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05 juillet 2014

Super-athlètes sous contrôle mental

Le BBB a publié plusieurs fois des articles sur la programmation MK Ultra dont le but est de produire des "esclaves", que ce soit dans le domaine musical, cinématographique, militaire, etc. 

Mais il semble qu'on applique également ce procédé aux sportifs de haute compétition, entre autres Serena Williams , joueuse de tennis, qui avoue posséder plusieurs personnalités (des "alters") dont une nommée Psycho-Serena, et "Tiger" Woods, estimé le meilleur joueur de golf de tous les temps, qui avoue faire des crises d'amnésies après une compétition, en "oubliant" ses meilleurs coups.



Voici ces deux exemples, illustrés par une vidéo de mk-polis.




Super-athlètes sous contrôle mental: Serena... par JaneBurgermeister

13 juin 2013

"L'Amérique en pleine transe - formation" (extrait)


Comme je l'avais annoncé, voici un extrait du livre "L'Amérique en pleine transe-formation", traduit et édité par Pierre Mazé aux éditions Nouvelle Terre. Il n'existe que très peu de livres sur le sujet des esclaves sous programmation Monarque MK ULTRA et encore moins qui ont été traduits en français.
Cathy O'Brien (née en 1957) sera à la fois esclave sexuelle, courrier diplomatique, et intermédiaire dans le trafic de cocaïne et autres drogues.
Sa fille Kelly est née en 1980, elle va avoir 7 ans dans le passage transcrit ci-dessous. Le "Houston" mentionné est l'un des derniers programmeurs de Cathy, il est agent de la CIA.
Ce n'est que deux ans plus tard qu'elle sera "sauvée" par Mark Phillips et qu'elle pourra retrouver ses souvenirs. Le livre est publié en 1995.

(Attention, ce texte peut choquer, mais vous avez la liberté de le lire ou non.)

CHAPITRE 24

À LA CHASSE NOUS IRONS

Le 4 décembre 1986, j’eus 29 ans révolus. On se débarrassait habituellement des esclaves à l’esprit sous contrôle – on les "balançait du ‘Train de la Liberté’" – à l’âge de 30 ans ; pourtant Houston
et moi nous querellâmes quand il m’annonça que mes tortionnaires gouvernementaux n’avaient plus qu’un an pour m’"user jusqu’à la corde".

Je ne m’étais pas consciemment rendu compte de l’écoulement du temps et croyais que je n’avais toujours que 24 ans. Indifférents à ce que je croyais, mes tortionnaires firent de leur mieux pour m’"user" physiquement et psychologiquement "jusqu’à la corde" avant même qu’un mois ne se fût écoulé.

Je me trouvais alors à Washington, D.C., pour un séjour de routine qui incluait d’être prostituée au Président Reagan. Les joues d’"Oncle Ronnie" rougirent sous le coup de l’excitation et du cognac lorsqu’il me dit : "Je prends toujours deux semaines à Noël pour retourner en Californie." Puis il s’interrompit pour entamer "California, here I come…"{"Californie, me voici…" (N.d.T.)}, une vieille romance dansée d’Hollywood. Il s’était, prétendait-il, toujours senti à l’étroit à la Maison-Blanche, et il semblait vraiment tout excité à la perspective de ce voyage. "Tous les ans, j’attends ce voyage avec impatience, parce que ça me permet de voir de vieux amis. Oh, je continue de travailler quand je suis là-bas – la tâche d’un Président n’est jamais finie –, mais au moins, je suis sur place. Il est temps que tu voies ce que j’appelle ‘chez moi’."

Citant alors Le magicien d’Oz, il lança : "Rien de tel que d’être chez soi. Et tu vas bientôt voir pourquoi. Dis-le avec moi : rien de tel que d’être chez soi. Rien de tel que d’être chez soi." Puis il m’ordonna dans le langage crypté d’Oz : "Claque des talons. Rien de tel que d’être chez soi."
Une lumière bleu-blanche parut exploser dans mon cerveau, comme si j’avais pris une décharge mortelle de courant alternatif basse tension. Reagan "mettait le décor en place" pour tâcher de brouiller mon esprit en décalant le temps, dans la perspective de réactiver le processus lors
d’une future rencontre avec lui à Bel Air, en Californie.

Le camping-car était plein à ras bord, avec ses cloisons également pleines à craquer de cocaïne, quand Houston, Kelly et moi prîmes le départ pour la lointaine Californie. Houston avait prévu plusieurs "haltes touristiques" sur le chemin, qui s’avérèrent aussi cauchemardesques que notre calvaire californien.