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06 juillet 2022

Le mythe de la contamination épidémique

 Je vous livre la dernière lettre d'Yves Rasir intitulée : "Pasteur, fin de partie !"


Dès l’entame du Corona Circus, j’ai pensé que ce spectacle navrant aurait au moins l’avantage d’exposer en pleine lumière l’inanité de la médecine pasteurienne et la vacuité de son dogme central, celui de la contagion. Avec la grippe covid, il devenait en effet très évident que les épidémies ne sont pas provoquées par la propagation d’un micro-organisme prétendument pathogène et transmissible. Comme preuves de la fausseté de l’axiome infectieux, j’ai par exemple relevé que les « patients zéro » restaient introuvables partout sur le globe, que les « chaînes de contamination » étaient pleines de trous, que les « clusters » étaient aux abonnés absents après de grands rassemblements populaires, ou encore qu’aucun foyer épidémique n’avait été observé dans les transports publics, endroit où la promiscuité permettait pourtant au virus de s’en donner à cœur joie. L’énorme proportion de contaminés asymptomatiques témoignait également qu’il n’y avait pas de lien de causalité entre la présence de l’hypothétique particule virale et la maladie qu’on lui attribuait à tort. Dès février 2020, j’ai exprimé le sentiment que ces failles dans le paradigme dominant pouvaient le faire s’écrouler comme des fissures font s’effondrer un iceberg pourvu que l’une d’entre elles devient suffisamment large. Pour que l’éboulement survienne, il fallait cependant que le bon sens soit secondé par la bonne science, autrement dit qu’un chercheur se décide à lézarder la doxa du covid en démontrant qu’elle ne repose sur rien.  Il fallait que, quelque part dans le monde, un scientifique se lève  et déconstruise méthodiquement la fable pasteurienne du germe coupable et contagieux.  Ce moment est-il enfin arrivé ?
 
Le mythe de la contamination
 
C’est en tout cas l’émouvante impression que j’ai eue en visionnant la dernière vidéo produite par mon ami et confrère Alexandre Penasse. Pour la cinquième fois en quelques semaines, le rédacteur en chef du journal belge Kairos interviewe le statisticien français Pierre Chaillot, alias Pierre Lécot de la chaîne Youtube « Décoder l’éco ». Oui, je sais que mon admiration pour ce brillant jeune homme est en train de tourner à la fascination. Dès qu’il est sorti de l’ombre, je vous ai quasiment conseillé toutes les capsules postées par lui, ainsi que toutes les sessions du CSI (Conseil Scientifique Indépendant mis en place par Réinfo-Covid) où il est intervenu avec d’autres dissidents pour contester le récit officiel de la crise sanitaire. On lui doit notamment l’analyse implacable de la minime surmortalité et de sa normalité, la démonstration tout aussi limpide que les mesures liberticides n’ont eu aucun impact sur les courbes épidémiques, ou encore la très claire réfutation de la pertinence du test PCR,  technique de dépistage fumeuse sans laquelle la grande mascarade  et la manipulation des masses par la terreur eussent été impossibles.  Cette fois, Pierre Chaillot s’attaque encore à plus gros morceau puisque la vidéo est intitulée « Le mythe de la contamination épidémique ». C’est en effet ni plus ni moins au fondement du pasteurisme que le jeune homme s’en prend, à savoir à la théorie selon laquelle une épidémie se répand dans la population par la circulation et  la propagation d’un germe.  Cette théorie, constate-t-il ingénument,  fait consensus alors qu’elle n’a jamais été vérifiée. C’est une hypothèse sur laquelle sont bâtis tous les modèles épidémiologiques alors qu’elle n’est jamais, justement, qu’une hypothèse demandant validation. Or il suffit de chercher à la valider pour s’apercevoir qu’elle ne tient pas debout !  En préambule de son exposé  (vous pouvez aller directement à la 12ème minute car l’intro n’a pas de rapport avec la suite),  Pierre observe d’abord que la mortalité générale suit des cycles saisonniers : on meurt davantage en hiver et exceptionnellement en été en cas de canicule. Il note ensuite qu’il n’y a pas de progressivité épidémique géographique et que les pics de mortalité se produisent partout au même moment, ce qui contredit la légende des vagues de contaminations. Lui-même était persuadé  que le covid s’était propagé du Sud au Nord de l’Europe mais les données indiquent que le fléau s’est abattu de manière synchrone sur le vieux continent, ce qui ne cadre pas avec le modèle contagieux. Si les gens tombent malades et meurent en même temps, c’est forcément qu’il y a une autre explication que celle d’un  virus passant d’un individu à l’autre. D’autre part, et c’est là que cela se corse mathématiquement, la théorie virale ne peut se revendiquer valable que si l’épidémie progresse de manière exponentielle. Cette fonction mathématique est au cœur de toutes les simulations de contaminations. Or,  aussi incroyable que cela paraisse, il n’y a pas la moindre trace d’exponentielle dans les statistiques et courbes épidémiques ! Il y en a dans les modèles imaginés par les experts, mais pas dans la réalité où c’est plutôt la linéarité qui ressort. La doxa du covid et la patascience pasteurienne sont donc basées sur une pure fiction qui ne se rencontre pas dans la vie réelle : la propagation par contagion est bien un mythe !
 
Le microbe n’est rien, la température est tout
 
Mais alors, d’où vient que des tas de gens développent des symptômes infectieux identiques et succombent à des complications similaires aux mêmes périodes de l’année ? Dans la partie suivante de la vidéo, Pierre Chaillot avance une explication toute simple :  la température ! En collaboration avec un ingénieur, le statisticien a exploré le lien entre l’apparition des épidémies de grippe et les circonstances climatiques. À leur grande surprise,  ils ont découvert que la relation était plus qu’étroite : elle est quasiment parfaite. En remontant jusqu’aux années 70, leurs graphiques montrent en effet que la courbe (inversée) des températures épouse très fidèlement celle de la mortalité. Moins il y a de degrés dehors et plus les hôpitaux et cimetières se remplissent. Les êtres humains, et surtout les personnes âgées bien entendu, souffrent et meurent en raison du froid et des refroidissements qui en découlent. « En termes de corrélation entre deux variantes, c’est exceptionnel à quel point cela fonctionne » précise le décrypteur de chiffres. « Dans  plus de 90% des cas, l’augmentation de la mortalité suit la baisse des températures, ce qui est un niveau de corrélation extraordinaire. Il est complètement fou qu’il n’y ait pas encore des tonnes d’études sur le sujet tellement c’est évident ». Bien sûr, le scientifique précise que ce n’est pas  forcément le froid lui-même qui cause les pics de syndromes grippaux et de trépas. Quand le mercure chute, il y a aussi des différences de pression atmosphérique et d’hygrométrie qui modifient l’air ambiant. Et quand les gens se calfeutrent et allument leur chauffage, ils sont encore exposés à un air plus sec qui assèche leurs muqueuses. Le confinement va également de pair avec une augmentation de l’exposition à des champs électro-magnétiques dont l’influence sur la santé est  légitimement soupçonnée. Dans cette petite liste, Pierre Chaillot aurait pu ajouter qu’en fuyant les rigueurs hivernales, les citoyens calfeutrés multiplient leurs chances d’évoluer dans les mêmes circonstances psycho-émotionnelles et de traverser les mêmes épisodes conflictuels. On peut aussi – et surtout à nos yeux – « prendre froid » parce que le cœur manque de chaleur et que les relations sont refroidies par les conflits de nature territoriale plus fréquents en milieu intérieur. Ce qui est sûr, c’est qu’il n’est absolument pas nécessaire de faire intervenir la notion de contagion  pour expliquer une épidémie. Comme le conclut  le statisticien  après une heure vingt d’interview, « Des groupes de gens sont malades parce qu’il ont vécu la même chose en même temps et c’est tout. On n’a pas besoin de ce  principe de contamination qui n’a jamais été prouvé ».  
  
Remettre la science à l’endroit
 
Mais avant d’asséner sa conclusion-choc, le « décodeur de l’éco » taille encore beaucoup de croupières à la mythologie pasteurienne.  Il parle de Béchamp et de la controverse avec Pasteur, il relate les expériences de Roseneau,  il évoque les postulats de Koch  jamais remplis pour les virus, il montre comment les critères d’épidémie virale ont évolué  dans les années 30 et 50 pour faire abusivement  coller la science à la croyance. Bref, il apporte beaucoup d’eau au moulin que fait tourner Néosanté depuis sa création et que j’ai également actionné à maintes reprises  dans l’infolettre depuis le début de la saga corona. Mais s’il  cautionne nos analyses, Pierre Chaillot leur apporte un crédit supplémentaire  puisqu’il affirme que la science médicale actuelle marche sur la tête et fonctionne à l’envers. Elle affirme des choses qu’elle ne prend même pas la peine d’interroger et de vérifier par la méthode scientifique. Partant d’une étude parue dans Nature,  il dénonce que celle-ci se fonde sur des données fausses ou faussées que le premier étudiant en maths venu pourrait facilement repérer. Il épingle les « erreurs grossières » de cette publication  et son « incroyable médiocrité » qui en serait presque cocasse si elle n’avait pas servi d’alibi aux politiques totalitaires mises en œuvre. Il faudrait, dit-il que « les gens soient conscients   de l’énormité de l’arnaque et du niveau de supercherie de ce qu’on appelle la science aujourd’hui » . Concernant le sars-cov2, le statisticien note ironiquement  que « selon ses propres définitions, la science n’est même pas en train de regarder un pathogène.  Depuis le début, Il n’y a pas la moindre trace de preuve que quelque chose se transmet ». Va-t-il lui-même tenter de se faire publier dans des revues scientifiques ? Il ne ferme pas la porte. Mais dans l’immédiat, les vidéos tournées avec Kairos vont servir d’ébauche à l’écriture d’un livre. On se réjouit évidemment de le lire car cet ouvrage sera nécessairement un réquisitoire remarquablement argumenté contre le covidisme et le pasteurisme. Depuis deux ans et demi, j’ai partagé ma conviction qu’on ne sortirait pas du premier si ne faisait pas un sort au deuxième. Qu’il fallait dézinguer le paradigme infectieux dans son ensemble pour espérer échapper à la virophobie délirante et à l’hystérie vaccinale.   Non sans jubilation, je vois aujourd’hui que Pierre Chaillot pilonne l’iceberg pasteurien et qu’il y crée des failles potentiellement fatales. Élargissons les brèches en faisant connaître son magnifique travail !

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https://www.kairospresse.be/le-mythe-de-la-contamination-epidemique/

La chaîne YT  de Pierre Lécot : Décoder l'éco

02 juin 2022

Cours complet sur Antoine Béchamp et les microzymas par le Dr Alain Scohy

 Un cadeau du magazine Néosanté. Un livre de 69 pages pour comprendre le vivant.

https://www.neosante.eu/livre-pdf/COURS%20GLOBAL%20MICROZYMAS.pdf

11 mai 2020

Le monde des micro-organismes (bactéries et virus) par le Dr Scohy


Bon, j'en remets une couche à propos du paradigme pasteurien du microbisme qui "contamine" la totalité du monde médical moderne. 

Nous avons vu ICI que ce paradigme n'a pas été démarré par hasard, il servait les ambitions de profit et de contrôle de certaines familles (et plus particulièrement les Rockefeller) qui ont imposé le mythe pasteurien au début du 20ème siècle.

Nous ne pouvons comprendre le fonctionnement des maladies si nous ne faisons pas la synthèse entre les travaux du Dr Hamer et les découvertes d'Antoine Béchamp. Dans sa quatrième loi (système ontogénétique des microbes), le Dr Hamer précise que les microbes n'interviennent que dans la deuxième phase (après résolution du conflit) et qu'ils se répartissent selon l'origine embryonnaire des tissus. Lire ici concernant cette loi.

Le magazine Néosanté a publié en août 2017 et février 2018 deux articles du Dr Alain Scohy où il aborde le monde des micro-organismes. Pour bien suivre sa démonstration, je vous invite à aller lire d'abord son  premier article sur le monde des bactéries.

Dans le deuxième article (SOURCE), que je reproduis ci-dessous in extenso, il en vient aux virus. J'ai surligné certains passages.

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Edit : commentaire d'Alain Scohy sur "l'épidémie" (sur son site) :

Le problème de l’épidémie de grippe actuelle

Les virus n’existent pas et sont une pure invention des pseudoscientifiques qui ont bâti la religion médicale moderne.

Les bactéries, comme les cellules, n’ont pas de vie propre et sont des constructions plus ou moins complexes de nos microzymas pour guérir ou pour vivre mieux !

Ce qui est pris pour des virus sont :
  • soit nos propres microzymas,
  • soit des petites bactéries construites par nos propres microzymas pour guérir tel ou tel problème. 
Le système immunitaire n’existe pas et il n’est donc pas nécessaire de chercher à le renforcer.

Les fameux tests sérologiques sont de simples jeux de pile ou face sans fondement réellement scientifique.

L’épidémie actuelle a une ampleur peut-être un peu plus grande qu’à l’habitude – nous vivons une épidémie de grippe chaque année à la même époque – compte tenu du ras-le-bol mondial de notre système moderne néolibéral (gilets jaunes en France et un peu partout dans le monde).
  • La grippe est toujours la guérison d’un ressenti de quelque chose qui nous agace, nous « pompe l’air » en quelque sorte.
  • La toux est là pour rappeler que nous existons et avons droit à un minimum d’attention et de respect.
Évitons de prendre des médicaments antiseptiques ou antibiotiques, y compris des produits comme les granions d’argent ou autres huiles essentielles à visée antibiotique.
Contentons-nous de nous complémenter comme nous devrions le faire de manière continue du 1er janvier au 31 décembre chaque année avec de l’Acide L-Ascorbique ou vitamine C (10 grammes par jour pour un adulte de corpulence normale) et un complexe de vitamines du groupe B comme le Complexe PARACELSE que propose Nutrivita et qui correspond à la formule que j’ai mise en point. 2 gélules une à deux fois par jour sont suffisantes en général. En cas de symptôme grippal, augmentons les prises à raison de 2 gélules 4 à 5 fois par jour - https://www.nutrivita.fr/?refer=5

Surtout, n’ayons pas peur et ne nous en laissons pas compter par nos médias. La PEUR majore la gravité du moindre incident de santé et provoque des pathologies supplémentaires qui peuvent être très graves. La médiatisation actuelle est en train de transformer cette petite grippe en une véritable PESTE.

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LES VIRUS : MYTHE OU RÉALITÉ


En avril dernier (Néosanté N° 44), le Dr Alain Scohy nous proposait une « autre vision des bactéries » très éloignée des dogmes pasteuriens. Cette fois, et toujours en s’appuyant sur la travaux du Pr Antoine Béchamp, il remet carrément en cause l’existence même des virus, qui ne seraient jamais que des micro-bactéries ou des microzymas nanométriques. Pour le Dr Scohy, il s’agit en tout cas de renoncer à la croyance infantile selon laquelle les maladies seraient dues à des agressions extérieures d’agents microbiens. Comme l’a (re)découvert également le Dr Hamer, cette conception de la vie ne correspond pas à la réalité.


La guerre franco-allemande, parfois appelée guerre franco-prussienne ou guerre de 1870, oppose, du 19 juillet 1870 au 29 janvier 1871, la France et les États allemands coalisés sous l’égide de la Prusse.

Elle se solde par la défaite française et la victoire éclatante des États allemands qui s’unissent en un Empire allemand, proclamé au château de Versailles, le 18 janvier 1871. La victoire entraîne l’annexion par le Reich du territoire d’Alsace-Moselle (dit Alsace-Lorraine) et l’affirmation de la puissance allemande en Europe au détriment de l’Autriche-Hongrie et de la France.

La défaite de Sedan et la capitulation de Napoléon III, provoquèrent, le 4 septembre 1870, la chute du Second Empire, l’exil de Napoléon III, et marqua la naissance en France d’un régime républicain pérenne avec la Troisième République.

La défaite et la perte de l’Alsace-Moselle provoquèrent, par ailleurs et pour longtemps, en France, un sentiment de frustration qui contribua à l’échec du pacifisme, et plus tard, à l’entrée du pays dans la Première Guerre mondiale.
C’est à cette occasion que Louis Pasteur propose un changement radical de paradigme médical qui va rapidement se mondialiser. Par ce biais, Pasteur redore le blason français qui en a bien besoin. Nous sommes en pleine ère industrielle, l’exode rural bat son plein, l’hygiène en est à ses balbutiements. Les vitamines ont été occultées par les travaux de Pasteur, et la santé des populations citadines est bien mal en point.

03 avril 2020

L'impact de la peur (actuelle) et comment la gérer

Yves Rasir vient de poster ceci :

Depuis le début de la crise Covid-19,  j’ai reçu plusieurs textes proposant une interprétation écosystémique, psychosomatique, symbolique, spirituelle ou même astrologique et numérologique  de cette maladie. Toutes ces contributions ne manquent pas d’intérêt et je les publierai peut-être un jour.

Wyane Frisée

Mais j’attendais toujours une analyse s’appuyant fermement sur la biologie, l’anatomie et la physiologie,  trois notions sans lesquelles les tentatives de décodage peuvent facilement s’égarer sur de fausses pistes. Mon vœu est aujourd’hui comblé par un article qui correspond beaucoup mieux à la ligne éditoriale de la revue Néosanté.  Il est l’œuvre  de Wyane Frisée, un jeune physiothérapeute qui exerce en Bretagne et qui a conçu l’approche Somaway.

Cet article que je juge excellent sera imprimé dans le mensuel du mois de mai.  Mais à l’heure où beaucoup d’entre nous redoutent d’être confrontés à l’épreuve infectieuse,  il m’a semblé nécessaire de le partager dès aujourd’hui.  D’autant qu’il contient des conseils très concrets pour désamorcer le stress et la peur souvent éprouvés par les personnes contaminées.  Je vous invite cordialement à le lire   et à le diffuser autour de vous.  Nous l’avons mis en ligne sur notre site  afin de faciliter le partage.
 
Biologiquement vôtre

Yves Rasir

L'article est long, je vous laisse le lire sur le lien donné ci-dessus dans le magazine Néosanté.

25 mars 2020

Yves Rasir : "On tient un suspect !"

Sa lettre d'aujourd'hui.


Covid-19 : on tient un suspect !


Ça va, vous tenez le coup dans ce monde devenu fou ? Moi, je vous avoue que la situation commence déjà à me peser. Je n’ai jamais supporté que mes enfants soient tristes, or ma fille aînée m’a confié hier sa tristesse d’avoir assisté à une violente dispute dans un magasin entre trois personnes : l’une d’entre elles avait approché les deux autres à moins d’1,5 m, ce qui ne leur a pas plu du tout ! Voilà où nous conduit cette virophobie démentielle ayant accouché du confinement généralisé. Il faut stopper ce cauchemar au plus vite ! Cette semaine, je pare au plus pressé et je me focalise sur la situation en Italie. Comme le répète invariablement l’infectiologue Didier Raoult dans ses vidéos devenue virales, les pandémies sont une fiction. Ça n’existe pas, ça n’a jamais existé et ça n’existera sans doute jamais. Les flambées épidémiques sont écosystémiques et doivent s’analyser dans leur contexte biotopique. De quel(s) déséquilibre(s) relationnel(s) entre les êtres humains et leur environnement sont-elles la conséquence ? Concernant Wuhan, nous en sommes réduits au jeu des hypothèses. Selon une source que je ne citerai pas encore car je n’ai pas pu la recouper, une pollution majeure suivie d’une vive protestation populaire durement réprimée pourrait avoir été le facteur déclencheur. Mais il faudrait pouvoir longuement enquêter sur place pour étayer cette possibilité. Laissons la Chine de côté puisque, de toute façon, la maladie baptisée Covid-19 et attribuée au coronavirus SARS-Cov2 y a quasiment disparu. Ce qui n’est pas du tout le cas de l’Italie qui a enregistré presque le double de décès avec une population 22 fois inférieure. Comment expliquer une telle tragédie ?


Deux observations s’imposent d’emblée. La première, c’est qu’il ne s’agit pas d’une crise frappant l’Italie dans son ensemble, ni même l’Italie du Nord qui compte ¾ des victimes. L’épicentre de l’épidémie italienne se situe plus précisément en Lombardie, région qui s’octroie 2/3 du fromage macabre. C’est impressionnant et ça s’est concrètement traduit par des crématoriums débordés et des colonnes de véhicules militaires emportant les cercueils vers d’autres cimetières que ceux de Bergame et Brescia. Images glaçantes qui parlent mieux que les statistiques. La deuxième chose à noter, c’est que les médias se trompent et nous trompent en affirmant sans cesse que « cette maladie concerne tout le monde ». Selon le rapport officiel du 17 mars de l’Instituto Superiore di Sanità, l’âge moyen des personnes décédées était de 79,5 ans (3 ans de moins que l’espérance de vie à la naissance) et seulement  0,8% des victimes n’avaient pas de pathologies antérieures. Un quart en avait une, un autre quart deux et la moitié trois. Dans l’ordre, les plus fréquentes étaient l’hypertension artérielle, le diabète et les cardiopathies ischémiques. Dans 20% des cas, il y avait présence d’un cancer et dans 13% des cas, celle d’une BPCO (Bronchopneumopathie Chronique Obstructive). Qu’on le veuille ou non, que ça plaise ou non, la Covid-19 fauche très préférentiellement les vieilles personnes déjà très malades. Il n’y a aucun cynisme à constater cette réalité. Si on pense, comme moi, que le virus n’est pas seul en cause, il reste cependant à élucider la surmortalité lombarde. Pollution automobile ? Le trafic à Milan est beaucoup plus intense que dans les villes les plus touchées, et pas plus dantesque que dans d’autres métropoles. Défaillances du système de santé ? Au contraire, données et témoignages indiquent que les infrastructures et le personnel médical sont ce qui se fait de mieux en Italie, pays où les soins sont totalement gratuits. À mon avis, c’est justement l’accès facile à cette offre abondante qui pose question. Dans un de ses ouvrages majeurs (Némésis médicale, 1975), le penseur écologiste Ivan Illich montrait déjà que passé un seuil de développement, la médecine occidentale moderne devient « contre-productive », c’est-dire que ses inconvénients commencent à dépasser ses avantages, ses risques à peser plus lourds que ses bénéfices. Dans le monde industrialisé, l’art de guérir est ainsi devenu celui de nuire à la santé. S’il parvient paradoxalement à repousser l’âge de la mort, c’est au prix d’une morbidité (nombre de malades dans la société) plus répandue.


Vous me voyez venir ? J’insiste en effet sur la composante iatrogénique de la crise sanitaire italienne. Selon le rapport cité plus haut (*), 83 % des patients diagnostiqués, pris en charge et décédés ont reçu des antibiotiques, 52% des médicaments antiviraux et 27% de la cortisone. On peut bien sûr supposer que nombre d’entre eux ont reçu les trois traitements en même temps. Le rapport est muet sur l’usage d’antipyrétiques et d’anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS) mais on peut également se douter que ces substances chimiques sapant le pouvoir d’auto-guérison sont employées sans retenue et sans discernement. Selon une de mes amies habitant là-bas et lisant la presse locale, la chloroquine fait aussi partie de l’arsenal médical d’au moins un hôpital. Or si elle est certainement peu nocive (le contraire se saurait puisqu’on l’emploie depuis plus de 70 ans), la molécule préconisée par le Dr Raoult n’est quand même pas un bonbon pour la toux. Au-delà d’1 g par jour, elle peut mener à l’intoxication et celle-ci est fatale dans 20% des cas. La mise sous oxygène ? Dans une infolettre précédente, je vous ai signalé que cette pratique était loin d’être anodine et qu’elle pouvait sérieusement léser les poumons. Mais savez-vous que la version supérieure de cette technique, le respirateur artificiel, nécessite d’endormir les patients ? L’anesthésie générale, ce n’est pas non plus un geste médical dépourvu de risque létal. En additionnant tous ces facteurs potentiellement iatrogènes, on obtient une explication non négligeable du désastre nord-italien. Toutefois, je vous avoue que je gambergeais pas mal ces deux dernières semaines : même si elle compte pour beaucoup, la iatrogénie subie peu avant ou pendant les soins intensifs ne suffit certainement pas à expliquer l’ampleur du drame en Italie. Il y avait forcément autre chose, mais quoi ?


La semaine dernière, je mentionnais une étude américaine montrant que la vaccination anti-grippale favorise les infections à coronavirus. C’est une pièce importante à verser au dossier mais ça n’explique toujours pas la flambée lombarde. Ailleurs dans le pays et dans plein d’autres pays, ce vaccin inutile et dangereux est conseillé et injecté à de nombreux vieux de plus de 60 ans. Si la valence influenza était si délétère, ça se verrait davantage. J’en étais encore à me creuser la cervelle quand j’ai reçu, il y a deux jours, un article saisissant de Dominique Guillet. Pour ceux qui ne le connaissent pas, cet explorateur de l’univers végétal est le fondateur de l’association française Kokopelli, qui a mené avec succès le combat pour la liberté de commercialiser et d’échanger des semences non inscrites aux catalogues officiels. Entérinée par une décision européenne, cette victoire devrait lui valoir mille fois le prix Nobel alternatif. Quand il ne poursuit pas cette lutte libertaire et qu’il ne rédige pas des monographies sur des plantes alimentaires ou médicinales, Dominique Guillet fait du journalisme citoyen et publie le résultat de ses investigations sur son site internet. Dans le long article qu’il a mis en ligne avant-hier et que vous pouvez lire en cliquant ici, le fouineur amateur (mais néanmoins très pro) révèle une information à mes yeux capitale : en janvier dernier, la Lombardie a été le théâtre d’une grande campagne de vaccination contre les méningocoques. Suite à une mini-épidémie de méningite bactérienne ayant impacté… 6 personnes (avec 2 décès), les autorités régionales ont en effet décidé de vacciner massivement et gratuitement la population. En quelques semaines, plus de 33.000 personnes ont reçu le vaccin. Hier, Dominique m’a envoyé une information supplémentaire tout aussi cruciale : comme vous pouvez le vérifier en cliquant ici, la campagne de vaccination était déjà en cours à l’automne 2019 ! Ce détail est essentiel parce c’est aussi en automne qu’est apparue en Lombardie une étrange épidémie de pneumonies bizarres nécessitant des examens radiologiques spéciaux. Vous ne le croyez pas ? Regardez cette séquence télévisée où le professeur Giuseppe Remuzzi, Directeur de l’Institut Mario Negri de Recherches Pharmacologiques de Milan, répond aux questions d’un journaliste plutôt énervé. Incroyable mais vrai, cette interview est passée le 22 mars sur CGTN, chaîne de télévision internationale… chinoise, sorte de Russia Today à la sauce Xi Jinping ! Comme en atteste ce communiqué , la presse chinoise met le paquet sur cette enquête car elle soupçonne le coronavirus d’avoir été importé d’Italie en Chine ! Je m’interroge : comment se fait-il que cette nouvelle sensationnelle n’ait pas encore fait le buzz dans toutes les rédactions du globe ? Si j’ai loupé cet énorme scoop dans l’actualité, merci de me corriger.

En fait, on se fiche un peu de savoir dans quel sens a voyagé un hypothétique virus relativement inoffensif. Ce qui est très important à vérifier, c’est s'il y a un lien entre la vaccination et la multiplication de pneumonies atypiques en Italie. Vous en doutez ? La probabilité est pourtant très élevée. Parmi leurs effets secondaires très pervers, les vaccins ont en effet pour conséquence de modifier l’écologie microbienne. La nature ayant horreur du vide, la niche écologique devenue vacante par l’immunisation artificielle est immédiatement occupée par d’autres espèces de bactéries, plus insidieuses ou plus dangereuses. C’est ainsi que les épidémies de poliomyélite ont surgi dans la foulée de la vaccination massive contre la diphtérie, ou que de nouvelles formes d’hépatite (C,D, E, etc..) sont apparues en rançon des vaccinations contre les formes A et B. Ou encore que les méningites ont gagné en fréquence et en sévérité depuis qu’on les combat vaccinalement. Bien étudié, ce phénomène de « remplacement épidémique » a récemment fait l’objet d’une analyse par le Dr Michel de Lorgeril dans le 5ème livre de sa série « Vaccins et société », celui consacré aux méningites bactériennes. Dès janvier 2012, la revue Néosanté avait lancé l’alerte sur cette catastrophe écolo-sanitaire en publiant un dossier intitulé « Vaccins et microbes : les relations désastreuses », rédigé par notre collaboratrice française Françoise Joët, ex-présidente de l’ALIS (Association Liberté Information Santé). Cet article magistral et toujours actuel est en accès libre sur notre site et vous pouvez le consulter en cliquant ici . Que devrait-on faire maintenant que le suspect vaccin est identifié ? À mon sens, il faudrait d’urgence vérifier le statut vaccinal des décédés italiens et de leurs proches. Le vérifier aussi dans les autres régions (françaises, espagnoles…) où un nombre anormalement grand de graves pneumonies sont signalées. Certes, l’éventuelle corrélation ne va pas démontrer un lien de causalité. Et le cas échéant, le puissant lobby vaccinaliste investirait les médias à leur solde pour brandir l’explication habituelle de la « coïncidence temporelle » entre vaccinations et maladies. Mais qui serait encore dupe ? Qui croirait encore à la pertinence des dogmes pasteuriens ? Pour ma part, je lance un appel solennel à l’exploitation de cette piste potentielle. Et je compte sur vous pour faire un maximum de bruit en diffusant ce billet tous azimuts. Je vous embrasse d’avance… sans distanciation sociale.
Yves Rasir



(*) Très troublant : dans son dernier rapport du 20 mars, l’Institut Supérieur de la Santé italien ne détaille plus les traitements administrés aux patients. Vous avez dit omerta ?

18 mars 2020

8 vérités à propager

La newsletter d'Yves Rasir de ce jour, comme je l'ai annoncé :


Ma tentative de décodage biologique, ce sera pour plus tard.  À l’heure où nos libertés élémentaires sont sacrifiées sur l’autel de la psychose, il me semble plus urgent de poursuivre mon décryptage anxiolytique de cette grande mascarade médico-politico-médiatique. Mon but ? Répandre viralement un message apaisant en vous dévoilant des informations dissimulées ou qui ne sont pas cachées mais qui restent peu audibles dans le vacarme des discours alarmistes. Contrairement à d’autres observateurs, je ne crois toujours pas que cette épidémie procède d’un plan machiavélique ourdi par de lugubres comploteurs. Il y a des gens qui tirent les marrons du feu, il y en a même (Georges Soros, Bill Gates…) qui ont misé et spéculé sur un départ de feu. Ça n’empêche pas qu’il s’agisse d’un feu de broussaille d’origine naturelle et appelé à s’éteindre bientôt, avec ou sans  les lois martiales imposées aux populations.  Dans quelques semaines, on va sortir du cauchemar et on s’apercevra que cette virose assez banale ne méritait pas de se faire tant de mauvais sang. Voilà mon inventaire des vérités que les médias dominants occultent ou font mine de ne pas voir pour mieux épouser le sens du vent (de panique) qui fait vendre.
Vérité n° 1 : les chiffres chinois sont hyper-rassurants

 Il suffit de faire un rapide calcul : sur base des statistiques établies en Chine (80894 cas, 3237 morts )  le terrifiant agent infectieux SARS-Cov-2  y a fait très peu de dégâts. Il a  contaminé 0,005 % des habitants de l’Empire du milieu  et décimé seulement 0,0002% de la population.  Certes, je n’ignore pas que ce taux de mortalité global reflète mal les disparités locales : dans la ville de Wuhan et la province de Hubei, le bilan est singulièrement plus lourd, de l’ordre de 1%.  Il n’empêche qu’à échelle nationale, les « ravages » du coronavirus sont ridiculement faibles, très inférieurs à ceux de la grippe saisonnière. Avec environ 0,006% de mortalité, celle-ci est 20 fois plus meurtrière.  Par rapport à la grippe espagnole (40 millions de morts, 2% de la population mondiale selon les estimations les plus sérieuses), le CoVid-19 s’est avéré 5.000 fois moins meurtrier chez les Chinois. Je parle au passé car là-bas, le nombre de nouveaux cas est en chute libre, ce qui augure d’une fin très proche de l’épidémie. Évidemment,  on me rétorquera que cet excellent résultat résulte des mesures de confinement spectaculaires et très coercitives adoptées en Chine. OK, admettons la plausibilité de cette explication indémontrable. Mais pourquoi, comme le font certains épidémiologistes belges et français,  agiter l’épouvantail d’un remake de 1918, avec des centaines de milliers ou de millions de morts à travers le monde ? Pour nous faire peur et nous inciter à être disciplinés ? Je doute  de la valeur pédagogique de ce pessimisme exacerbé. On pourrait très bien faire le contraire et faire miroiter que l’incendie apparu en Chine a été remarquablement maîtrisé.  L’éducation positive, jamais entendu parler ?
Vérité n° 2 : les chiffres européens sont trop bizarres

La justification de ce catastrophisme réside peut-être dans la situation italienne. Ce matin, dans ce pays, on comptabilisait déjà  2503 morts, soit 0,004% de la population. On comprend que l’Italie ait appelé la Chine à la rescousse pour tenter d’enrayer le fléau. Mais si vous allez regarder la carte européenne de l’épidémie, que remarquez-vous ?  D’énormes disparités entre pays et une très nette fracture Nord-Sud : l’Italie et l’Espagne (523 morts) font exception dans un continent où les pays scandinaves se distinguent par une mortalité  dérisoire :  3 en Norvège, 4 au Danemark,  8 en Suède et… 0 en Finlande.  Curieusement, l’ennemi viral semble également très peu létal dans l’ancien bloc de l’Est : 5 morts en Pologne, 0 en Russie, Biélorussie, Ukraine, Tchéquie, Slovaquie, ex-Yougoslavie et pays baltes. Faut croire que l’infâme Poutine a mis ses agents secrets sur le coup et  encore trouvé le moyen de parer aux attaques occidentales… Plus sérieusement, ces chiffres très contrastés indiquent indubitablement que le pouvoir de nuisance du SARS-Cov-2 varie considérablement selon le système de soins qu’il rencontre. Ou selon les décisions des autorités. Ou selon le tempérament des habitants.  Et si c’était un mélange des trois ? En tout cas, cette pathogénèse hétérogène demande à être élucidée. L’insolite gravité de la situation italienne mériterait que tous les journalistes d’investigation du monde convergent vers la péninsule pour y mener l’enquête. Pour ma part, je subodore que le mystère transalpin tient à une mixité d’éléments que j’évoque ci-dessous. Les autres vérités tenues sous le boisseau pourraient suffire à éclairer les bizarreries du « palmarès » européen.

Vérité n° 3 : le patient-type n’a pas changé

Vous vous rappelez du sida ? Au début, il était clair que ce syndrome d’immunodépression frappait exclusivement des homosexuels et des toxicomanes, et surtout les gays s’adonnant à de longues orgies rendues possibles par la surconsommation de médicaments et de drogues récréatives. La découverte providentielle du HIV a permis de faire croire que le tout-venant était exposé au risque et que l’épidémie allait galoper dans tous  les milieux, ce qui ne s’est jamais vérifié.  Avec le Covid-19, nous sommes dans un scénario similaire : épargnant très étrangement les bébés et les jeunes enfants,  la maladie frappe très majoritairement les très vieilles personnes déjà très malades.  On veut nous faire avaler que tout le monde est concerné mais le virus s’obstine à cibler ses victimes dans le 4ème âge en état de délabrement avancé.  En Italie,  selon l’Institut National de Santé cité par mon confrère américain Jon Rappoport  dans sa dernière newsletter,  la moyenne d’âge des patients décédés et testés  positifs était de 80,3 ans. Et seulement deux d’entre eux n’avaient pas d’autres pathologies connues ! Un de mes amis a recueilli un témoignage de première main sur le premier décès belge attribué au coronavirus.  Il s’agissait d’un octogénaire séjournant plus souvent à l’hôpital que dans son home et fréquentant assidument le bistrot du coin. On voyait souvent cet ivrogne tituber à la sortie du troquet et zigzaguer avec son déambulateur. Il serait sans doute mort de n’importe quoi à brève échéance mais il est désormais recensé comme une victime aléatoire de la fatalité infectieuse. Ce week-end, les radios et les télés belges diffusaient en boucle « l’information recoupée» selon laquelle trois médecins urgentistes quadragénaires étaient hospitalisés dans un état critique. Nous sommes mercredi et cette nouvelle n’a pas encore confirmée officiellement alors qu’il y aurait là un solide argument pour accréditer la thèse d’un virus démocratique se détournant du patient-type. Ce qui paraît avéré, c’est que le Covid-19 tue 10 à 20 fois plus de vieillards que la simple grippe saisonnière, du fait d’atteintes pulmonaires plus sévères. Il n’en reste pas moins vrai que l’agent infectieux fait preuve d’une sélectivité peu compatible avec l’idéologie pasteurienne. Si, selon cette religion,  enfants, adolescents et adultes peuvent témoigner de leur solidarité en protégeant les aînés, il est mensonger d’insinuer qu’ils sont eux-mêmes des proies pour l’assaillant viral. La prédilection de ce dernier pour les doyens déjà  très mal en point révèle incontestablement la primauté du terrain.  Reste à comprendre pourquoi Corona exprime davantage  sa dégradation qu’ Influenza. La vérité suivante pourrait nous éclairer.
Vérité n° 4 : c’est surtout une épidémie de iatrogénie

Je sais que je radote mais c’est un clou sur lequel il est important de taper : L’interventionnisme médical et ses effets iatrogènes contribuent très certainement à la létalité attribuée au SARS-Cov-2.   À Wuhan, 90% des patients ont été (mal)traités à grand renfort de cortisone  (immunodépresseur notoire)  et de médicaments antiviraux redoutablement toxiques. Sans reparler de l’oxygénothérapie et de ses risques (voir ma lettre de la semaine dernière), je  vous rappelle que les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont aussi des « catalyseurs » de complications infectieuses. À ce propos, vous avez vu ce que le nouveau ministre français de la santé, Olivier Véran, a tweeté le 14 mars ? Il a mis en garde contre les médicaments anti-inflammatoires qui « pourraient être un facteur d’aggravation de l’infection ». Si même les membres d’un gouvernement noyauté par Big Pharma osent l’ouvrir, c’est que le mutisme est devenu intenable. Malheureusement, le successeur d’Agnès Buzin a cru bon de  conseiller à ses followers de « prendre du paracétamol en cas de fièvre ». À très bon escient, mes confrères Xavier Bazin et Jean-Marc Dupuis ont souligné la stupidité de ce conseil et je vous renvoie à leurs textes que vous pouvez lire en cliquant ici  et ici. Il est ahurissant qu’un haut responsable de santé ignore encore le rôle crucial de la température corporelle dans le contrôle des infections. La iatrogénie ne s’arrête cependant pas là. Dans les recommandations qu’elle a mise en ligne dimanche dernier , l’AIMSIB (Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante) pointe en effet un doigt accusateur sur d’autres médicaments susceptibles de favoriser les pathologies infectieuses telles que les anti-hypertenseurs, les sartans et.. les statines ou autre médicaments anticholestérol. Les médecins bienveillants suggèrent d’affronter l’épidémie en ne prescrivant rien pour l’enrayer et en déprescrivant les molécules que les patients absorbent pour d’autres troubles. Mais l’AIMSIB soulève aussi un énorme lièvre : selon des données émanant de l’armée américaine (1), la vaccination  anti-grippale favorise les infections à coronavirus ! Dans son étude, l’auteur  a observé une augmentation de 36% du risque d’infection par cette famille de virus chez les vaccinés contre la grippe. Or doit-on souligner que la médecine  vaccine en priorité les personnes âgées ? Il faudrait d’urgence comparer la liste des décédés avec celle des vaccinés. Et en attendant, suspendre sine die cette vaccination dont on sait déjà qu’elle n’apporte rien de bon.

Vérité n° 5 : il y a  probablement une part d’hystérie

Dans son discours à la nation française, le président Macron  a fustigé l’ « hystérie collective » s’emparant de ses compatriotes qui se ruent dans les magasins et s’arrachent le papier de toilette.  Sur ce coup-là, on ne va pas lui donner tort. Mais il ne s’agit là que d’un épiphénomène. Le phénomène, c’est tout autre chose. À la fois bien documenté et mystérieux, l’hystérie collective est définie depuis Sigmund Freud comme « une lutte contre l’angoisse par conversion somatique », c’est-à-dire par le développement de symptômes évoquant une maladie corporelle. Il ne s’agit pas de signes cliniques imaginaires mais d’une somatisation réelle créée par l’imagination, en l’absence de toute causalité matérielle objective. La psychiatrie et la psychanalyse étudient ce phénomène depuis des décennies et en ont trouvé de multiples exemples anciens et récents. En 1985,  une épidémie de symptômes inexpliqués s’est encore produite parmi le personnel  d’un hôpital de Marseille.  Par curiosité, je me suis acheté hier matin  l’ouvrage « Les peurs collectives », paru en 2013.  Je n’ai pas tout lu mais je suis resté scotché devant le chapitre « la peur sociale somatisée : l’hystérie collective »  écrit par Jean-Bruno Renard, professeur des universités à Montpellier. On y lit ceci : « L’hystérie collective se caractérise par des symptômes psychosomatiques : oppression respiratoire ou abdominale, mal de tête, évanouissement, nausées, dermatoses ». Ses causes ?  « Une angoisse partagée » découlant autrefois du refoulement sexuel et aujourd’hui, dans nos sociétés modernes, du « stress dû à des pressions psychologiques ». Les psys ne savent toujours  pas comment des symptômes physiques peuvent se transmettre par contagion psychique. Mais la réalité de cette contagiosité ne fait plus débat dans leurs rangs. Espérons  que l’un d’entre eux va se pencher sur l’épidémie de Covid-19 car le contexte de peur et de stress transmis par les autorités se prête parfaitement à l’émergence d’un tel processus psychosomatique. Merci Monsieur Macron pour cette nouvelle piste explicative !  Elle m’a fait songer que les Italiens, tifosi dans l’âme,  sont naturellement plus enclins à l’hystérie que les Scandinaves et les Slaves à sang froid.
Vérité n° 6 : les experts ne sont pas unanimes

Pour appuyer le pouvoir dont ils sont les valets, les médias mainstream  belges et français tendent à nous faire croire que les experts (infectiologues, virologues, épidémiologistes…) sont  d’accord encore entre eux, sont tous très inquiets et préconisent  la même stratégie face à l’épidémie. C’est pourtant faux : dès le début, on a bien vu que certaines sommités médicales (Didier Raoult,  François Bricaire, Éric Caumes…) calmaient le jeu,  tenaient des propos rassurants et préconisaient des mesures d’endiguement  légères ou nulles.  Les voix discordantes sont désormais étouffées pour ne pas perturber l’union sacrée et faire accepter le lockdown. À la place du débat d’idées, on fait parader l’inénarrable Michel Cymes qui a retourné sa veste, changé d’opinion et rejoint les troupes pétochardes du caporal Macron.  Mais cette unanimité  de façade ne fait pas illusion : le monde scientifique demeure  divisé et ça se voit au niveau européen : beaucoup de pays copient le modèle chinois mais certains d’entre eux (Pays-bas, Royaume-Uni, Suède…) ont opté pour une circulation relativement libre du virus afin de provoquer une immunité de groupe. Le raisonnement est le suivant : puisque l’agent infectieux est assez contagieux et assez peu dangereux ( c’est logique, voir mes infolettres précédentes), il est préférable de le laisser agir plus ou moins à sa guise et de favoriser ainsi une immunisation collective.  Chez les partisans du confinement, on assiste plutôt à une surenchère de mesures restrictives.  Qui aura adopté la meilleure méthode ? Ce match  est  passionnant car son issue en termes de mortalité et de létalité sera riche en enseignements. Pour l’instant,  c’est plutôt le camp « libéral » qui tient le bon bout par rapport au camp « autoritaire ». Vous devinez mes préférences et mes espérances de victoire pour l’équipe qui aura le moins paniqué…

Vérité n° 7 : les mesures démesurées feront pire

Dans une tribune qui n’a pas fait grand bruit,  le Pr Gilbert Deray, directeur du service de Néphrologie à l’hôpital universitaire Pitié Salpêtrière, a averti  samedi dernier : « attention danger, mais pas celui que vous croyez ».  Une phrase de ce texte m’a particulièrement touché : « Je suis inquiet pour nos anciens déjà seuls et qu’il ne faut plus ni voir ni toucher de peur de les tuer. Ils mourront plus vite mais “seulement” de solitude. » Ce passage m’a ému car je vis exactement ce cas de figure : ma vieille maman de 89 ans est en quarantaine dans sa maison de repos et nous ne pouvons plus la visiter, la voir et la serrer dans nos bras.  Nous lui téléphonons plus souvent mais elle ne comprend pas trop cet isolement forcé et elle manifeste les signes physiques d’une souffrance morale. Question : combien de personnes âgées vont hâter leur dernière heure en raison du lockdown ?  Et combien de petits entrepreneurs et commerçants  poussés  à la faillite vont basculer en dépression ? Combien de suicides dans les familles brutalement désargentées ou ruinées ? Combien de morts en plus en sachant – tous les sociologues de la santé le savent  - que la précarité est synonyme de moindre hygiène de vie ?  Combien de victimes inconnues parmi les angoissé(e)s qui  vont encore consommer plus de médicaments psychotropes pour calmer leur anxiété ?  Combien d’infections nosocomiales fatales supplémentaires dans les hôpitaux aseptisant leurs installations  et instruments à grand renfort de produits biocides ?  Combien d’effets secondaires pervers de la folie désinfectante encouragée par les autorités sanitaires ? Combien de maladies chroniques stimulées par l’interdiction d’activités physiques en groupe ?  Et combien de troubles sévères générés par la peur et le stress ?  Dans le Néosanté d’avril, on vous parle  d’une étude récente révélant que la mise en  quarantaine entraine un traumatisme psychologique pouvant encore se détecter des années plus tard. Et d’une autre recherche scientifique montrant comment le stress affaiblit le système immunitaire et diminue la résistance aux infections. Il sera très difficile d’évaluer toutes les conséquences engendrées par la période de confinement.  Mais on peut rationnellement imaginer que les pertes humaines seront supérieures à celles occasionnées par l’épidémie.  La médicalisation et la pasteurisation de nos existences, voilà ce qui les menace  davantage que le coronavirus !

Vérité n° 8 : non, nous ne sommes pas en guerre

Dans son appel pathétique du 16 mars,  le général de Gaulle du pauvre l’a décrété solennellement : « nous sommes en guerre contre un ennemi invisible ». Lui peut-être, mais pas moi, ni vous sans doute. Quand il a séjourné chez l’Oncle Sam en tant que Young Leader pour se préparer à diriger la France, rallumer la russophobie, vendre Alstom à ses maîtres américains et réformer les retraites au profit des fonds de pension US, le petiot qui aime jouer au soldat a probablement  regardé trop de westerns et écouté trop de discours de Georges Bush Jr . Non, il n’y a pas un axe du bien et un axe du mal. Le monde n’est pas peuplé de gentils humains opposés à de méchants microbes qui veulent leur peau.  Cette vision binaire et belliqueuse de la vie est  puérile, profondément débile et scientifiquement dépassée.  Distrait, le jeune Macron ? C’est pourtant aux États-Unis  qu’a émergé il y a une trentaine d’années la médecine évolutionniste. Comme son nom l’indique, cette branche des connaissances médicales opère la jonction  avec la théorie de l’évolution de Charles Darwin, et plus particulièrement avec son concept fondamental de sélection naturelle.  Puisque la nature sélectionne les organismes les mieux adaptés à leur environnement, il est logique d’envisager les êtres vivants comme des structures assez bien conçues et munies d’outils d’autorégulation plutôt bien fichus. Or cette vision change tout ! À la lumière de l’évolutionnisme, les chercheurs engagés dans cette voie sont en effet occupés à révolutionner l’art de soigner les maladies et d’en prévenir l’apparition. Quelques exemples ? Ils nous disent que la fièvre ou l’inflammation sont des symptômes à ne pas combattre car ces mécanismes permettent d’accélérer l’auto-guérison des maladies infectieuses. Rejoignant les travaux de l’obstétricien Michel Odent, ils nous disent aussi que les accouchements surmédicalisés sont une calamité, notamment par leurs répercussions sur le microbiote des enfants. À propos du microcosme bactérien, ils nous expliquent que l’antibiorésistance est inexorable puisque, selon les lois de la sélection naturelle, les souches les plus costaudes s’adaptent aux médicaments biocides. Adhérant à « l’hypothèse de l’hygiène », ils sont également d’avis que la hantise des microbes et l’excès d’asepsie favorisent grandement les allergies et les troubles auto-immuns.  Les virus, les bactéries, et même les parasites ayant co-évolué avec l’être humain trouvent grâce aux yeux de la médecine évolutionniste. D’ailleurs, certains traitements d’avant-garde consistent à réintroduire des vers dans l’intestin ! Bref, l’ « EvoMed » s’apparente bien davantage à l’hygiénisme naturopathique qu’à la médecine allopathique classique.  La convergence avec la médecine nouvelle du Dr Hamer et la biologie totale du Dr Sabbah relève également de l’évidence : s’ils n’emploient pas exactement les mêmes mots, les médecins évolutionnistes nous disent finalement que les maladies sont des solutions de survie que les êtres vivants développent pour s’adapter à des facteurs de stress. Dans le numéro d’avril de Néosanté,  notre dossier mensuel va vous raconter tout ça. Faites-moi penser à envoyer un exemplaire à l’Élysée, des fois que le mari de Brigitte  se décide à grandir et à sortir de l’obsolète paradigme pasteurien.
Yves Rasir

29 janvier 2020

Trois remèdes à la virophobie

Celle bien sûr que les médias s'ingénient à diffuser avec le coronavirus...

Alors, pour garder ou retrouver notre bon sens, je laisse la parole à Yves Rasir dans sa lettre hebdomadaire pour le magazine Néosanté.
Vous pouvez vous abonner à sa lettre hebdomadaire ICI.


Depuis plusieurs jours, de nombreux lecteurs me pressent de consacrer mon billet hebdomadaire au coronavirus chinois, ce nouvel épisode de la série « Apocalypse virale » dont raffolent tant les médias. Je vous avoue que je n’étais pas chaud et que je m’exécute en trainant la plume. Du Sida à Ébola en passant par le Zika et la grippe A, j’en ai un peu soupé de ce mauvais feuilleton véhiculant les mêmes fausses informations sur d’effroyables épidémies imaginaires. Je trouve navrant que le public s’intéresse encore à ces fictions trahissant les faits et faisant croire à l’imminence d’un cataclysme sanitaire. Les acteurs sont nuls, les scénarios cousus de fil blanc et on devine toujours la fin avec l’arrivée providentielle d’un médicament ou du vaccin. La saison suivante, ça recommence en changeant juste le nom du méchant microbe prétendument dévastateur. Plutôt que de rédiger un nouvel article invitant au discernement, je pensais me contenter de renvoyer aux textes relatifs aux maladies précitées et dans lesquels j’énumère les raisons de rester zen et de ne pas prêter foi aux messages alarmistes émanant de la médecine académique, de ses perroquets politiques ou de ses porte-voix médiatiques. En ligne sur notre site, les archives de Néosanté Hebdo fourmillent de lettres plaidant pour la sérénité face aux agents infectieux et aux pathologies qu’on leur impute.

Si j’ai changé d’avis, ce n’est pas seulement parce qu’on m’encourage à remonter au créneau. C’est aussi parce que la moutarde m’est montée au nez le week-end dernier. Actuellement, ma fille cadette est en Océanie avec l’équipe nationale de hockey. Dans le cadre d’une compétition intercontinentale, les hockeyeuses belges viennent d’affronter l’Australie, se préparent à rencontrer la Nouvelle-Zélande où elle viennent d’atterrir, et devaient s’envoler pour la Chine la semaine prochaine afin d’y défier les joueuses locales. Or cette dernière étape du voyage a été purement et simplement annulée ! Vous devinez pourquoi : le plus redoutable des virus, celui de la bêtise humaine, a encore frappé. Pour éviter un danger sanitaire inexistant, on pénalise ridiculement de jeunes sportives en pleine santé en leur interdisant de pratiquer leur saine activité. Et au passage, on peine beaucoup les parents supporteurs. Histoire de métaboliser ma mauvaise humeur, je me suis donc résolu à remettre l’ouvrage sur le métier et à commenter l’actualité de ces derniers jours : voici trois remèdes informatifs à la psychose coronavirale en cours, et plus largement à la virophobie régnant sur terre depuis quelques décennies.

  1. Il n’y a pas péril en la planète

Même les pontes de le la médecine interrogés par les journaux et les télés en conviennent : le désormais célèbre coronavirus 2019-nCov est un tueur de pacotille. Son taux de létalité est d’à peine 4% (107 morts pour 4 474 infections), soit quatre fois moins que celui de son cousin impliqué dans le SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère ) et dix fois moins que l’autre virus de même famille associé au MERS (variante moyen-orientale du SRAS). Or à eux deux, ces agents infectieux ont fait moins de 1 000 morts lors de leurs brèves apparitions en 2002 et 2012. Par comparaison, la simple grippe saisonnière provoque entre 250 000 à 500 000 décès par an, dont plusieurs milliers rien qu’en France. Autant savoir aussi que le pourcentage de mortalité est calculé sur la partie visible de l’iceberg, c’est-à-dire les personnes qui présentent des symptômes. Si on tenait compte des porteurs sains, asymptomatiques, le taux de létalité du 2019-nCoV serait certainement encore inférieur. Sa contagiosité ? Les experts l’ont initialement estimée faible mais ont revu leur copie ces dernières heures : une personne infectée pourrait en contaminer trois à cinq autres, ce qui est assez élevé. Mais c’est aussi une excellente nouvelle ! Dépourvu de cellule, un virus est en effet incapable de survivre solitairement, sans « squatter » un autre être vivant. Pour subsister, Il lui faut très (éco)logiquement ménager ses hôtes. C’est pourquoi, en règle très générale, sa puissance létale est inversement proportionnelle à sa virulence. En d’autres termes, il se transmet d’autant plus facilement qu’il est peu agressif, et inversement. Un rhume, c’est fastoche à choper. La rage, c’est beaucoup moins évident. Ici, les victimes décédées appartiennent exclusivement à des catégories de population limitées : les personnes âgées (75 ans en moyenne) affaiblies et les malades déjà immunodéprimés par des pathologies préexistantes ou par leurs traitements. On est plutôt dans une banale configuration grippale. S’il se confirme que l’agent infectieux est très contagieux, je prends le pari que son caractère peu dangereux sera reconnu dans la foulée. Souvenez-vous de la très virulente grippe A-H1N1 qui devait remplir les cimetières à échelle planétaire et qui s’est avérée nettement moins mortelle que l’annuelle….

  1. En 18, ce n’était pas une hécatombe virale

Si vous lâchez dans un dîner que les virus les plus baladeurs ne doivent pas faire peur, vous allez immanquablement vous attirer les foudres de vos voisins. Ils vont inévitablement vous objecter que la fameuse « grippe espagnole » de 1918  s’est répandue comme une trainée de poudre et qu’elle a pourtant fait plus de 30 millions de morts. Le problème, c’est qu’il s’agit d’une colossale erreur judiciaire ! D’abord, il faut rappeler que cette tragédie n’avait rien d’hispanique au départ et qu’elle a démarré en Amérique, parmi les soldats s’apprêtant à partir se battre en Europe, autrement dit promis au casse-pipe quasi-garanti. Comme l’a démontré le Dr Hamer, la frayeur de mourir se somatise invariablement dans le système respiratoire, et c’est d’autant plus vrai lorsque la mort menace de survenir par asphyxie. À l’époque, nul n’ignorait que la grande faucheuse décimait les tranchées à grand renfort d’obus au gaz. Rappelons ensuite que la piétaille US était multivaccinée avant de s’embarquer pour le front, tout comme les GI envoyés en Irak il y a 30 ans et dont beaucoup souffriront du « syndrome de la guerre du Golfe ». Dans un cas comme dans l’autre, les crimes contre l’immunité que sont les vaccinations sont probablement une partie de l’explication. Enfin, faut-il vous rappeler les études scientifiques dont je vous ai déjà maintes fois parlé ? L’une a montré que les grippés morts en 1918 avaient en réalité succombé à des complications pneumopathiques d’origine bactérienne. L’autre a suggéré que ces aggravations, appelées « tempêtes de cytokines », pouvaient être déclenchées par… l’aspirine. En faisant baisser la fièvre, mécanisme naturel d’auto-guérison, ce médicament chimique peut en effet favoriser la contre-offensive des bactéries et précipiter l’issue fatale erronément attribuée aux particules virales. Or à l’aube du XXe siècle, les médecins prescrivaient l’acide acétylsalicylique à tour de bras et à doses de cheval ! Sans ce succès médico-commercial, la très létale grippe espagnole n’aurait sans doute pas atteint le stade de pandémie mondiale. Et si les toubibs d’aujourd’hui ne prescrivaient pas toujours des fébrifuges à la moindre infection, tous les virus que la Chine nous envoie ne seraient pas non plus à redouter. Relisez le dossier paru dans le Néosanté n° 62 pour vous remémorer que la fièvre est une « grande guérisseuse oubliée », apte à réguler l’action des visiteurs viraux. Et pour vérifier mes sources relatives à la grippe de 1918, relisez ma lettre de 2015 intitulée « Satanée aspirine ». Il n’est que temps de briser l’omerta sur les vraies causes de l’hécatombe.


  1. Les virus émissaires sont innocents

Si les autres participants au dîner parviennent à digérer ces révélations, vous pouvez alors enfoncer le clou et énoncer la vérité la plus dérangeante : les virus, pas plus que les bactéries et les champignons, ne sont la cause première des maladies infectieuses. Comme toutes les autres, celles-ci surviennent à la suite de chocs émotionnels et elles sont une façon pour l’organisme de « tourner la page », comme l’écrit le Dr Pierre-Jean Thomas-Lamotte dans son article du Néosanté de février. À petites émotions causales, petits dommages collatéraux viraux. À grands stress ingérables par le cerveau, grandes manœuvres virales potentiellement périlleuses. Il y a épidémie quand le vécu traumatique des personnes contaminées est identique. Bien sûr, cette vision psychobiologique suscite souvent sarcasmes et incrédulité. Nous sommes tellement biberonnés aux dogmes pasteuriens que l’innocence des virus est devenue inconcevable. Ce ne sont pourtant pas les preuves qui manquent pour les disculper ! Deux petits exemples relatifs au virus Ebola : lors de l’épidémie qui a durement touché la corne de l’Afrique en 2014, aucun médecin ou infirmier occidental contaminé et rapatrié n’a trépassé ; et l’an dernier, la flambée annoncée dans la ville congolaise de Goma a fait long feu. Selon l’OMS, MSF et autres richissimes ONG dépêchées sur place, il ne faisait pourtant pas un pli que la fièvre hémorragique allait fondre sur la ville et remonter le fleuve jusqu’à Kinshasa. Or, si ma mémoire est bonne, on n’a recensé que deux cas à Goma. Et aucun à Kinshasa.« Étonnant, non ? » glisserait malicieusement Pierre Desproges. Rien de surprenant là-dedans puisque la grave maladie ne sévit que dans les contrées où des bandes armées particulièrement barbares commettent d’innommables atrocités. Mais pas besoin de regarder si loin et d’examiner des situations dramatiques pour innocenter les virus : comme je l’ai relevé dans mon infolettre « Super Toubib se rit de la grippe », la théorie officielle est bien incapable d’expliquer pourquoi le personnel soignant résiste mystérieusement aux vagues épidémiques grippales. Si le virus saisonnier frappait au petit bonheur la (mal)chance, les médecins généralistes devraient être nombreux à le ramener de leurs visites et à développer à leur tour la maladie. On ne se pose même pas cette question élémentaire dans les facultés universitaires ? Faut dire que les grands prêtres de l’église pasteurienne nous ont habitué à tant d’absurdités qu’elles passent désormais inaperçues. Dans mon quotidien belge, je viens de lire que les autorités sanitaires recommandent aux probables porteurs du coronavirus chinois de ne pas se rendre à l’hôpital (afin de ne pas y propager l’agent infectieux) mais d’appeler leur docteur. Vous en avez déjà vu, vous, des médecins de famille qui se pointent avec un masque sur le nez, refusent de vous serrer la main et réclament de laver les leurs avant de vous ausculter ? Ça doit être une infime minorité. Encore une fois, les médias ne se demandent même pas par quel miracle tous les autres prestataires de soin seraient à l’abri d’un agent viral hautement transmissible, inconnu de leur système immunitaire et pour lequel il n’existe bien sûr pas de parade vaccinale. En revanche, les journaux et les télés sont déjà passés au deuxième volet de la série : ils nous promettent que des chercheurs vont mettre au point un vaccin endéans seulement 16 semaines. Juste testé sur des souris et juste pour voir si leur immunité humorale répond efficacement à l’injection. Les effets secondaires, on y songera plus tard. Business as usual. Voilà qui ne va pas arranger la mienne, d’humeur. Je suis sûr que nos jeunes hockeyeuses auraient performé en Chine si le connerie-virus occidental ne les avait pas privées de cette joyeuse escale.

06 juin 2019

Le cancer se fabrique des nerfs !

Je suis bien occupée, mais suite à l'article précédent sur les découvertes du Dr Ceulemans, il me semblait intéressant d'ajouter cette autre découverte. 

Newsletter d'Yves Rasir (éditeur du magazine Néosanté) du 5 juin :

 Le cancer se fabrique des nerfs !

 La nouvelle est restée confinée à la presse spécialisée alors qu’elle aurait dû faire grand bruit et faire la une de tous les médias : on vient de découvrir que les tumeurs cancéreuses étaient dotées d’un système nerveux ! Cette découverte majeure, dont un journal médical écrit qu’ « elle fera date dans l’histoire de l’oncologie », est le fruit des recherches menées en France à l’Institut de radiobiologie cellulaire et moléculaire (CEA, Fontenay-aux-Roses). En 2013 déjà, la même équipe avait trouvé que les tumeurs prostatiques étaient « infiltrées » par des fibres nerveuses issues d’axones, les prolongements des neurones. Elle avait même constaté que cette infiltration était associée à la survenue et à la progression du cancer. Mais comme ce phénomène neuro-oncologique demeurait mystérieux, les chercheurs ont remis l’ouvrage sur le métier. Pour leur nouvelle étude parue dans la prestigieuse revue Nature le 19 mai dernier, ils ont recruté 52 patients atteints de cancer de la prostate dont ils ont passé au crible les tissus cancéreux. Eureka : ils y ont dépisté de la doublecortine (DCX), une protéine qui est exprimée par les cellules progénitrices neuronales lors du développement embryonnaire et qui persistent chez l’adulte dans les zones du cerveau où les neurones se renouvellent. Cette découverte atteste donc la présence de ces progéniteurs neuronaux à bonne distance de l’encéphale, leur lieu de naissance et port d’attache. Mais comment diable ces protéines cérébrales sont-elles arrivées là ?

Grâce à des expériences menées sur des souris porteuses de tumeurs, les scientifiques ont mis en évidence que les DCX quittaient la zone supra-ventriculaire du cerveau et étaient acheminées par la circulation sanguine jusqu’au foyer cancéreux. Une fois sur place, elles se différencient en neuroblastes (cellules souches nerveuses), puis en neurones adrénergiques producteurs d’adrénaline. Or l’adrénaline régule le système vasculaire et c’est probablement ce mécanisme qui favorise à son tour le développement tumoral. Reste une troublante énigme : comment les cellules migrantes font-elles pour franchir la barrière hémato-encéphalique ? En principe, ce filtre physiologique séparant le système nerveux central et la circulation sanguine devrait empêcher l’émigration neuronale, tout comme elle contrôle étroitement l’immigration de microbes et de particules toxiques. C’est une frontière protectrice étanche dont la barrière se lève rarement et très sélectivement. Seulement voilà : les chercheurs ont constaté chez l’animal des « anomalies de perméabilité » rendant possible le passage des DCX dans le sang. Ils ne savent pas si ce problème de porosité précède l’apparition du cancer sous l’effet d’autres facteurs, ou si elle est provoquée par le cancer lui-même, via des signaux émis depuis la tumeur en formation. Quoiqu’il en soit, les évadées font bien le voyage jusqu’à la prostate et la quantité de cellules DCX qui y est mesurée est parfaitement corrélée à la sévérité du cancer. C’est clairement pour mieux survivre et prospérer que les tumeurs se fabriquent des nerfs !

Pour importante qu’elle soit, cette découverte « historique » n’est pourtant pas si révolutionnaire que ça. Depuis longtemps, on sait que les cancers solides assurent toute l’intendance nécessaire à leur croissance : ils imitent les organes et ils s’équipent en vaisseaux sanguins capables de véhiculer les nutriments indispensables à leur prolifération. On appelle ça l’angiogenèse. Depuis longtemps aussi, on sait que le système immunitaire reste étrangement passif en présence des néoplasies débutantes. Alors qu’elle dispose d’artilleurs chargés de les trucider (les lymphocytes NK ou « « Natural Killers »), l’immunité laisse parfois la vie sauve aux cellules cancéreuses et semble même se désactiver pour faciliter leur multiplication. Il n’est donc pas si étonnant que les tumeurs bénéficient également d’un réseau nerveux pour mieux communiquer et s’implanter. Mais le pot-aux-roses dévoilé à Fontenay-aux-Roses n’en est pas moins un potentiel tournant dans l’histoire de la médecine : qui pourrait encore désormais nier que la cancérisation est un processus extrêmement intelligent ? Va-t-on enfin prendre conscience qu’elle n’a rien d’anarchique ni de désordonné et qu’elle procède d’un véritable programme ? Bref, n’est-il pas temps de rendre justice au Dr Hamer ? Le génial médecin allemand décédé il y a 2 ans disait déjà que le cancer n’est pas une erreur de la nature ni un phénomène dépourvu de cohérence puisqu’entièrement piloté par le cerveau à des fins biologiques. Le moins qu’on puisse écrire, c’est que la science est en train de lui donner raison et que la découverte de neurones au cœur des tumeurs conforte totalement le scénario psychosomatique. Faudra pas se tromper au moment d’attribuer le prochain Nobel….

08 mars 2019

Les fabuleuses trouvailles du Dr Georges Ceulemans sur le cancer (suite) + nouveau lien vers le livre

Edit, 26 novembre 2019 : encore un nouveau lien avec un livre ramené à 112 pages : https://www.neosante.eu/livre-pdf/ceulemans.pdf



En juillet 2016, j'ai publié des extraits du livre d'un médecin belge, le Dr Georges Ceulemans, sur le cancer. Voir ICI.

Mais étant donné son très grand intérêt, on est resté sur notre faim. 

Le 28 février, les abonnés à la newsletter hebdomadaire de Néosanté ont reçu ce courriel d'Yves Rasir (extraits) :

Le plus grand secret de santé enfin révélé !

Chers lectrices et chers lecteurs,

Cette fois, c’est décidé : je ne vais plus me taire !

Je vais vous révéler le plus grand secret de santé jamais découvert depuis l’aube de l’humanité.

Cette découverte est tellement importante qu’elle pourrait signifier une victoire définitive sur le cancer,  et ce de manière 100% naturelle.

Cela peut paraître complètement fou, mais c’est la stricte vérité.

Cette vérité est exposée dans un livre  extraordinaire et rarissime dont j’ai providentiellement retrouvé un exemplaire. Il a été écrit au siècle dernier par un médecin belge aujourd’hui décédé et injustement tombé dans l’oubli. Même sa famille refuse d’exhumer ses travaux !

Cet ouvrage,  je n’en possède pas les droits de reproduction. On pourrait me condamner à de la prison si je le rééditais sans autorisation.

Mais j’ai décidé de courir ce risque parce que l’enjeu est vraiment gigantesque et que  ce bouquin est une bombe.  Il pourrait en effet faire exploser les théories actuelles de la médecine  et en révolutionner les pratiques.

Ce livre sensationnel,  je viens de passer deux heures à le scanner page par page.  Et notre graphiste va le relier dans un document PDF. Je vais donc pouvoir en diffuser une version numérique lisible sur n’importe quel ordinateur.

Pour ne pas qu’on puisse m’accuser d’en tirer profit, je vais le faire GRATUITEMENT en mettant ce document en ligne sur notre site et en vous envoyant le lien permettant de le télécharger.

Cette opération coup de poing aura lieu mercredi prochain, le 6 mars, via ma newsletter hebdomadaire Néosanté Hebdo. 


Et donc le 6 mars, la fameuse newsletter est parue. Vous pourrez la lire ICI. Dedans, vous y trouverez les raisons de ces informations sous forme de scoop et le lien vers le fameux livre sous forme de PDF. 

Si vous vous sentez concernés par le thème du cancer, je vous encourage vivement à faire cette lecture.

14 décembre 2017

Johnny Hallyday et ses épreuves de santé


Dans sa lettre hebdomadaire, Yves Rasir, le rédacteur du magazine Néosanté s'est penché sur les multiples problèmes de santé de Johnny Hallyday. 

La preuve par Johnny et ses épreuves


Parmi les manchettes de journaux annonçant la mort de Johnny Hallyday, la récurrente « On le croyait immortel ! » m’a passablement étonné : qui pouvait croire que le vieux crooner vivrait encore longtemps et mourrait tranquillement dans son lit à un âge canonique ? Peut-être que certains de ses fans ont adulé le chanteur au point de le croire invincible, mais il était bien connu que sa santé n’était pas des plus reluisantes et qu’il avait déjà frôlé la mort à maintes reprises. Le vrai miracle, c’est que l’idole des (anciens) jeunes ne soit pas décédée plus tôt et qu’elle ait atteint l’âge respectable de 74 ans, soit à peine 5 années de moins que l’actuelle espérance de vie de la population masculine en France. La semaine dernière, un site médical a publié la liste des multiples ennuis de santé qui ont jalonné l’existence de Jean-Philippe Smet. Outre quatre accidents de voiture et une tentative de suicide par barbituriques, ce dernier avait déjà surmonté une syncope en plein concert, un cancer du côlon, deux opérations à la hanche, trois autres au dos, des complications post-opératoires suivies d’un coma artificiel, une grave dépression et une sérieuse alerte cardiaque. Et probablement qu’on ne sait pas tout car son entourage a toujours veillé à dédramatiser son état. Si on prend au pied de la lettre le titre d’une de ses chansons (« Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort »), sa relative longévité trouve alors un élément d’explication. Mais de là à titrer que tout le monde l’imaginait indestructible…

23 septembre 2017

Les couches, bébé peut s'en passer...


Un sujet peu abordé, mais qui intéressera les futurs parents ou ceux qui ont de tout petits enfants. Cet article des magazines Néosanté n° 69 et 70 va peut-être changer en vous l'idée préconçue que les bébés ne sont propres qu'après 2 ans au minimum (idée qui arrange bien les fabricants de couches et produits d'hygiène), et vous faire faire d'importantes économies. Lisez donc...


LES COUCHES, bébé peut s’en passer… (N° 69 de Néosanté)


Par Emmanuel Duquoc

Un bébé peut être propre dès un an ! Certes, dans nos contrées civilisées, la plupart des pédiatres affirment le contraire. Et pourtant, partout où les couches-culottes sont un luxe inaccessible – c’est-à-dire sur la majeure partie de la terre, la propreté est acquise dès la première année de vie, au même moment que la marche... Père d’un enfant qui semblait rétif à cet apprentissage, j’ai expérimenté l’une des méthodes possibles. Avec un succès immédiat...

En France, presque tous les pédiatres et la majorité des sites spécialisés dans l’éducation des bébés l’affirment : la propreté s’acquiert entre deux et quatre ans, pas avant ! Question de maturité physiologique et psychique, avancent-ils... Sauf qu’en Chine, comme le détaillait la journaliste américano-taïwanaise Mei Ling Hopgood dans son best-seller Comment les Eskimos gardent les bébés au chaud, les petits utilisent couramment le pot dès l’âge de six mois et sont tous propres à un an. Le truc des bébés chinois ? Des pantalons fendus qui leur permettent de se soulager quand et où ils en ont envie. Normal. La plupart des habitants de l’Empire du Milieu n’ont pas les moyens de se payer des couches. Seuls les Occidentaux sont prêts à y consacrer le budget moyen de 1100 € par enfant ! Et puis en Chine, la tradition fait que même les familles aisées évitent de mettre des couches à leurs bébés trop longtemps. Même observation au Vietnam où des chercheurs suédois de l’Université de Göteborg ont constaté que l’apprentissage de la propreté commençait dès l’âge de trois mois, grâce à une communication parents-enfant. Mais peut-être ces habitudes sont-elles aussi à mettre en lien avec une certaine décontraction vis-à-vis des fluides du corps, des excréments et de la perspective qu’ils s’écoulent sur le sol de la maison…

L’été propice

En l’absence d’une tradition et de vêtements appropriés, les beaux jours peuvent être l’occasion d’un apprentissage accéléré, et ce dès un an si certaines conditions sont réunies : beau temps, sol lavable et décontraction... C’est la méthode que j’ai mise en œuvre un peu par hasard au profit de mon fils. En septembre 2004, alors qu’il avait deux ans et un mois, la nounou nous indiqua qu’il était temps de lui apprendre la propreté. À heure fixe, sitôt terminé le repas de midi, elle retirait sa couche et le mettait sur le pot et lui expliquait que c’était là l’endroit et le moment où l’on doit faire caca. Ayant tout juste terminé la lecture du célèbre ouvrage Tout se joue avant six ans, publié en 1970 par Fitzhug Dodson, je lui passai le livre ouvert à la page où le psychologue américain alertait précisément le lecteur quant aux méfaits de cette méthode.

On pouvait y lire que mettre l’enfant sur le pot à heure fixe crée un conflit entre les discours de l’adulte et les messages du corps de l’enfant. En effet, le côlon ayant toutes les chances de ne pas se contracter pour l’évacuation des selles à ce moment précis, imposer le pot revient à dire : « Ton corps se trompe. Fais ce que je te dis. » Conséquence, expliquait le psychologue américain : soit l’enfant va se couper des messages de son corps, perdre sa confiance en lui et développer une forme d’inhibition, soit il va se rebeller, considérer le discours adulte avec défiance et développer une résistance à ses avis, donc aux apprentissages. Dans les deux cas, cela compliquera la suite de son éducation... En dépit de cet avertissement, la nounou persista.

07 septembre 2017

Une bombe A a explosé en France

Un énorme merci à l'actrice dont vous allez lire les exploits au micro de France Inter.

Voici la dernière newsletter d'Yves Rasir :

Une bombe A explose en France


Une bombe A de forte puissance a explosé le dimanche 3 septembre à Paris dans les studios de la radio France Inter. La presse et les télévisions n’en ont pas touché mot mais le fracas de l’explosion a retenti sur les médias sociaux, où la nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre. La bombe A -  avec A comme Adjani -  c’est le plaidoyer antivaccins que la belle Isabelle a prononcé lors de l’émission Le Grand Atelier, dont elle était l’invitée exceptionnelle. En 5 minutes chrono, la célèbre et sublime actrice a expliqué pourquoi elle s’opposait vivement au projet d’Emmanuel Macron et de son gouvernement de rendre 11 vaccins obligatoires dès janvier prochain. Plus détonant encore : elle a confié qu’elle militait contre la vaccination en général, assimilable à ses yeux à un « crime contre l’immunité qui sera un jour reconnu comme un crime contre l’humanité ». Non contente d’étayer brillamment sa percutante plaidoirie, Isabelle Adjani a révélé qu’elle étudie ce dossier depuis qu’elle est mère de famille, soit depuis 38 ans, et qu’elle a falsifié à l’époque les documents administratifs pour ne pas vacciner ses enfants. Rendez-vous compte : l’icône du cinéma et du théâtre, longtemps personnalité préférée des Français, détentrice inégalée de 5 Césars, décorée de l’Ordre de la Légion d’Honneur, prise comme modèle du buste de Marianne et récompensée, il y a quelques années, par le prix Laïcité République, déclare qu’elle a enfreint les lois républicaines pour protéger sa progéniture de la médecine pasteurienne ! Si vous n’avez pas encore écouté ce grand moment de radio, faites-le (voir vidéo en fin d'article) et constatez à quel point les propos de la comédienne sont explosifs. Dans leurs palais, le président jupitérien et son premier ministre n’ont pas dû en croire leurs oreilles. Et leur ministre de la santé a certainement avalé de travers sa tarte dominicale. À quelques jours de la Manifestation Nationale contre les obligations vaccinales (*), l’inoubliable héroïne de L’été Meurtrier ne pouvait pas mieux faire pour torpiller le gouvernement et donner son soutien aux opposants.

Ce qui est frappant dans la sortie d’Isabelle Adjani, c’est la force de ses convictions et le sérieux qu’elle a mis à s’informer depuis si longtemps. J’ai été particulièrement content qu’elle cite en référence la journaliste Sylvie Simon, dont Néosanté a publié le tout dernier article avant son décès, et surtout le Dr Éric Ancelet, dont nous avons publié en 2011 une série d’articles intitulée « Vaccinations : science ou croyance » (en bas de page). Je me demande même si la double nominée aux Oscars n’est pas une discrète lectrice de Néosanté car elle a chaudement conseillé la lecture de « Pour en finir avec Pasteur : un siècle de mystification scientifique », le livre du Dr Ancelet que nous vantons et vendons depuis nos tout débuts. Ce qui m’a également plu dans la prise de position de Madame Adjani, c’est sa cohérence et sa radicalité. Avec elle, pas question de critiquer en douceur « une fausse bonne idée » ni de rejoindre le Pr Joyeux appelant tristement à se fier aux vaccins pourvu qu’ils soient sans aluminium. Non, l’actrice de 62 ans est une « antivaccinale » qui s’assume et qui s’en prend sans détour à « ceux qui savent et nous prétendent ignorants ». Pour elle, l’inoculation de maladies à des bébés sans défenses est une abomination qui mène «  à détériorer l’éclat biologique d’un être ».  En tant que farouche détracteur de cette pratique médicale insensée, j’ai comme l’impression émouvante d’avoir trouvé une sœur et une alliée inespérée dans ce combat essentiel. En s’engageant ainsi, la superstar de cinéma témoigne en tout cas que les dissidents radicaux ne sont plus seulement une poignée d'anonymes. Ce qui m’a le plus touché, c’est évidemment le « coming out » effectué par Isabelle Adjani en racontant comment elle a décidé de tricher, de faire des faux et « de ne pas avoir peur » pour agir en conscience et préserver ses enfants de la maltraitance allopathique. Comme je l’ai raconté dans un éditorial en mai 2013 , je suis passé par là et je sais que pareille décision n’est pas évidente à mettre en œuvre ni à justifier vis-à-vis de l’entourage. Pour autant, ni elle ni moi n’avons fait preuve d’un grand courage : les médecins faussaires qui se rendent coupables, leurs quelques confrères réfractaires (Alain Scohy, Marc Vercoutère…) qui ont perdu leur droit d’exercer et tous les parents rétifs qui choisissent de passer au tribunal et de risquer la prison sont bien plus courageux ! Hommage au passage à ces résistants, clandestins ou non, qui méritent tous nos remerciements.

En sortant du bois, Isabelle Adjani fait toutefois acte de bravoure. Moi, ce n’est pas du tout le cas. Je suis un journaliste en marge, un petit éditeur peu connu et je n’ai rien à perdre dans cette lutte. À la limite, c’est mon gagne-pain de critiquer publiquement les vaccins. Tandis qu’elle, elle n’a absolument rien à gagner, ni en notoriété, ni en réputation. Au contraire, je suis sûr qu’elle va se prendre un violent retour de manivelle pour avoir osé s’engager sur ce terrain miné. En Amérique, c’est différent : un Robert De Niro ou un Jim Carrey, pères d’enfants autistes, ont pu prendre la parole et partager leur méfiance envers les vaccins sans déclencher le tollé. Dans la patrie de Pasteur, vous allez voir ce que vous allez voir : il y a d’abord le black-out médiatique (les journaux et télés la bouclent), puis il y a aura une contre-offensive (les experts et les grands docteurs en blouses blanches vont défiler pour rattraper la sauce), et enfin l’actrice sera attaquée sous la ceinture. Je ne serais pas surpris que certains s’interrogent sur sa santé mentale, lui trouvent des sympathies politiques douteuses ou salissent sa vie privée. En bout de processus, on va se moquer d’elle et sans doute la comparer à Rika Zaraï, chanteuse populaire ayant commis le crime de populariser les méthodes de santé naturelle. On va probablement lui réserver le même sort et l’exclure de la scène artistique pour être sortie de son rôle. J’espère me tromper, mais je crains que le système lui fasse payer très cher son incartade radiophonique. Car ne soyons pas naïfs : en filigrane de l’affaire française des 11 vaccins, il y a de gros enjeux commerciaux mondiaux, des jeux d’influence occultes et des manœuvres politico-industrielles. Macron a été élu en partie grâce aux labos et il renvoie l’ascenseur. Le passage en force fait partie de la stratégie concertée entre Big Pharma et l’oligarchie au pouvoir. Révélateur : Agnès Buzyn la joue militaire en déclarant dernièrement que les parents auront le temps de se mettre « en ordre de marche ». À cet égard, je vous renvoie à l’avant-dernier article du Dr Marc Girard, l’homme qui a dévoilé en son temps le scandale du vaccin hépatite B et qui fut le premier à dénoncer la fumisterie H1N1. Il l’a posté sur son site le 16 juillet. Bien que son analyse soit – comme d’habitude – un peu ardue et trop marxisante à mon goût, ça vaut la peine de la lire en cliquant ici. Ne ratez surtout pas la conclusion. Pour ma part, je salue encore une fois l’heureux éclatement de la bombe A et je décerne sans hésiter à l’artificière l’Oscar 2017 de la meilleure action en faveur de la vérité sur les vaccins. Vivement samedi que les Français manifestent massivement pour la liberté de choix ! (*)
Yves Rasir

(*) Toutes les infos sur cette manifestation du 9 septembre  figurent sur le site de son organisateur, le mouvement citoyen EPVL (Ensemble Pour une Vaccination Libre). Cliquez ici.

Voici l'une des vidéos publiées sur Youtube: