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13 décembre 2015

L'homme ne descend pas du singe (2/2)

Partie 1 ICI.


Après avoir alimenté les médias de publications populaires sur "l'homme du Nebraska" et suffisamment intoxiqué un public malléable, l'affaire disparut jusqu'en 1928 quand William Bryan et William Gregory eurent l'occasion d'examiner indépendamment la dent. Leurs recherches conclurent sans aucun doute que la dent n'appartenait pas à un homme ou un singe, mais venait en fait d'une espèce éteinte de porc sauvage américain appelé presthennops ! Après la publication dans Science Magazine de l'article de Gregory, "Hesperopithecus : apparemment ni un singe ni un homme", tous les dessins et modèles de "l'homme du Nebraska" et de sa "famille" furent prestement enlevés des publications évolutionnistes. 


Henry Osborn lui-même fut obligé de concéder que l'homme du Nebraska, "Hesperopithecus haroldcooki", exemple supposé de "Pithecanthropus erectus du pliocène" et de sa famille imaginaire étaient de totales fabrications. Il n'admit jamais de fraude intentionnelle (et pourquoi le ferait-il?), mais en tant qu'ardent évolutionniste, eugéniste et défenseur de la suprématie de la race blanche, il manifestait probablement un certain parti pris. Osborn était un raciste tellement sadique qu'on l'entendit sans aucune honte dire lors d'un débat national sur les tests d'intelligence de l'armée de la première guerre mondiale, "Je pense que ces tests valaient bien le prix d'une guerre, même en vie humaine… Nous avons appris une fois pour toutes que les nègres ne sont pas comme nous".

"Après la publication de son livre, "La filiation de l'Homme" [The Descent of Man] dans lequel Darwin affirmait que l'homme descendait d'êtres vivants ressemblant à des singes, il commença à rechercher des fossiles qui soutiendraient ses assertions. Certains évolutionnistes pensaient cependant que des créatures 'mi-homme mi-singe' seraient découvertes pas seulement dans des fossiles mais également en vie dans diverses régions du monde. Ces poursuites en vue de 'liens transitoires vivants' menèrent au début du 20ème siècle à de malheureux incidents, l'un des plus cruels étant l'histoire d'un pygmée du nom de Ota Benga. Ota Benga fut capturé au Congo en 1904 par un chercheur évolutionniste. En langage pygmée son nom signifiait 'ami'. Il avait une femme et deux enfants. Enchaîné et mis en cage comme un animal, il fut emmené aux USA où des scientifiques évolutionnistes l'exhibèrent au public pendant la foire mondiale de St Louis avec d'autres espèces de singes et il fut présenté comme le 'lien intermédiaire le plus proche de l'homme'. Deux ans plus tard, il fut placé dans le zoo new-yorkais du Bronx et il fut présenté là sous la dénomination 'd'ancien ancêtre de l'homme', auprès de quelques chimpanzés, une femelle gorille nommée Dinah et un orang-outan appelé Dohung. Le Dr William Hornaday, le directeur évolutionniste du zoo, fit de grandioses discours sur sa fierté d'avoir cette exceptionnelle 'forme transitoire' dans son zoo et il traita Ota Benga dans sa cage comme s'il était un animal ordinaire. Incapable de supporter les traitements infligés, Ota Benga finit par se suicider. L'homme de Piltdown, l'homme du Nebraska, Ota Benga… Ces scandales démontrent que les savants évolutionnistes n'hésitent pas à employer toutes sortes de méthodes non scientifiques pour prouver leurs théories." - Harun Yahya, "La supercherie de l'évolution"

11 décembre 2015

L'homme ne descend pas du singe (1/2)



Depuis plus d'un siècle, on veut nous faire croire à la fraude de la théorie darwinienne, ramenant quelque part l'homme au même rang que les animaux dans le schéma évolutif. Mais de même que les dinosaures, les fameux "homme-singes" n'ont jamais existé (et n'existeront jamais).


L'homme-singe n'a jamais existé





Traduit par Hélios




L'une des premières impostures de l'histoire du darwinisme, connue sous le nom de "théorie de la récapitulation", et proclamée comme indéniable "preuve d'évolution", a été l'idée proposée et propagée à la fin du 19ème siècle par un eugéniste raciste, le Pr Ernst Haeckel. Contemporain et ami de Charles Darwin et de Thomas Huxley, Haeckel postulait que les embryons humains (et ceux d'autres animaux) expérimentent une forme miniature de l'impulsion évolutionnaire toute entière durant leur développement dans la matrice, montrant d'abord les caractéristiques des poissons, puis celles des reptiles et finalement celles des mammifères ou humains. Cette théorie a été depuis longtemps éliminée de la littérature scientifique, mais il reste encore beaucoup de gens et de sources populaires à citer malencontreusement le travail frauduleux de Haeckel. Plusieurs magazines populaires et manuels scolaires publiaient encore ce canular à la fin des années 1990, un siècle après, sous la forme de dessins et la théorie de la récapitulation comme un fait scientifique !

 "Il a été prouvé depuis que cette théorie est complètement fausse. On sait aujourd'hui que les 'branchies' supposées apparaître dans les premières étapes de l'embryon humain sont en fait les phases initiales du canal de l'oreille moyenne, des parathyroïdes et du thymus. La partie de l'embryon qu'on assimilait à la 'poche du jaune d’œuf' s'avère être une poche qui produit le sang pour le fœtus. La partie identifiée comme une 'queue' par Haeckel et ses disciples est en fait la colonne vertébrale qui ressemble à une queue simplement parce qu'elle prend forme avant les jambes. Un autre aspect intéressant de la 'récapitulation' c'est Ernst Haeckel en personne, un mystificateur qui a falsifié ses dessins pour soutenir la théorie qu'il avançait. Les contrefaçons de Haeckel prétendaient montrer que les embryons de poisson et d'humain se ressemblaient. Quand on le prit sur le fait, la seule défense qu'il offrit fut que les autres évolutionnistes avaient commis les mêmes infractions !" - Harun Yahya, "La supercherie de l'évolution"

Les embryons de Haeckel


Les faux et les vrais embryons




Haeckel fut accusé de fraude par cinq professeurs et fut reconnu coupable par l'université de Jena après avoir admis que plusieurs de ses dessins étaient des faux, qu'il ajoutait simplement les liens manquants quand les preuves étaient trop minces et que des centaines de ses contemporains étaient coupables du même chef d'accusation ! Il déclara durant le procès, "Après cette compromettante confession de contrefaçon je devrais être contraint à me considérer condamné et anéanti si je n'avais la consolation de voir à côté de moi sur le banc des accusés des centaines de collègues coupables, dont plusieurs reconnus comme les observateurs les plus fiables et les biologistes les plus estimés. Une grande majorité des illustrations figurant dans les livres, traités et journaux de biologie s'attireraient le même degré d'accusation de contrefaçon, car ils sont tous inexacts et plus ou moins bricolés, schématisés et fabriqués."

18 janvier 2015

L'énigme des peuples aux crânes allongés (2/2)

Deuxième article sur les crânes allongés avec la (re)découverte de crânes allongés de fœtus in utero.


Crânes allongés in utero : Un adieu au paradigme de la déformation crânienne artificielle ?


Traduction par Hélios



On explique habituellement les crânes allongés par le bandage de la tête ou déformation artificielle du crâne. Ce paradigme est apparu dans la première moitié du 19ème siècle comme explication aux crânes inhabituels découverts en Europe et en Amérique du sud, dans des lieux comme la Crimée et le Pérou respectivement. L'idée dominante derrière le paradigme du bandage de la tête est que TOUS les crânes allongés sont le résultat d'une modification intentionnelle de la forme du crâne par l'application d'une pression extérieure. En d'autres mots, TOUS les crânes allongés sont simplement des crânes 'normaux' déformés semblables à ceux des humains modernes.

Crâne allongé de Crimée (à gauche) et d'autres parties du monde. Baer, 1860


Quelle preuve pourrait remettre en cause ce paradigme ? Pas de problème – l'existence de fœtus avec des crânes allongés, c'est à dire la preuve que de tels crânes avaient déjà une forme allongée in utero, avant toute possibilité de bandage de tête. Avons-nous une telle preuve ? Oui ! De plus, cette preuve est connue de la communauté académique depuis plus de 163 ans !


17 janvier 2015

L'énigme des peuples aux crânes allongés (1/2)

L'énigme des "crânes allongés" retrouvés sur des squelettes et momies un peu partout dans le monde. L'hypothèse dominante est que l'allongement est fait mécaniquement par diverses techniques. Mais quand on découvre une momie de fœtus dans le ventre de sa mère qui a aussi un crâne allongé, intervient un élément nouveau qui fait penser que la race aux crânes allongés a existé telle quelle et qui appelle à bien d'autres questions. D'où vient donc ce peuple ? Pourquoi a-t-il disparu, sachant qu'on a retrouvé ces crânes un peu partout sur Terre ? 

La découverte des momies de fœtus date de la moitié du 19ème siècle... Pourquoi le silence à ce sujet ?

Deux articles d'Igor Gontcharov. Une interview de Marc Laplume aujourd'hui, et demain les documents attestant de fœtus aux crânes allongés in utero.




Crânes allongés et réfutation de l'histoire des peuples de l'antiquité : une interview de Mark Laplume


Par Igor Gontcharov

Traduction par Hélios

Mark Laplume

Mark Laplume est un artiste et un chercheur indépendant qui s'est engagé dans la reconstitution des crânes allongés sous forme de dessins. Il partage avec nous aujourd'hui ses connaissances sur ces crânes mystérieux.

Igor Gontcharov : Mark, comment en êtes-vous venu à vous intéresser aux crânes allongés et pourquoi avez-vous décidé de reconstituer l'apparence de ces peuples ?

Mark Laplume : En 2006, en téléchargeant Google Earth pour la première fois, j'ai recherché les endroits que je connaissais et me suis dirigé ensuite tout droit sur l'extrémité sud du lac Titicaca. J'ai été stupéfait par ce que j'y ai vu. Sur des kilomètres à la ronde les sommets étaient recouverts d'immenses vestiges. J'ai su que quelque chose d'incroyable s'était passé là-bas mais l'ai chassé de mes pensées, n'ayant trouvé personne qui s'y intéressait et avec qui le partager.

Preuve d'ancienne civilisation en Bolivie. Crédit: Google Maps


Six ans plus tard, j'ai lu un article de Brien Foerster dans lequel il présentait des crânes allongés. J'ai eu la chance de le contacter et de parler un peu de ce que j'avais vu.



04 janvier 2015

Le dieu venu du ciel des indiens Kayapos

Encore une "légende" sur l'arrivée d'extraterrestres, cette fois-ci en Amazonie...


Bep Kororoti – le dieu céleste et ancien guerrier spatial qui rendit un jour visite à la Terre



Traduit par Hélios

Des natifs de la jungle amazonienne, les indiens Kayapos, qui vivent dans l'état de Pará au nord du Brésil, possèdent des légendes détaillées sur les visiteurs du ciel qui ont apporté à leur peuple sagesse et connaissances.

Ils vénéraient en particulier l'un de ces enseignants célestes. Son nom était Bep Kororoti, ce qui en langue Kayapo veut dire "Guerrier de l'Univers".

Selon les Kayapos, des dieux sont venus du ciel et sont descendus sur Terre à des époques très reculées quand les humains se comportaient encore comme des animaux.



Les dieux du ciel ont enseigné au peuple l'agriculture, la médecine, l'astronomie et les ont instruits sur les questions du quotidien.

Un jour, un puissant grondement se fit entendre dans les montagnes de Pukato-Ti, et de là un être bizarre descendit sur Terre. Son nom était Bep Kororoti et c'était un être qui possédait un véhicule volant qui pouvait tout détruire sur son passage.

Il était dit que ses armes étaient si puissantes qu'elles pouvaient transformer les arbres et les pierres en poussière. Il n'est pas surprenant que les manières agressives de ce guerrier aient terrifié les indigènes primitifs, qui ont même essayé au début de combattre l'intrus extraterrestre.