Je vous livre la dernière lettre d'Yves Rasir intitulée : "Pasteur, fin de partie !"
Dès l’entame du Corona Circus, j’ai pensé que ce spectacle
navrant aurait au moins l’avantage d’exposer en pleine lumière l’inanité
de la médecine pasteurienne et la vacuité de son dogme central, celui
de la contagion. Avec la grippe covid, il devenait en effet très évident
que les épidémies ne sont pas provoquées par la propagation d’un
micro-organisme prétendument pathogène et transmissible. Comme preuves
de la fausseté de l’axiome infectieux, j’ai par exemple relevé que les
« patients zéro » restaient introuvables partout sur le globe, que les
« chaînes de contamination » étaient pleines de trous, que les
« clusters » étaient aux abonnés absents après de grands rassemblements
populaires, ou encore qu’aucun foyer épidémique n’avait été observé dans
les transports publics, endroit où la promiscuité permettait pourtant
au virus de s’en donner à cœur joie. L’énorme proportion de contaminés
asymptomatiques témoignait également qu’il n’y avait pas de lien de
causalité entre la présence de l’hypothétique particule virale et la
maladie qu’on lui attribuait à tort. Dès février 2020, j’ai exprimé le
sentiment que ces failles dans le paradigme dominant pouvaient le faire
s’écrouler comme des fissures font s’effondrer un iceberg pourvu que
l’une d’entre elles devient suffisamment large. Pour que l’éboulement
survienne, il fallait cependant que le bon sens soit secondé par la
bonne science, autrement dit qu’un chercheur se décide à lézarder la
doxa du covid en démontrant qu’elle ne repose sur rien. Il fallait que,
quelque part dans le monde, un scientifique se lève et déconstruise
méthodiquement la fable pasteurienne du germe coupable et contagieux.
Ce moment est-il enfin arrivé ?
Le mythe de la contamination
C’est en tout cas l’émouvante impression que j’ai eue en visionnant la dernière vidéo produite par mon ami et confrère Alexandre Penasse. Pour la cinquième fois en quelques semaines, le rédacteur en chef du journal belge Kairos interviewe le statisticien français Pierre Chaillot, alias Pierre Lécot de la chaîne Youtube « Décoder l’éco ».
Oui, je sais que mon admiration pour ce brillant jeune homme est en
train de tourner à la fascination. Dès qu’il est sorti de l’ombre, je
vous ai quasiment conseillé toutes les capsules postées par lui, ainsi
que toutes les sessions du CSI (Conseil Scientifique Indépendant mis en
place par Réinfo-Covid) où il est intervenu avec d’autres dissidents
pour contester le récit officiel de la crise sanitaire. On lui doit
notamment l’analyse implacable de la minime surmortalité et de sa
normalité, la démonstration tout aussi limpide que les mesures
liberticides n’ont eu aucun impact sur les courbes épidémiques, ou
encore la très claire réfutation de la pertinence du test PCR,
technique de dépistage fumeuse sans laquelle la grande mascarade et la
manipulation des masses par la terreur eussent été impossibles. Cette
fois, Pierre Chaillot s’attaque encore à plus gros morceau puisque la
vidéo est intitulée « Le mythe de la contamination épidémique ».
C’est en effet ni plus ni moins au fondement du pasteurisme que le
jeune homme s’en prend, à savoir à la théorie selon laquelle une
épidémie se répand dans la population par la circulation et la
propagation d’un germe. Cette théorie, constate-t-il ingénument, fait
consensus alors qu’elle n’a jamais été vérifiée. C’est une hypothèse sur
laquelle sont bâtis tous les modèles épidémiologiques alors qu’elle
n’est jamais, justement, qu’une hypothèse demandant validation. Or il
suffit de chercher à la valider pour s’apercevoir qu’elle ne tient pas
debout ! En préambule de son exposé (vous pouvez aller directement à
la 12ème minute car l’intro n’a pas de rapport avec la
suite), Pierre observe d’abord que la mortalité générale suit des
cycles saisonniers : on meurt davantage en hiver et exceptionnellement
en été en cas de canicule. Il note ensuite qu’il n’y a pas de
progressivité épidémique géographique et que les pics de mortalité se
produisent partout au même moment, ce qui contredit la légende des
vagues de contaminations. Lui-même était persuadé que le covid s’était
propagé du Sud au Nord de l’Europe mais les données indiquent que le
fléau s’est abattu de manière synchrone sur le vieux continent, ce qui
ne cadre pas avec le modèle contagieux. Si les gens tombent malades et
meurent en même temps, c’est forcément qu’il y a une autre explication
que celle d’un virus passant d’un individu à l’autre. D’autre part, et
c’est là que cela se corse mathématiquement, la théorie virale ne peut
se revendiquer valable que si l’épidémie progresse de manière
exponentielle. Cette fonction mathématique est au cœur de toutes les
simulations de contaminations. Or, aussi incroyable que cela paraisse,
il n’y a pas la moindre trace d’exponentielle dans les statistiques et
courbes épidémiques ! Il y en a dans les modèles imaginés par les
experts, mais pas dans la réalité où c’est plutôt la linéarité qui
ressort. La doxa du covid et la patascience pasteurienne sont donc
basées sur une pure fiction qui ne se rencontre pas dans la vie réelle :
la propagation par contagion est bien un mythe !
Le microbe n’est rien, la température est tout
Mais alors, d’où vient que des tas de gens développent des symptômes
infectieux identiques et succombent à des complications similaires aux
mêmes périodes de l’année ? Dans la partie suivante de la vidéo, Pierre
Chaillot avance une explication toute simple : la température ! En
collaboration avec un ingénieur, le statisticien a exploré le lien entre
l’apparition des épidémies de grippe et les circonstances climatiques. À
leur grande surprise, ils ont découvert que la relation était plus
qu’étroite : elle est quasiment parfaite. En remontant jusqu’aux années
70, leurs graphiques montrent en effet que la courbe (inversée) des
températures épouse très fidèlement celle de la mortalité. Moins il y a
de degrés dehors et plus les hôpitaux et cimetières se remplissent. Les
êtres humains, et surtout les personnes âgées bien entendu, souffrent et
meurent en raison du froid et des refroidissements qui en découlent. « En termes de corrélation entre deux variantes, c’est exceptionnel à quel point cela fonctionne » précise le décrypteur de chiffres. « Dans
plus de 90% des cas, l’augmentation de la mortalité suit la baisse des
températures, ce qui est un niveau de corrélation extraordinaire. Il est
complètement fou qu’il n’y ait pas encore des tonnes d’études sur le
sujet tellement c’est évident ». Bien sûr, le scientifique précise
que ce n’est pas forcément le froid lui-même qui cause les pics de
syndromes grippaux et de trépas. Quand le mercure chute, il y a aussi
des différences de pression atmosphérique et d’hygrométrie qui modifient
l’air ambiant. Et quand les gens se calfeutrent et allument leur
chauffage, ils sont encore exposés à un air plus sec qui assèche leurs
muqueuses. Le confinement va également de pair avec une augmentation de
l’exposition à des champs électro-magnétiques dont l’influence sur la
santé est légitimement soupçonnée. Dans cette petite liste, Pierre
Chaillot aurait pu ajouter qu’en fuyant les rigueurs hivernales, les
citoyens calfeutrés multiplient leurs chances d’évoluer dans les mêmes
circonstances psycho-émotionnelles et de traverser les mêmes épisodes
conflictuels. On peut aussi – et surtout à nos yeux – « prendre froid »
parce que le cœur manque de chaleur et que les relations sont refroidies
par les conflits de nature territoriale plus fréquents en milieu
intérieur. Ce qui est sûr, c’est qu’il n’est absolument pas nécessaire
de faire intervenir la notion de contagion pour expliquer une épidémie.
Comme le conclut le statisticien après une heure vingt d’interview,
« Des groupes de gens sont malades parce qu’il ont vécu la même
chose en même temps et c’est tout. On n’a pas besoin de ce principe de
contamination qui n’a jamais été prouvé ».
Remettre la science à l’endroit
Mais avant d’asséner sa conclusion-choc, le « décodeur de l’éco » taille
encore beaucoup de croupières à la mythologie pasteurienne. Il parle
de Béchamp et de la controverse avec Pasteur, il relate les expériences
de Roseneau, il évoque les postulats de Koch jamais remplis pour les
virus, il montre comment les critères d’épidémie virale ont évolué dans
les années 30 et 50 pour faire abusivement coller la science à la
croyance. Bref, il apporte beaucoup d’eau au moulin que fait tourner Néosanté
depuis sa création et que j’ai également actionné à maintes reprises
dans l’infolettre depuis le début de la saga corona. Mais s’il
cautionne nos analyses, Pierre Chaillot leur apporte un crédit
supplémentaire puisqu’il affirme que la science médicale actuelle
marche sur la tête et fonctionne à l’envers. Elle affirme des choses
qu’elle ne prend même pas la peine d’interroger et de vérifier par la
méthode scientifique. Partant d’une étude parue dans Nature,
il dénonce que celle-ci se fonde sur des données fausses ou faussées que
le premier étudiant en maths venu pourrait facilement repérer. Il
épingle les « erreurs grossières » de cette publication et son « incroyable médiocrité »
qui en serait presque cocasse si elle n’avait pas servi d’alibi aux
politiques totalitaires mises en œuvre. Il faudrait, dit-il que « les gens soient conscients de l’énormité de l’arnaque et du niveau de supercherie de ce qu’on appelle la science aujourd’hui » . Concernant le sars-cov2, le statisticien note ironiquement que « selon
ses propres définitions, la science n’est même pas en train de regarder
un pathogène. Depuis le début, Il n’y a pas la moindre trace de preuve
que quelque chose se transmet ». Va-t-il lui-même tenter de se
faire publier dans des revues scientifiques ? Il ne ferme pas la porte.
Mais dans l’immédiat, les vidéos tournées avec Kairos vont
servir d’ébauche à l’écriture d’un livre. On se réjouit évidemment de le
lire car cet ouvrage sera nécessairement un réquisitoire
remarquablement argumenté contre le covidisme et le pasteurisme. Depuis
deux ans et demi, j’ai partagé ma conviction qu’on ne sortirait pas du
premier si ne faisait pas un sort au deuxième. Qu’il fallait dézinguer
le paradigme infectieux dans son ensemble pour espérer échapper à la
virophobie délirante et à l’hystérie vaccinale. Non sans jubilation,
je vois aujourd’hui que Pierre Chaillot pilonne l’iceberg pasteurien et
qu’il y crée des failles potentiellement fatales. Élargissons les
brèches en faisant connaître son magnifique travail !
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https://www.kairospresse.be/le-mythe-de-la-contamination-epidemique/
La chaîne YT de Pierre Lécot : Décoder l'éco