d'un si petit bout de femme...
"Les trois cloches" (avec les Compagnons de la chanson):
"Hymne à l'amour"
"Exodus"
"Le roi a fait battre tambour"
"Mon légionnaire" (qui sentait bon le sable chaud..)
"Les trois cloches" (avec les Compagnons de la chanson):
"Hymne à l'amour"
"Exodus"
"Le roi a fait battre tambour"
"Mon légionnaire" (qui sentait bon le sable chaud..)
25 décembre 2013
La Cathédrale
Une composition du grand guitariste paraguayen Agustin Barrios, peu connu en France, qui pensait être la réincarnation d'un chef indien guarani du 16ème siècle.
C'est le cadeau que Vieux Jade et moi-même vous offrons aujourd'hui. Vous pourrez lire quelques informations sur cet homme en allant chez VJ.
C'est le cadeau que Vieux Jade et moi-même vous offrons aujourd'hui. Vous pourrez lire quelques informations sur cet homme en allant chez VJ.
21 août 2013
14 août 2013
MK Ultra (Muse)
Eyael a traduit les paroles d'une chanson de Muse. Les images du clip sont bien choisies.
MK Ultra
Étant "retirée de la musique" depuis un sacré bout de
temps, j'ai découvert Muse via le site de David Icke où, sur les forums,
la polémique va désormais bon train quant à "l'allégeance" présupposée
du trio britannique depuis son passage aux cérémonies des J.O. de
Londres et son revirement soudain sur les "théories conspirationnistes"
dont il s'était pourtant fait le porte-parole. J'ai sélectionné cette
chanson en raison du sujet évoqué : la manipulation mentale et le projet
MK-ULTRA qui fera très prochainement l'objet d'un billet dans la
Pensine.
Allez lire la suite ICI.
26 juin 2013
Dossier musique (4/4)
Alan Ginsberg
(Vous pouvez lire ICI ce qui concerne cet homme, ce n'est pas triste...)
En raison de la colère et du
ressentiment que j'éprouve envers le grand fléau de la drogue, je
ne m'excuserai pas du langage que je n'utilise pas habituellement.
L'un des pires salopards à avoir jamais foulé le sol de l'Amérique
s'appelait Alan Ginsberg. Ce Ginsberg fit la promotion de la
consommation de LSD à l'aide de publicités qui ne lui coûtèrent
rien, bien que dans des circonstances normales il aurait déboursé
des millions de dollars en revenus de pubs TV. Cette publicité
gratuite pour les drogues et le LSD en particulier, atteignit un
nouveau sommet à la fin des années 60, grâce à la coopération
toujours volontaire des média. L'effet de la campagne publicitaire
massive de Ginsberg fut dévastatrice ; le public américain fut
soumis à de rapides chocs culturels répétés.
Nous fûmes surexposés et sur-stimulés
et, de nouveau, puis-je vous rappeler que c'est du jargon Tavistock,
sorti du manuel d'entraînement Tavistock, engloutis par son nouveau
développement et, en atteignant ce niveau, nos esprits commencèrent
à retomber dans l'apathie, il y avait trop à surmonter, c'est à
dire qu'une "pénétration à long terme s'était emparée de
nous". Ginsberg prétendait être poète mais il n'existe pas de
pires insanités que celles écrites par quelqu'un aspirant à
devenir poète. La tâche prévue pour Ginsberg avait peu à voir
avec la poésie ; sa principale fonction fut de promouvoir la
nouvelle sous-culture et de gagner l'acceptation de celle-ci sur un
large groupe ciblé de population.
Pour l'assister dans sa tâche,
Ginsberg fit appel aux services de Norman Mailer, une sorte
d'écrivain qui avait passé du temps dans une institution
psychiatrique. Mailer était le chouchou de la gauche hollywoodienne
et n'eut donc aucun problème pour obtenir un temps d'antenne
télévisée maximum à Ginsberg. Il fallait bien un prétexte à
Mailer – il ne pouvait pas révéler la vraie nature des
apparitions télévisées de Ginsberg. Une comédie fut donc mise au
point : Mailer parlerait "sérieusement" devant la
caméra de poésie et de littérature avec Ginsberg. (Mailer
fut fait chevalier de la légion d'honneur par la France...)
25 juin 2013
Dossier musique (3/4)
Cet article ne va pas parler directement de la musique en tant que telle, mais de l'influence, programmée, que peuvent avoir des chanteurs ou des groupes sur l'auditoire, en l'occurence la jeunesse américaine des années 60 par les messages que véhiculent ces groupes, ici les Beatles, petit groupe tout à fait banal pris en main et manipulé par l'Institut Tavistock, dont les chansons ont été écrites et composées par un tiers.
Le rôle joué par les Beatles, première partie
Les Beatles et la conspiration du
Verseau
[Note de l'éditeur : Ceux qui
sont attachés sentimentalement aux Beatles trouveront dur de penser
qu'ils ont été exploités et utilisés par les Illuminati pour
introduire des drogues douces parmi la classe moyenne de la jeunesse
américaine. Ils furent aussi un instrument pour l'introduction des
"mots déclencheurs" par contrôle de l'esprit dans le
jargon de tous les jours. Je me souviens très bien de l'époque où
les Beatles ont fait leurs débuts sur une scène de rock américaine.
Leur "popularité" soudaine et explosive en Amérique
n'avait aucun sens pour moi à ce moment-là. Je ne pouvais
comprendre ce qu'il y avait de si extraordinaire avec les Beatles et
pourquoi on les a dépeint comme une "menace" pour détrôner
le King du rock & roll, Elvis Presley. (qui
était entre parenthèses une marionnette Illuminati, "balancé
du train de la liberté" à 42 ans, NdT)
L'Amérique, après tout, était le
lieu de naissance du rock & roll et du Doo-Wop (sous-genre
du rhythm and blues, NdT). Il n'y a que l'Amérique qui
pouvait se vanter des plus grands noms et groupes de rock & roll
– et non l'Europe ou l'Asie et certainement pas l'Angleterre. Les
interprètes de rock & roll américain faisaient l'envie du
monde entier et étaient imités et copiés jusqu'au moindre
maniérisme et détails par la jeunesse européenne et asiatique.
Comment se fait-il qu'un petit groupe de Liverpool ne faisant
pratiquement que des reprises de rock américain, comme des chansons
de Chuck Berry, se soit tout d'un coup fait propulser par les médias
américains comme "le plus grand phénomène ayant jamais abordé
les rives de l'Amérique" ? Hein ? Musicalement
parlant, il n'y avait rien de fabuleux concernant les "Fab Four"
(les quatre fabuleux). C'était un
groupe ne faisant que des reprises ; mais voilà ! Oui, ils
ont eu des résultats convenables après
avoir "pris d'assaut" les américains, mais PAS
avant. Alors comment se fait-il qu'ils aient gravi la montagne du
rock & roll ici en Amérique sans avoir vraiment à en faire
l'ascension ? C'est simple, ils ont été portés au pinacle par
le Comité des 300 et l'institut Tavistock des relations humaines et
il n'y a personne de mieux placé pour vous raconter comment cela fut
fait que l'auteur de cet article, le Dr John Coleman.]
Les Beatles et la conspiration du
Verseau
Par le Dr John Coleman
1er mars 2007
Un remarquable exemple de
conditionnement social en vue d'accepter un changement, même comme
étant reconnu indésirable par un large groupe de population, selon
les vues de l'Institut de Recherche de Stanford (Stanford Research
Institute), a été la "venue" des BEATLES. Les Beatles ont
été importés aux USA (1ère tournée en
1964, NdT) en tant qu'expérience sociale pour soumettre à
leur insu de grands groupes sociaux à un lavage de cerveau.
Quand le Tavistock fit venir les
Beatles aux US, personne n'aurait pu imaginer la catastrophe
culturelle qui allait s'ensuivre. Les Beatles ont fait partie
intégrante de la "CONSPIRATION DU VERSEAU".
Le phénomène des Beatles n'était pas
une rébellion spontanée de la jeunesse contre le vieux système
social. C'était plutôt un complot soigneusement ourdi pour
introduire, sur l'instigation d'un corps conspirateur impossible à
identifier, un élément hautement destructeur et facteur de discorde
dans une large population ciblée pour changer contre son gré. De
nouveaux mots et de nouvelles phrases, préparées par le Tavistock
* (voir note en fin d'article), furent introduites en Amérique en
même temps que les Beatles. Des mots comme "rock" en
relation à des sons musicaux, "teenager" (adolescents
entre 13 et 19 ans au sens littéral, NdT), "cool",
"découvert" et "pop music" constituaient un
vocabulaire de mots codés déguisés signifiant l'acceptation de
drogues importées qui ont accompagné les Beatles partout où ils
sont allés, pour être "découverts" par les "teenagers".
Incidemment, le mot "teenager" n'avait jamais été utilisé
juste avant l'arrivée des Beatles sur la scène, cadeau de
l'institut Tavistock pour les relations humaines.
17 mai 2013
Musique
Voilà ce que va jouer ce soir notre traducteur japonais habituel pour Fukushima, j'ai nommé Ultraman. Il sera second violon.
03 mai 2013
Montélimar
Ce que pense Brassens des humains qui abandonnent leurs animaux.
Les paroles de la chanson :
Avec leurs gniards
Mignons mignards,
Leur beau matou,
Leur gros toutou,
Les pharisiens,
Les béotiens,
Les aoûtiens,
Dans leur auto,
Roulent presto,
Tombeau ouvert,
Descendant vers
La grande mare,
En passant par
Montélimar.
(Refrain)
Dites d'urgence
A ces engeances
De malheur
Et à leurs
Gniards
Que chiens, chats
N'aiment
Pas l' nougat
Même
Même celui
D'Montélimar.
Hélas bientôt
Le mal d'auto
Va déranger
Les passagers.
Le beau matou,
Le gros toutou,
Pas fiers du tout
- Ça fait frémir -
S'en vont vomir
Et même pis
Sur les tapis
Et les coussins
A beaux dessins,
C'est très malsain.
C'est très fâcheux,
C'est plus du jeu,
Et coetera.
Et alors à
Montélimar,
On en a marre
Du cauchemar.
Boutant presto
Hors de l'auto
Le beau matou,
Le gros toutou,
Ces handicaps
Sur Digne, Gap,
On met le cap.
Alors tous ces
Petits poucets,
Ces beaux matous,
Ces gros toutous,
En ribambelle
Ont sans appel
Droit au scalpel.
Les aoûtiens
Les béotiens
Qui font ça n'ont
Pas d'âme, non,
Que leur auto
Butte presto
Contre un poteau!
01 mai 2013
04 janvier 2011
Petites boites
L'autre jour je suis tombée par hasard sur une version anglaise de cette chanson et elle m'a interpelée.
voici une autre version dont les images sont assez parlantes.
voici une autre version dont les images sont assez parlantes.
09 octobre 2010
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