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20 février 2022

Qu'est-ce qui nous rend réellement malades ?

 Pourquoi tout ce que nous croyions savoir sur la maladie est faux

Certains lecteurs se souviendront d'un de mes articles publié en avril 2020, au début de la pseudo-pandémie, au sujet du livre de Dawn Lester et David Parker paru fin 2019. J'avais acheté ce livre et l'ayant trouvé très complet et très documenté, j'avais suggéré sa lecture à mon ami éditeur breton. Emballé par le livre, il a décidé de le traduire et de le publier. 

Après quelques retards bien compréhensibles en ces temps troublés, voici le tome 1, tel qu'annoncé par les Éditions Nouvelle Terre 

La quatrième de couverture nous dit :

"Les médecins administrent des médicaments dont ils savent très peu, à des malades dont ils savent moins, pour guérir des maladies dont ils ne savent rien." (Voltaire)

L’approche de la médecine qu’adoptent la plupart des systèmes médicaux contemporains entraîne généralement l’utilisation de « médicaments » pour venir à bout des maladies humaines. L’idée que résume la citation qui précède sera sans aucun doute regardée comme étant sans rapport avec les soins de santé prodigués au 21e siècle, en particulier ceux qui sont aujourd’hui dispensés dans le cadre de la « médecine moderne ».

La plupart des gens estimeront ainsi que ce qui est sous-entendu dans cette citation s’applique à des temps révolus, s’appuyant ainsi sur l’hypothèse selon laquelle la «science» médicale a produit des avancées significatives : les médecins du 21e siècle possèderaient par conséquent une connaissance approfondie, si ce n’est même plutôt complète des domaines que recouvrent respectivement les médicaments, les maladies et le corps humain.

Rien ne saurait cependant être plus éloigné de la vérité comme le présent ouvrage va nous le démontrer, cette hypothèse ayant manifestement et contre toute attente échappé ‒ et ce, depuis fort longtemps ! ‒ au tamis de la déduction et de l’expérience.

Ce livre est le fruit d'une dizaine d'années de recherches par les auteurs britanniques Dawn Lester et David Parker.

Profitez des frais de port gratuits jusqu'au 1er mars... Commandez ici :

http://www.editionsnouvelleterre.com/

Vous pourrez lire une note de l'éditeur à mon sujet au début du livre 😎

Le tome 2 est en cours de traduction...

14 août 2020

Nos illusions de Justice, de Liberté et de Démocratie



Après "Prolonger l'agonie" dont je vous ai parlé récemment, voici un autre livre tout à fait d'actualité.

Publié (en 2018) par les Éditions Nouvelle Terre, il s'intitule "DE TRAGÉDIES EN ESPÉRANCES". Son auteur, Joseph Plummer, a pris le temps d'étudier le très copieux ouvrage (1300 pages) de Carroll Quigley (le "mentor" des deux écrivains écossais, auteurs de Prolonger l'agonie) et de les condenser en un livre de 250 pages.

"Comme [Quigley] le dit lui-même, eu égard à sa formation d'historien, il appert qu'il fut choisi par les membres d'un réseau occulte pour écrire la véritable histoire de leur accession au pouvoir. Pourtant, comme Quigley le réalisa par la suite, il n'était pas dans les attentes ni les intentions de ces individus qu'il publiât leurs secrets pour qu'ils fussent découverts par le reste du monde. Peu de temps après la publication de Tragedy & Hope en 1966, "Le Réseau" fit apparemment connaitre son irritation à l'éditeur de Quigley et le livre qu'il avait mis vingt ans à écrire fut retiré du marché."

La quatrième de couverture nous dit :

"Les informations que contient ce livre contredisent pratiquement presque tout ce que l'on vous a fait croire à propos de la démocratie et du "gouvernement représentatif". 

Se fondant sur une analyse très fouillée de Tragedy & Hope, l'ouvrage bien connu du prestigieux historien américain Carroll Quigley. De Tragédies en Espérances - qui s'en veut la traduction au sens large - nous introduit à un système politique très select qui s'attelle continuellement à nous plonger dans une illusion quasi parfaite de Liberté, de Justice et de Démocratie.

L'objectif de ceux qui contrôlent ce système est ainsi, selon les termes de Carroll Quigley lui-même, de "dominer toutes les parties habitables de la planète." Se servant de la mystification, du vol et de la violence, cette élite s'est aujourd'hui approchée de son objectif plus qu'aucun autre dirigeant de l'histoire de l'humanité.

L'ère de l'information, cependant, est rapidement en train de faire avorter son projet : il devient de plus en plus difficile de dissimuler aux yeux de tous l'immoralité d'un tel système et de ceux qui le servent. Prise de conscience de nos chaînes et résistance grandissent à travers le monde : il semblerait bien que nous glissions peu à peu de la tragédie vers l'espérance..."

26 juin 2020

"Prolonger l'agonie"

Je ne parle pas ici de la situation actuelle...

Je parle d'une autre période de l'histoire où "certains" ont délibérément prolongé de 3 ans et demi l'agonie de millions de gens : la "Grande Guerre" de 1914-1918, qui n'a été "grande" que pour ces gens (et aussi très enrichissante financièrement...).

Je viens de terminer les deux tomes d'un essai de Jim Macgregor et Gerry Docherty, suite logique de leur premier livre dont je vous avais parlé fin 2017, "L'histoire occultée, les origines secrètes de la Première Guerre Mondiale".

Non contente de préparer pendant des années le déclenchement de la guerre, "l'élite secrète", comme la nomment les auteurs, a entretenu minutieusement la guerre contre l'Allemagne qu'elle voulait mettre à genoux. Chaque chapitre du livre, chaque nouvelle révélation m'ont fait bondir et pousser des jurons que je ne reproduirais pas ici par politesse. 

Bien des ignominies ont été commises sous la houlette de personnages dont ne parlent pas les livres d'histoire, comme "Lord" (La Couronne britannique lui devait bien cet honneur !) Alfred Milner, qui en fut le principal organisateur. Avez-vous déjà entendu parler de lui ?
Vicomte Lord Alfred Milner (1854-1925)

Mais bien d'autres figures faisaient partie du complot, le roi d'Angleterre, Winston Churchill sans oublier les Rothschild, les Américains...

... ou les Français.

Comme le disent les auteurs dans le 1er chapitre du tome 1, "les origines revisitées" :
"Il est important de répéter d'emblée que l'histoire communément admise de la Première Guerre mondiale est un mensonge délibérément concocté. Non pas le sacrifice, l'héroïsme, l'atroce gaspillage de vie ou les souffrances qu'elle a engendrées. Non, ceux-ci furent bien réels, sauf qu'on a depuis un siècle réussi à étouffer la vérité sur la façon dont tout a débuté et comment la chose a été inutilement et délibérément prolongée. On a créé une histoire volontairement falsifiée pour dissimuler le fait que c'était la Grande-Bretagne, et non l'Allemagne, qui était responsable de la guerre. Eut-on massivement su la vérité après 1918 que les conséquences en auraient été cataclysmiques pour l'Establishment britannique."

Dans ces deux tomes traduits par Pierre Mazé aux Éditions Nouvelle Terre vous découvrirez d'innombrables scandales dont vous n'avez pas idée, comme le mythe du grand blocus, le scandale de Briey, l'ignoble boucherie de Gallipoli ou le torpillage du Lusitania, faux paquebot transatlantique qui convoyait secrètement des munitions, la fausse aide humanitaire et bien d'autres "hauts faits".

Et le jour férié du faux armistice du 11 novembre est là pour fêter et entretenir le souvenir de la victoire de l'élite secrète.

Je vous recommande donc la lecture de ces deux livres horrifiants, mais passionnants, exemples parmi bien d'autres de la conspiration du Nouvel Ordre Mondial contre les peuples au cours de l'histoire.



09 décembre 2017

La vie en communauté... avant

Je viens de relire le roman d'Henri Vincenot, "La Billebaude" (1978) qui raconte une époque où toutes les générations cohabitaient. Un mode de vie à jamais disparu dans les pays occidentaux... pour le plus grand mal des enfants. Je vous ai transcrit deux passages.
Vincenot est né en 1912.

Henri Vincenot (1912-1985)
"Puisque j'en suis aux portraits de famille, il me revient que j'ai parlé de mes "six grand-mères". On aurait tort de croire à une erreur typographique, aussi vais-je donner tout de suite des précisions, car, dans la suite du récit, vous ne vous y reconnaîtriez certainement pas.

Je vivais le plus souvent chez mes grand-parents maternels Joseph et Valentine, dont je viens de vous parler abondamment, mais vivaient également dans la maison du bourrelier, sa mère, mon arrière-grand-mère, Anne, surnommée simplement Mémère-Nanette, la guérisseuse, qui avait alors quatre-vingt-cinq ans, je crois, puis la mère de ma grand-mère, dont le prénom était Claudine et que je nommais Maman Daudiche (Daudiche c'est Claudine en patois). Celle-là était âgée de quatre-vingt-dix ans. Dans le village tout proche vivaient mes grand-parents paternels, Alexandre et Céline, que j'allais voir souvent, avec leurs mères, Mémère Étiennette, quatre-vingt-quinze ans et Mémère Baniche âgée de quatre-vingt-douze ans. J'avais donc bien six grand-mères. Mais ce n'est pas tout ! car j'ai conservé le meilleur pour la fin. J'avais aussi cinq grand-pères, car, en plus de mes deux grand-pères, j'étais chaperonné par trois arrière-grand-pères. Un seul manquait à l'appel. Un laboureur, disait-on, qui était mort accidentellement pour être tombé à la renverse d'un char de paille vers les quatre-vingt-deux ans. À la fleur de l'âge, quoi !

Les trois survivants de l'Ancien Régime avaient respectivement quatre-vingt-dix, quatre-vingt-douze et quatre-vingt-quinze ans. En tout onze aïeuls et je vous prie de croire que je faisais, en fin décembre, pour les étrennes, une fameuse fricassée de museaux ! Onze vieux-qui-piquent à embrasser, car ils piquaient tous, les femmes aussi drûment que les mâles ! Sacrée sinécure ! Mais rente appréciable, car si les uns ne me donnaient que des poires séchées ou une poignée de noix, les autres me glissaient dans la poche une pièce de bronze à l'effigie de Napoléon III et qui valait le dixième de l'ancien franc. Un seul, qui n'était pas le plus riche, tant s'en faut, me faisait cadeau en grande cérémonie d'un louis d'or, plutôt d'un napoléon, en me recommandant de n'en jamais faire la monnaie et de le garder dans ma tirelire jusqu'à la mort inclusivement.

Tout cela pour dire, entre autres, à propos de chasse, deux choses : premièrement, la jeunesse d'aujourd'hui aurait tort de s'imaginer que tout le monde, jadis, mourait de sous-développement à quarante-cinq ans, comme les astuces de la statistique tendent à le faire croire aujourd'hui. Secondement, que le genre de vie absolument primitif et aussi peu hygiénique que possible qu'avaient mené ces vieilles gens, ne conduisait pas à la déchéance, tant morale que physique. Mes vieux et mes vieilles avaient tous moissonné à la grande faucille, et la plupart se soutenaient encore chaque jour d'un bon bol de trempusse au ratafia, dont je me repentirais de ne pas donner ici la recette : verser un quart de litre de ratafia dans un bol, y tremper de grosses mouillettes de pain frais ou rassis selon les goûts, et manger les mouillettes. Comme on voit, cela n'est pas boire, puisque l'on se contente de manger le pain et que c'est lui qui a tout bu. Quand au ratafia, mon grand-père disait : c'est la boisson la plus saine qu'on puisse imaginer car on la fait en versant un quart de marc à 55° dans trois quarts de litre de jus de raisin frais. Le jus de raisin ainsi traité se conservait indéfiniment en se bonifiant, bien entendu.

Pour lors, tous ces vieux vivaient au domicile de l'un de leurs enfants qui, selon l'expression consacrée, les avaient "en pension". Cela signifiait que celui de leurs enfants qui les hébergeait recevait de ses frères et soeurs une petite somme d'argent fixée à l'amiable.Cette pension était en réalité très faible car les vieillards étaient considérés comme précieuse main d'oeuvre et de ce fait, dédommageaient en partie l'enfant qui les accueillait.

Mes arrière-grand-mères tricotaient et reprisaient toutes les chaussettes, ravaudaient le linge, récoltaient les simples, donnaient la main aux quatre lessives de l'année, s'occupaient des couvées et assuraient la permanence de la prière.

Mes arrière-grand-pères faisaient et réparaient toute la vannerie et la sacherie de la maison, remmanchaient les outils, aiguisaient les lames, régnaient sur le bûcher et avec les jeunes garçons, mes cousins et moi, approvisionnaient les feux.

Si je vous raconte cela, c'est pour vous montrer comment étaient alors réglés ce qu'on appelle maintenant les "Problèmes du troisième âge". On peut avoir intérêt à méditer là-dessus, en notre grandiose époque qui pratique si délibérément l'abandon officiel des enfants et des vieillards, tout en leur consacrant par ailleurs tant d'articles exhaustifs dans la presse, tant de discours à la tribune et tant de crédits pour réaliser à leur égard la ségrégation des âges avec les crèches, les écoles enfantines, les asiles et les maisons de retraite. Pour parler clair, je dirai qu'il n'y avait pas de "problème de l'enfance" ni du "troisième âge" parce que la famille assumait alors toutes ses responsabilités.

Mais de quoi vais-je me mêler là, moi, le conteur, qui ne devrais que conter ?"

Et plus loin dans le livre :

"Selon la coutume d'alors, la soeur célibataire habitait sous le toit du frère ou de la soeur mariés, de même que les bisaïeuls, ce qui éliminait le problème, si préoccupant aujourd'hui, de la femme seule. Oui, pleines de femmes étaient alors les maisons ! Pas de camarade à moi qui n'eût lui aussi, dans nos pays de prodigieuse longévité, deux mémères-bi, une Tontine aussi [Vincenot fait référence à sa grand-tante Léontine, dont le fiancé serait mort à la guerre de 1870 et qui est restée célibataire] et, bien entendu sa mère. Que de girons pour s'y cacher ! Que de placentas protecteurs autour de l'enfant ! Ce qui résolvait, par-dessus le marché, le problème des crèches et de l'école maternelle si coûteuses à la collectivité d'aujourd'hui et où les mères "abandonnent" littéralement leur enfant.

Oui, pleines de femmes étaient les maisons. Donc, maisons riches, car "bonne femme vaut écu", "maisons gaies, maisons chaudes !" Ah, si vous aviez vu ça, mes pauvres enfants, à côté de ces maisons d'aujourd'hui, froides, sinistres, parce que vides de femmes ! Vous entrez dans ces intérieurs inanimés : où est la patronne ? Elle a abandonné son poste, elle est partie ! Partie "travailler", paraît-il. Les miennes travaillaient aussi que je sache, et la lessive, et les poules et les lapins, les vaches et le raccomodage et la couture ! Et pourtant elles étaient là tout près de nous, les petiots. Que de jardinières d'enfants à notre dévotion ! Que de puéricultrices à notre service ! Que d'éducatrices spécialisées à notre formation personnelle et à notre épanouissement ! Quelle vie de luxe, en définitive ! Quelle riche civilisation  !"

Si vous n'avez pas encore lu "La Billebaude", je vous le recommande pour la truculence et l'humour du bourguignon Vincenot nous contant une partie de son enfance.

28 novembre 2017

Les origines secrètes de la première guerre mondiale

Dans un tout autre genre que "MK" que je vous avais présenté en mai 2016, mais tout aussi important par son contenu, voici le dernier livre paru aux Éditions Nouvelle Terre.

En août 2014 (il n'y a pas de hasard...), je vous avais parlé d'un livre sorti l'année précédente, "Hidden history, the secret origins of the first world war" écrit par Gerry Docherty et Jim Macgregor.  



Ce livre de 530 pages vient d'être traduit et publié par Pierre Mazé, aux éditions Nouvelle Terre.

En partie inspirée des travaux du professeur Carroll Quigley, un historien mondialement reconnu, L’Histoire occultée est une dénonciation sans pareille des vrais responsables de la Première Guerre mondiale. Il est révélé ici comment le matériel concernant les origines de la guerre a délibérément été falsifié afin d’évacuer la culpabilité d’une certaine cabale secrète. Celle-ci, basée à Londres et composée d’impérialistes britanniques éminemment riches et puissants se trouve être à l’origine d’un des crimes les plus odieux qui aient été perpétrés contre l’humanité. Ces hommes ont pendant une décennie comploté la destruction de l’Allemagne, première phase d’un projet de domination anglo-saxonne sur le monde.

L’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand d’Autriche ne relève pas d’une fatalité aveugle. Il a mis le feu à une traînée de poudre soigneusement répandue selon les ordres d’une chaîne de commandement qui courait de Londres à Sarajevo via Belgrade, Saint-Pétersbourg et Paris. Notre compréhension de ces événements a succombé au piège d’une toile mensongère soigneusement tissée par les vainqueurs en 1919 à Versailles, et entretenue depuis par de dociles historiens. La version officielle de la Première Guerre mondiale est ainsi sérieusement à remettre en question eu égard à la quantité de documents qui ont été délibérément détruits ou soustraits à nos regards.
L’Histoire occultée constitue un redoutable défi : si l’on en croit ses auteurs, il ne tient qu’à nous d’examiner scrupuleusement – et en conscience – les preuves qu’ils ont entrepris de nous présenter ici à la suite de quatre pleines années de recherche.


Pierre vous présente lui-même ce livre qui va faire grand bruit :



11 février 2017

L'Élixir


Un savant génial invente une molécule qui développe radicalement la conscience humaine ; les conséquences pour la planète vont en être incalculables...
 
"Majed Albert était un homme prudent.
Scientifique aux fulgurances intellectuelles quasi-mystiques, il savait très bien qu'une invention qui pouvait gêner des intérêts financiers était à divulguer au risque de sa vie.
Il ne voulait pas finir comme Nicolas Tesla.
À la tête d'un département de recherches, il était censé avoir un minimum de jugeote pour éviter de se faire suicider par les cinglés qui le finançaient.
Mais ce qu'il venait de trouver avec cette molécule le laissait perplexe.
Voilà six mois, le Département de la Défense, via sa direction, lui avait demandé de monter une série d'expériences sur la manipulation mentale via les drogues, les micro-ondes et les images subliminales.
Dans le cadre de cette recherche, qu'il trouvait au passage particulièrement écœurante, il s'était penché sur des états modifiés de conscience atteints par les chamanes grâce à certaines plantes hallucinogènes, notamment l'ayahuasca.
À peine les recherches allaient-elles démarrer qu'on lui retira au dernier moment ses crédits et son ordre de mission, sous prétexte qu'un laboratoire privé américain reprenait la main.
Il avait survécu jusque-là car il savait ne pas poser trop de questions.
Quand son supérieur lui annonça la mauvaise nouvelle, il se contenta de hausser les épaules.
En guise de lot de consolation, on lui accorda un petit budget et carte blanche pour ses recherches sur les états modifiés de conscience.
Un fait plutôt inhabituel qui ressemblait à un miracle en ces temps de disette financière pour la science "sans but lucratif".
Il réunit son équipe et décida d'étudier spécifiquement les molécules à l’œuvre dans les plantes sacrées des différentes traditions ésotériques.
Le sujet l'intéressait plus comme un hobby, et il ne pensait pas faire de découvertes majeures, encore moins ce truc incroyable qui laissa dix-huit scientifiques la bouche ouverte d'étonnement."  
 


Quel est donc ce "truc incroyable" ?
Vous pouvez le découvrir dans ce roman écrit par Sem et paru récemment aux Éditions Nouvelle Terre, l'Élixir, que je viens de terminer, trop vite à mon goût. On en redemande.
Il mêle le réalisme de notre vie d'aujourd'hui à une sorte de "spirituel-fiction".
Le titre du livre est un mot tiré de l'arabe qui signifie "médicament". Même si vous êtes contre les drogues chimiques, je vous garantis que vous aurez très envie de reprendre de ce médicament-là.
Alors prêts pour une dose d'élixir ?

03 mai 2016

"MK", un livre unique au monde

Je trouve important de relayer tout événement littéraire majeur et n'hésite pas à dire que  "MK" est un livre unique au monde.

J'ai donc le grand honneur de vous présenter le livre d'Alexandre Lebreton, "MK - Abus Rituels et Contrôle Mental".

Sans se tromper, on peut affirmer que cet ouvrage deviendra une "bible" sur ce sujet si tabou dans notre société.

Il est actuellement le seul ouvrage de ce type en langue française et sa sortie va faire grand bruit. 

Bravo à Alexandre Lebreton pour son courage et son énorme travail !

Voici sa présentation par l'éditeur Omnia Veritas :


Pour la première fois dans le monde francophone, un livre tente d'explorer les sujets complexes que sont les abus rituels traumatiques et le contrôle mental qui en découle. Il s'agit ici d'approfondir la lourde question de la pédocriminalité élitiste, aussi appelée le pédo-satanisme.

Comment réagit le cerveau d'un enfant soumis à de telles horreurs ? Comment est-il possible de programmer mentalement un être humain ? Quelles sont les racines de telles pratiques ?

En remontant jusqu'aux religions antiques, en passant par le chamanisme ancestral tout en recoupant les nombreux témoignages de victimes et de thérapeutes, mais aussi de repentis, nous découvrons petit à petit que ces pratiques psycho-spirituelles, consistant à créer de profonds états modifiés de conscience par des traumatismes, sont une boîte de Pandore permettant de perpétuer un esclavage mental mais aussi d'accéder à d'autres dimensions.

Il s'agit d'un monde occulte et souterrain, mais qui paradoxalement nous parle d'illumination tout en s'affichant clairement sous les projecteurs du grand théâtre mondial, notamment dans le show-business.

Tout comme une mémoire fractionnée et amnésique, ce livre reconstitue une sorte de puzzle MK (MK pour Mind-Kontrol, le contrôle mental) dont les différentes pièces relient à la fois les religions dites "à Mystères", l'anthropologie, la psychotraumatologie, le satanisme transgénérationnel, les programmes gouvernementaux de type MK-Ultra, la démonologie, la magie sexuelle, les sociétés secrètes, mais aussi l'industrie du divertissement dont les codes et symboles font émerger une sous-culture MK de plus en plus explicite et révélatrice.

Une fois toutes ces pièces assemblées les unes aux autres d'une manière cohérente, une partie des arcanes de ce monde commence à devenir accessible ; une clé de compréhension essentielle du système pédo-satanique et plus globalement de ce que l'on nomme aujourd'hui le Nouvel Ordre Mondial. Les bases du contrôle mental s'appliquent autant à l'échelle individuelle qu'à l'échelle des masses, il s'agit de l'outil de domination premier de la "Religion sans nom"... l'oeil du cyclone.
 
Cet ouvrage tente de reconstituer le puzzle MK du mieux possible, il devrait vous aider à saisir un des aspects les plus obscurs de notre monde, et peut être aussi vous éclairer sur notre situation actuelle, autant matérielle que spirituelle. 

Pour lire le sommaire du livre, allez ICI.


09 avril 2016

"Le cosmos est conscience"

Avec tout ce qui se passe sur Terre aujourd'hui, on aurait tendance à l'oublier.

Je viens de terminer le dernier-né des Éditions Nouvelle Terre, un livre écrit par Patrick Jarnoüen. Il est très clair et facile à lire.



Une stupéfiante relation entre l'être humain et le cosmos

Une civilisation moribonde, une humanité schizophrène, autodestructrice, dans une atmosphère d’apocalypse... Pourquoi tout cela ? Que se passe-t-il réellement? Le cosmos est vivant, suprêmement intelligent et conscient, nous sommes des êtres cosmiques. Mais nous l’avons oublié. Nous avons rompu le lien vital – physique et psychique – avec la grande matrice cosmique. Le moment est venu de renouer ce lien. Bouleversant toutes nos habitudes de pensée, ce livre révolutionnaire montre comment le faire, comment l’expérimenter concrètement. Établir une nouvelle alliance avec le cosmos constitue désormais un défi crucial pour l’humanité. Un nouveau paradigme s’annonce, socle incontournable pour une nouvelle civilisation.

Après avoir bourlingué sur la planète, d’Europe en Asie, Patrick Jarnoüen s’est lancé dans une longue recherche en sciences humaines. Pendant plus de trente ans, il a exploré savoirs anciens et sciences modernes. Il enseigne la Cosmologie de la conscience à l’ouest de la Bretagne, là où tout commence...


Les grands thèmes abordés dans le livre

 La crise planétaire

 La défaite de la pensée

 La nouvelle pensée

 Le cosmos est conscience

 L'être humain cosmique

 La révolution de la conscience

02 juin 2015

"Pour cause de sécurité nationale"

C'est le dernier livre traduit et publié par les Éditions Nouvelle Terre.

Il constitue la suite de "L'Amérique en pleine transe-formation", qui détaille la vie de Cathy O'Brien, esclave MK-Ultra.

Auteurs : Cathy O'Brien et Mark Phillips


Pour cause de sécurité nationale
 

Du statut d'esclave robotisé de la CIA à celui de lanceuse d'alerte reconnue de la nation américaine.

« [...] J’étais à [Bohemian Grove] en 1986, sous contrôle de l’esprit "MK-Ultra" et attendant de nouveaux ordres tandis que George Bush discutait avec son camarade Dick Cheney. Il était question du projet lié à l’intelligence artificielle, lequel s’étalait sur cent ans et visait le contrôle absolu de la planète.

[...] Il fut débattu puis décidé que la peur devrait être propagée et entretenue au niveau mondial afin que l’attention reste cristallisée sur le négatif tout en empêchant l’expression positive de l’authenticité. Tandis que les gens deviendraient de plus en plus craintifs et manipulables, leur capacité à penser librement et à exprimer leur authenticité décroîtrait. Le contrôle de l’esprit interdisant clairement toute expression de l’authenticité, l’évolution de l’esprit humain diminuerait ainsi en même temps que la liberté de penser, lors que celle-ci fait l’objet d’un continuel bombardement alliant terreur et négativité.

[...] Ils savaient à la place de ça que le contrôle de l’information leur octroyait le pouvoir sur le peuple, et ils s’arcboutaient comme de beaux diables pour le perpétuer à tout prix. Cheney, Bush et d’autres membres de cette élite mondialiste désireuse d’introduire le Nouvel Ordre Mondial, souscrivaient totalement à ce projet établi par intelligence artificielle. Ils autorisaient ainsi la technologie à imposer son contrôle sur le monde [...]. »

(Quatrième de couverture, extrait des pages 200 à 201)


Le mot de l'éditeur :


Voici donc la suite du livre culte "L’Amérique en pleine Transe-Formation" des mêmes auteurs, ce dernier rédigé à la hâte en 1995 dans un but de documentation alors que leur liberté même était en jeu. Pour cause de Sécurité nationale représente le récit de quelque 15 années de lutte pour la liberté et pour la vie, voire le témoignage extraordinaire d’à quel point l’esprit humain peut se montrer résistant. C’est là un livre dispensateur de réponses, de solutions et d’espoirs destinés à tous de même qu’à leurs principaux alliés à travers le monde. Il a notamment été écrit à l’intention des milliers de personnes qui auront déjà lu L’Amérique en pleine transe-formation et se trouvaient réduites à imaginer les péripéties qui n’avaient pu y être incluses. Comment Cathy se remettra-t-elle d’avoir été torturée "à en perdre la tête" ? De quelle façon – documents à l’appui – Cathy et Mark survivront-ils à la machine à broyer que représente la soi-disant Justice criminelle américaine ? Et, last but not least, par quels miracles auront-ils pu échapper aux structures politiques de leur pays et vivre assez longtemps pour dénoncer toute l’horreur des agissements de personnages extrêmement puissants, qui sont en ce moment même toujours aux commandes de notre planète ? 

03 mars 2015

Qui était réellement Lucifer ?

Suite au décodage du film "Lucy", traduit du site Vigilant Citizen, et à la demande de notre lectrice "Clandestine", voici la version du personnage de Lucifer, tel qu'il est décodé par Mauro Biglino dans le livre à succès "Le Dieu de la Bible vient des étoiles", édité par les Éditions Nouvelle Terre.

Avec l'accord de l'éditeur, voici la transcription du chapitre 10 de ce livre passionnant, qui personnellement a changé totalement ma vision de l'Ancien Testament et de ce que l'église catholique romaine a fait ingurgiter au bon peuple de ses fidèles depuis des siècles.

Pour lire le livre, allez ICI, vous ne le regretterez pas. Le précédent ouvrage du même auteur (qui peut se lire indépendamment), tout aussi passionnant, s'intitule "La Bible comme vous ne l'avez jamais lue" et est édité aux éditions Atlantes-Interkeltia (WWW.interkeltia.com).

Le chapitre 10 (pages 210 à 216) concerne les figures de Satan et de Lucifer. J'ai laissé le tout début du texte, c'est la synthèse de ce qui a été dit précédemment sur Satan.



[En guise de synthèse…

Les versets que nous venons brièvement de présenter nous confirment ainsi les deux aspects fondamentaux de ce personnage :

• Le personnage de Satan n’existe pas en tant que simple acteur qui agit en tant qu’individu seul, mais représente une position, une fonction qui peut être assumée aussi bien par des hommes que par des [malakhìm], ceux qu’on appelle "anges".
• Il n’agit pas nécessairement en continuel adversaire de "Dieu".
• Il s’agit souvent d’un exécutant de confiance étant donné qu’il accomplit fidèlement ce que "Dieu" veut.
• Il n’est ainsi pas du tout clair qu’il puisse être identifié comme le chef de groupes rebelles.]

Lucifer

La tradition religieuse a en réalité opéré une fusion entre Satan et un autre personnage angélique connu sous le nom de Lucifer.

Ce terme signifie "Porteur de lumière" et dérive du latin lucifer (de lux, "lumière", et ferre, "porter") et du grec φωσφόρος [phôsphoros] (φως [phôs], "lumière", et φέρειν [pherein], "porter"). On l’utilise souvent pour désigner la planète Vénus qui apparaît à l’aube, anticipant ainsi la lumière du jour.

Ce dernier rapprochement n’est en fait justifié que lorsque ce terme s’insère dans sa définition complète d’"astre du matin".

Dans les autres cas, il ne suggère guère plus qu’un corps céleste très lumineux.

16 décembre 2014

Entretien avec l'extraterrestre (4ème et dernière partie)

Suite et fin de l'entretien.

Liens vers :

Partie 1
Partie 2
Partie 3


J'ai traduit un autre passage où l'extraterrestre évoque la civilisation des pyramides et développe la notion d'emprisonnement des "IS-BE".

Extrait du chapitre 9, 'Une chronologie des événements terrestres'.


"La véritable histoire de la Terre est très bizarre. Elle est tellement dénuée de sens qu'elle apparaît improbable au Terrien qui tente de l'étudier. Il y manque une myriade d'informations vitales. On y a arbitrairement introduit des quantités d'anachronismes et de mythologies. La nature instable de la Terre elle-même recouvre, noie, mélange et détruit les preuves physiques au fur et à mesure de ses cycles.

Ces facteurs, associés à une amnésie et à des suggestions post-hypnotiques, à de fausses apparences et à une manipulation secrète rend la reconstitution des origines factuelles des civilisations terrestres et leur histoire virtuellement indéchiffrables. Tout chercheur, même brillant, est condamné à s'enliser dans un bourbier de suppositions peu concluantes, d'hypothèses impraticables et de perpétuels mystères.

Comme le Domaine ne souffre pas de ces afflictions, ayant l'avantage de la mémoire, de la longévité et d'un point de vue extérieur, j'ajouterai quelques clarifications à votre connaissance fragmentaire de l'histoire terrestre.

Voici certaines dates et événements non mentionnés dans les livres d'histoire de la Terre. Ces dates sont importantes car elles fournissent des informations sur les influences sur Terre de "l'Ancien Empire" et du Domaine.

15 décembre 2014

Entretien avec l'extraterrestre (3ème partie)

Suite de l'entretien avec l'extraterrestre. Première partie ICI et deuxième partie LÀ.

Source 

Traduit par Hélios


(...)


[Note d'Hélios : je résume le chapitre 6 et le début du chapitre 7 : Airl a très rapidement appris l'anglais, mais Matilda pense qu'elle connaissait déjà plus de choses sur les cultures et l'histoire de la Terre qu'elle n'a voulu l'admettre en démarrant son apprentissage.
15 jours après son arrivée à la base, elle était bien plus cultivée que Matilda et ce fut elle qui devint le professeur et Matilda l'élève. Le 24 juillet, elle déclara qu'elle était prête à parler.]


(TRANSCRIPTION OFFICIELLE DE L'ENTRETIEN)

TOP SECRET
Transcription officielle de l'US Army Air Force Roswell, 509ème Escadron de Bombardiers

SUJET : INTERVIEW DE L'EXTRATERRESTRE, 24 juillet 1947


"De quoi aimerais-tu parler, Airl ?" demandai-je.

"Je fais partie de la Force d'Expédition du Domaine dans ce secteur de l'espace depuis plusieurs milliers d'années. Je n'ai cependant pas eu de contact intime avec les êtres de la Terre depuis 5965 avant cette ère. Ce n'est pas ma première fonction d'interagir avec les habitants des planètes au sein du Domaine. Je suis officier, pilote et ingénieur, avec de nombreuses tâches à remplir. Bien que parlant couramment 347 autres langues du Domaine, je n'ai néanmoins pas été exposée à votre langue, l'anglais.

La dernière langue terrestre dans laquelle j'ai conversé était la langue sanskrite des hymnes védiques. À cette époque j'étais membre d'une mission envoyée pour enquêter sur la perte d'une base du Domaine située dans l'Himalaya. Un bataillon entier d'officiers, de pilotes, de personnel de communication et d'administration disparurent et la base a été détruite.

Il y a plusieurs millions d'années j'ai été formée et j'ai servi en tant qu'officier d'investigation, d'évaluation des données et de développement de programmes pour le Domaine. Comme j'avais de l'expérience dans cette technologie, je fus envoyée sur Terre avec une équipe de recherche. L'une de mes tâches impliquait d'interroger la population humaine qui habitait à l'époque la zone voisine. De nombreuses personnes de cette région avaient rapporté des visions de "vimanas" ou de vaisseaux spatiaux dans le secteur.

14 décembre 2014

Entretien avec l'extraterrestre (2ème partie)

Première partie ICI.

Suite du premier entretien de Matilda avec l'extraterrestre.

Source

Traduit par Hélios


(...)
QUESTION – "Pourquoi votre vaisseau s'est-il écrasé ?"
RÉPONSE – IL A ÉTÉ PRIS DANS UNE DÉCHARGE ÉLECTRIQUE DE L'ATMOSPHÈRE QUI NOUS A FAIT PERDRE LE CONTRÔLE.
QUESTION – "Pourquoi votre vaisseau se trouvait-il dans cette zone ?"
RÉPONSE – POUR ENQUÊTER SUR LES "NUAGES QUI BRÛLENT/RADIATIONS/EXPLOSIONS.
QUESTION – "Comment vole votre vaisseau ?"
RÉPONSE – ON LE CONTRÔLE PAR "L'ESPRIT". RÉPOND À DES "COMMANDES MENTALES".

"Esprit" ou "commandes mentales" sont les seuls mots anglais qui me sont venus pour décrire l'idée. Leurs corps, et je le pense, le vaisseau, sont reliés à eux directement par une sorte de "système nerveux" électrique qu'ils contrôlent par la pensée.

QUESTION – "Comment vos congénères communiquent-ils entre eux ?"
RÉPONSE – PAR L'ESPRIT/ LA PENSÉE.

Les mots "esprit" et "pensée" combinés sont les mots anglais les plus proches que j'ai trouvé à ce moment-là pour décrire l'idée. Cependant, il était tout à fait évident pour moi qu'ils communiquaient par l'esprit, juste comme elle le faisait avec moi.

QUESTION – "Avez-vous un langage écrit ou des symboles pour communiquer ?"
RÉPONSE – OUI
QUESTION – "De quelle planète venez-vous ?"
RÉPONSE – LE FOYER/BERCEAU, LE MONDE DU "DOMAINE".

13 décembre 2014

Entretien avec l'extraterrestre (1ère partie)


Entretien avec l'extraterrestre


"Copies de deux Lettres, des Transcriptions militaires Top Secret, et des Notes Finales de Matilda O’Donnell MacElroy, infirmière dans l’US Army Air Force, affectée au 509ème Escadron de Bombardiers, sur la Base Militaire Aérienne de Roswell, au Nouveau-Mexique, en 1947. Dans ses Lettres, Matilda O’Donnell MacElroy affirme que les transcriptions sont un enregistrement exact d’une série d’entretiens qu’elle a conduits avec un extraterrestre, dans l’exercice de ses fonctions d’infirmière de vol au sein de l’US Army Air Force. En Juillet et en Août 1947, Matilda a interrogé le pilote d’un vaisseau qui s’est écrasé à proximité de Roswell, Nouveau-Mexique, le 8 Juillet 1947."

Voilà les quelques lignes d'introduction à ce livre dont le titre anglais est "Alien interview", publié par Lawrence Spencer. 





Matilda O'Donnel MacElroy a gardé pendant 60 ans les documents concernant cet entretien et les a envoyés à un éditeur en 2007. Elle était âgée de 83 ans et savait qu'elle quitterait bientôt cette terre.



Le livre est paru aux USA en 2008, avant la déclassification des documents par le gouvernement américain sur une partie du dossier OVNI (voir la présentation du livre de Marc St Germain aux Éditions Nouvelle Terre), ce qui lui apporte une certaine crédibilité. On sait maintenant qu'il y a bien eu le crash de vaisseaux à Roswell et que des corps extraterrestres ont été récupérés.



J'ai parcouru le livre en anglais sur CE SITE. Mais je n'ai traduit, étalés sur plusieurs articles, que des passages, dont quelques entretiens, car le livre est très long. Vous pourrez lire le reste sur la version du livre publiée en français en 2014 si vous le souhaitez (la couverture du livre sera publiée dans la quatrième et dernière partie).

Vous pouvez aussi lire ce qui suit comme un récit de science-fiction. Voici ce qu'écrit l'auteur dans ses notes finales :

"La plupart des gens ne croiront rien de tout ça, j'en suis sûre. Cela semble trop incroyable. Aucune personne 'raisonnable' ne voudrait en croire un mot. Cela semble cependant 'incroyable' à un IS-BE [voir explication de ce terme ci-dessous] dont la mémoire a été effacée et remplacée par de fausses informations au sein de l'illusion contrôlée électroniquement de la prison planétaire. Nous ne devons pas permettre que l'apparente non-crédibilité de notre situation nous empêche de la confronter à la réalité."


L'extraterrestre, dont l'infirmière parle au féminin, nomme les terriens des "IS-BE", ce qui veut dire en abrégé "Immortal Spiritual Beings" (Êtres spirituels immortels). Je garderai ce terme dans la traduction. De même que pour alléger, je nommerai l'infirmière par son seul prénom, Matilda.

Traduit par Hélios



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Extrait de la lettre de Matilda à l'éditeur


(…) Quand l'information d'un crash parvint à la base, M. Cavitt, un officier du renseignement, me demanda de l'accompagner sur le site du crash en tant que chauffeur de son véhicule, et pour apporter si nécessaire une aide médicale d'urgence à d'éventuels survivants.

J'aperçus donc brièvement l'épave d'un vaisseau spatial extraterrestre, ainsi que les restes de plusieurs membres de l'équipage extraterrestre à bord du vaisseau, qui étaient déjà morts.

À notre arrivée, j'appris qu'un membre de l'équipage à bord du vaisseau avait survécu au crash et qu'il était conscient et apparemment indemne. L'extraterrestre conscient n'avait pas une apparence exactement semblable à celle des autres.

Aucun personnel présent ne pouvait communiquer avec le survivant, car l'être ne communiquait pas verbalement ou par un quelconque signe reconnaissable. Pourtant, en examinant si le "patient" portait des blessures, je détectai et compris immédiatement que l'être extraterrestre tentait de communiquer avec moi par "images mentales", ou "contact télépathique", projeté directement depuis son esprit.

24 novembre 2014

"Les gardiens du silence" : la censure américaine sur les OVNI


Le dernier "bébé" des éditions Nouvelle Terre. 
Le crash de Roswell a bien eu lieu et ce n'était pas un accident.


"La polémique sur l'OVNI de Roswell au Nouveau-Mexique en 1947 n'en finit pas d'être relancée.
La légende, reprise par des théoriciens de la conspiration dans d'innombrables documentaires, tourne autour d'allégations sur un objet inhabituel tombé du ciel – un objet si bizarre que l'US Air Force avait publié un communiqué de presse disant qu'une soucoupe volante s'était crashée.
Cette histoire fut rapidement désavouée, créant ce qui deviendrait l'une des plus grandes légendes urbaines de l'histoire américaine.
La plupart de ceux qui, jusqu'à aujourd'hui, voulaient discréditer l'affaire, doutaient même de l'événement. Dans une interview exclusive aujourd'hui, le lieutenant colonel Richard French, retraité de l'Air Force, a raconté au Huffington Post qu'il y a eu en fait deux crashs. 

 
Cette révélation est particulièrement remarquable étant donné que French était connu autrefois comme démystificateur des histoires d'OVNI.
"Il y a eu en fait deux crashs à Roswell, il n'y a pas grand-monde à le savoir", a déclaré French au HuffPost. "Le premier OVNI a été descendu par un avion US expérimental qui volait près de White Sands, Nouveau-Mexique, et il a tiré avec ce qui était en réalité une arme à pulsations électroniques qui perturbait et déstabilisait tous les contrôles de l'OVNI, et c'est pour cette raison qu'il s'est écrasé."


Extrait d'un article du Huffington Post daté d'août 2012, cité dans le dernier livre édité par les éditions Nouvelle Terre, "Les Gardiens du Silence", écrit par Marc Saint-Germain. 

Ce livre fait en quelque sorte suite aux deux tomes de "Révélations" de Steven Greer, traduits et édités également par les éditions Nouvelle Terre.

Dans ce livre qui s'appuie sur des documents Top secret déclassifiés, on apprend donc qu'il y a bien eu deux soucoupes qui ont été descendues à Roswell en juillet 1947, sur le site de White Sands, par l'action voulue de puissants radars et que des cadavres ont été récupérés et autopsiés. 

OVNIS et extraterrestres censurés par les américains : Les preuves !

« […] les occupants apparaissent à bien des égards comme humains avec quelques différences anatomiques au niveau de la tête, des yeux, des mains et des pieds. D’une taille d’un mètre cinquante, ils sont de constitution chétive, leur peau étant de couleur grise rosâtre. Leur corps est dépourvu de pilosité et ils sont vêtus d’une tenue de vol moulante qui semble être à l’épreuve du feu (quelques-uns des corps laissaient supposer des brûlures à la tête et aux mains). Leur stature générale rappelle celle de jeunes enfants. Nous pensons qu’il y avait des individus des deux sexes, mais ils étaient difficiles à différencier. »
Extrait (traduit) de la page six d’une synthèse ultra-secrète de 1947 de l’Interplanetary Phenomenon Unit (« Unité des Phénomènes interplanétaires »), un document dont le niveau de classification passa en 1960 de « Top Secret » à « MAJIC » par le fait d’Allen Dulles, alors directeur de la CIA...



On apprend aussi que des OVNI ont été récupérés avant la guerre par les allemands, en 1941 par les américains et que le secret le mieux gardé d'Amérique était et est toujours celui sur les ET et leurs engins et la rétroingénierie à partir de la récupération des engins extraterrestres avec l'aide de scientifiques nazis, gentiment "invités" par les US.

On ne sera pas étonné non plus d'apprendre que les recherches sur les engins extraterrestres ont été financées par l'argent du trafic mondial d'opiacés organisé et géré par la CIA (elle-même créée au départ en rapport avec l'ufologie pour assurer les opérations psychologiques de désinformation et la surveillance). 



À paraître début 2015 chez le même éditeur : "Pour cause de sécurité nationale" de Cathy O'Brien et Mark Phillips, suite de "L'Amérique en pleine transe-formation".


18 août 2014

Une rencontre extraordinaire : Coeurvaillant (5/5)


CHAPITRE 17

Alchimie magique


Si nous imaginons que deux humains ont établi entre eux ce pont à double sens que nous avions trouvé, Cœurvaillant et moi si pratique et si profitable, cela nous aidera à comprendre comment l'Entendement Universel parle à travers un homme à son chien et à travers le chien à l'homme. Un tel pont invisible entre deux humains indiquerait qu'ils sont en parfait accord, en état de véritable compagnonnage. Un tel état ne pourrait s'épanouir que dans le respect mutuel, l'admiration, l'appréciation, la loyauté, la courtoisie et le désir mutuel de donner de son mieux.

Ainsi une sorte d'alchimie magique se produit par laquelle chacun, sans sacrifier le caractère unique de sa propre individualité, s'harmonise avec l'autre de sorte qu'ils ne semblent plus faire qu'une seule unité. Les yeux voient, les oreilles entendent à l'unisson, le cœur bat au rythme de l'autre. Leurs vies coulent ensemble dans une unité intégrée de savoir, d'être et d'action.

Nos deux humains parviennent enfin au point de leur entente où le langage vocal, écrit et même les signes deviennent superflus entre eux. Ils s'aperçoivent qu'ils n'ont plus besoin de symboles d'expression pour partager leurs pensées et leurs sentiments. Ils se trouvent en accord parfait l'un avec l'autre, et s'aperçoivent aussi qu'ils s'accordent avec tous les autres vivants.

C'est cela que nous établissions en nous, Cœurvaillant et moi. Nous avancions avec d'assez grandes difficultés à cause de ma grande ignorance de ces choses. Mais plus je persistais, plus cela devenait facile. Je commençais à comprendre combien il y a peu de différence entre la création d'un pont mental avec un autre humain et celle d'un tel pont avec un chien, à condition, je l'ai déjà dit, que le pont, allant de l'homme au chien, reste aussi élevé et aussi horizontal qu'il le serait vis-à-vis d'un humain intelligent et respecté ; à condition aussi que le courant de la pensée puisse passer dans les deux sens et que l'humain en question ait au moins une connaissance préliminaire de la Divinité innée en toute vie, cette Divinité qui nous relie tous à tous les autres êtres vivants en une parenté véritable.

17 août 2014

Une rencontre extraordinaire : Coeurvaillant (4/5)



CHAPITRE 13

Globes oculaires

La découverte humiliante du fait que j'avais été parfaitement incapable de voir un chien que je regardais fit tomber entre Cœurvaillant et moi toutes sortes de barrières et donna à nos rapports une impulsion, une direction et un but nouveaux.

Lorsque nous avions commencé à vivre ensemble, mon attitude envers Cœurvaillant était tout à fait conventionnelle. Je m'assignais une place élevée dans l'échelle des valeurs parce que j'étais "un humain" et je lui donnais une place très inférieure parce qu'il se trouvait qu'il était "un chien". Et cela en dépit de ses talents exceptionnels, de sa célébrité mondiale et des importantes sommes d'argent qu'il gagnait pour les autres. Pendant longtemps j'avais eu l'impression que, tandis que je vivais sur les plans élevés de l'existence, tous les animaux, sans même exclure Cœurvaillant, étaient contraints de vivre sur un plan beaucoup plus bas, à des niveaux mentaux et physiques relativement sans importance, et que, entre eux et moi, il pouvait y avoir certains liens de service assez limités, mais pas grand-chose de plus.

Ces idées devaient être radicalement changées.

Lorsque je commençai à me faire instruire par Cœurvaillant, je fus contraint d'admettre que, si je voulais parvenir à le bien comprendre, lui ou tout autre être vivant, il me faudrait me servir de quelque chose qui soit autrement pénétrant et perspicace pour voir que les deux globes oculaires qui, logés dans mon crâne, scrutaient entre mes paupières gens et choses.

Il me fallut pour ainsi dire écarter mes yeux en tant que moyens d'observation et commencer à me servir, pour voir, de mon penser. Cette pratique n'est point si fantastique qu'il semblerait de prime abord. Elle a un long précédent, établi par les hommes et les femmes les plus distingués et les plus sages à travers l'histoire. Il est intéressant de noter que presque tous se mirent d'accord sur les principes de base suivants : nos cinq organes sensitifs nous donnent un certain sens de l'univers et des différentes choses qu'il contient, mais ne nous aident point à faire l'expérience des choses telles qu'elles sont en réalité. Les organes des sens déforment plutôt, en fait, la réalité ; tout se passe comme si nous essayions de voir et de comprendre un merveilleux panorama au travers d'un appareil photographique dont la lentille ne serait pas bien ajustée. Les grands explorateurs spirituels qui ont recherché les faits véritables au-delà des apparences nous ont dit que l'univers est sans défaut dans sa conception, dans son dessein et dans son opération. Mais ils ont fait remarquer que la
plupart des humains ont de la difficulté à voir et à comprendre cet univers véritable à cause de leur vision intérieure défectueuse et de leur répugnance à corriger cette vision intérieure.

16 août 2014

Une rencontre extraordinaire : Coeurvaillant (3/5)


CHAPITRE 9

Rat du désert


Il est connu comme le rat du désert. Le seul nom qu'il porte depuis des années est Dan du Mojave, et c'est le seul dont il ait besoin. Il aime le désert et le désert lui révèle sans cesse ses secrets les plus profonds. Sa "famille" consiste en un assortiment de chiens et d'ânes, auxquels viennent souvent s'ajouter, en hôtes temporaires, des animaux sauvages. Dan n'a pratiquement aucun standing social ou économique, mais il est riche de choses qui ne pourront jamais lui être enlevées, ni à présent ni dans l'éternité.

C'est un des hommes les plus libres que j'aie jamais connus. Il n'a ni obligations, ni responsabilités, ni soucis, ni craintes et point d'ennuis. Lorsqu'il a des besoins pour sa "famille" ou pour lui-même, il sait où puiser assez d'or pour y subvenir. Jamais il ne tire de la terre plus d'or qu'il n'en faut à ses modestes nécessités. Il va où il veut, quand il veut, et il fait ce qu'il lui plaît comme il lui plaît.

A cause de son habitude d'imprévisibles errances, il est souvent difficile de trouver Dan. Le désert dans lequel il vit est immense et l'on ne sait en quel endroit il se trouve. Je souhaitais beaucoup entrer en contact avec lui parce que, jusqu'à ce moment-là, il était le seul humain que j'eus connu, capable de tenir des conversations réciproques avec les animaux et de partager avec eux des idées. Dan ne lit jamais de livres, de magazines ou de journaux, il n'écoute jamais la radio, ne regarde jamais la télévision et pose rarement des questions aux humains ; cependant, il est à tout moment extraordinairement bien informé sur tout ce qui, pratiquement, l'intéresse, que ce soient choses proches ou lointaines. Ces informations lui viennent de ses chiens et de ses ânes, d'animaux sauvages, de serpents, d'insectes, d'oiseaux, en fait de tout ce qui traverse sa piste. Le vrai mystère, ce n'est pas seulement la capacité qu'a Dan de communiquer silencieusement ses pensées à l'animal, mais celle de comprendre lorsque l'animal lui parle.

A plusieurs reprises j'avais essayé d'obtenir de Dan qu'il me dise comment il s'y prenait pour établir une correspondance pratique avec les formes non humaines de la vie, mais il s'y refusait. Aucun de ses autres amis n'avait obtenu de lui qu'il lui livrât son secret.

Sa réponse à ces requêtes était que de telles choses étaient trop intimes pour qu'on en parle et ne pouvaient s'acquérir que par l'effort personnel et l'humilité véritable.

Je n'emmenai pas Cœurvaillant, bien que je souhaitasse vivement que Dan et lui fissent connaissance. A cette époque de l'année le désert était beaucoup trop chaud pour le grand chien ; avec beaucoup de réticences je le laissai donc, ce qu'il n'approuva point du tout.


15 août 2014

Une rencontre extraordinaire : Coeurvaillant (2/5)


CHAPITRE 5

Tenir compagnie

Il n'est point facile de savoir être le compagnon d'un chien qui est une célèbre vedette de cinéma. Ici la difficulté était Cœurvaillant lui-même. Il était trop mystérieux, trop sûr de soi, trop capable, trop "vache sacrée" pour moi dont la connaissance des chiens était limitée. Ce qui était à ma portée c'était un spécimen plus ordinaire, un chien, par exemple, venu de la fourrière qui, non seulement avait besoin d'un ami, mais qui se trouverait, sans cet ami, en danger de subir le sort des animaux perdus.

Cœurvaillant était l'animal le plus extraordinaire que j'eusse jamais vu. Il était particulièrement distingué par ses processus pensants, par la façon dont il raisonnait les choses, parvenait à ses propres conclusions et puis traduisait ses conclusions en action pratique sans le secours humain. Une telle indépendance, une telle sagesse chez un chien étaient difficiles à admettre, même pendant qu'on en observait l'opération.

Cœurvaillant recevait de nouveaux jouets que lui envoyaient ses admirateurs de toutes les parties du monde, et il aimait beaucoup jouer avec eux. Lorsqu'il en avait envie, il ouvrait le placard qui les contenait, les regardait pendant quelques instants, puis il en choisissait un avec ses dents, sortait du placard à reculons, fermait avec soin la porte, emmenait le jouet au jardin et s'en amusait. Lorsqu'il en avait assez, il rentrait son jouet, ouvrait la porte du placard, plaçait le jouet exactement à l'endroit où il l'avait pris et s'en allait, ayant soigneusement refermé la porte.

S'il me voyait commencer un travail - faire le lit, le ménage, bouger des meubles, laver la voiture ou jardiner - il insistait pour me venir en aide, se servant de ses mâchoires au lieu des mains et m'aidant toujours efficacement.

J'avais été autorisé à prendre complètement en charge Cœurvaillant et à diriger toutes ses activités privées ou publiques, mais il se mit en devoir de renverser cet ordre des choses quelques minutes après notre rencontre : il prit soin de moi comme s'il avait été l'humain et moi le chien. Sa formation, naturellement, avait comporté des travaux de police et de guerre, de sorte qu'il avait l'habitude de prendre en charge gens et choses. Et du fait de sa force physique et de ses records de combat, on n'était point tenté d'en disputer avec lui. Il m'accepta de bonne grâce en tant que compagnon provisoire, comme on le lui avait ordonné, mais il donna sans cesse l'impression de me prendre, en réalité, en charge et que l'acceptation de sa part de quelque autorité dont je fisse preuve, n'était que concession temporaire. 

14 août 2014

Une rencontre extraordinaire : Coeurvaillant (1/5)


Je démarre aujourd'hui la publication en plusieurs parties d'une rencontre humain-animal extraordinaire. Ce récit est extrait du livre de John Allen Boone, "Des bêtes et des hommes", publié en français en 1975 par les éditions Dangles, et non réédité. Il est aujourd'hui quasiment introuvable (sauf à des prix invraisemblables, 124 € d'occasion chez Amazon par exemple). C'est un livre que j'ai lu plusieurs fois, que j'ai prêté et jamais récupéré. Par bonheur, je suis tombée sur un site qui le propose en PDF.





Le livre relate plusieurs expériences de communication non-verbale entre l'auteur et différents animaux. Vous allez avoir droit à sa rencontre avec Coeurvaillant ("Strongheart", né en 1918 et mort à 11 ans en 1929), un magnifique berger allemand qui fut un chien vedette du cinéma muet dans les années 20. Le chien a été confié à Boone pendant quelques semaines...



J'ajoute quelques photos du chien vedette et la seule vidéo qui subsiste sur un film où on le voit en action, le tout seulement disponible sur des sites américains.

(Belle synchronicité avec le lien de la vidéo envoyé par Coincidence que j'ai postée hier sur la communication animalière.)


CHAPITRE 1

Météore à quatre pattes


De toutes les sensations produites dans le monde coloré du théâtre, peut-on surpasser celle que fit le célèbre berger allemand Cœurvaillant ? S'imposant soudain, tel un météore, à l'attention du public, il devint la première vedette d'Hollywood, faisant salles combles. Pendant plus de trois ans il fut l'objet le plus admiré, le plus aimé, porté aux cimes du cinéma. Puis, toujours avec la rapidité du météore, il disparut de la scène terrestre et de la vue humaine, laissant des millions d'hommes, de femmes et d'enfants, ses admirateurs fervents, dans toutes les parties du monde.

Si vous avez eu la bonne fortune de voir Cœurvaillant dans quelques-uns de ses films, le seul rappel de son nom évoquera pour vous des souvenirs émus. Vous vous rappellerez un grand chien magnifiquement bâti qui accomplissait des choses presque incroyables et qui les faisait avec une intelligence et une aisance quasi inexplicables. Si vous ne le vîtes jamais au cinéma, il est encore temps de le connaître, à cause des grandes choses qu'il continue de partager avec nous au-delà du temps, de l'espace et du phénomène de la mort lui-même.

Cœurvaillant vint à Hollywood à la suite d'une idée conçue par deux personnalités très en vue du monde du théâtre : Jane Murfin, auteur distingué de pièces de théâtre et de scénarios pour le cinéma, et Larry Trimble, metteur en scène et directeur de théâtre. Larry n'avait pas son pareil pour comprendre et se faire comprendre des animaux sauvages et domestiques et pour obtenir d'eux qu'ils travaillent devant les caméras. L'idée de Jane et de Larry était de rechercher dans le monde entier un chien exceptionnel, de le ramener à Hollywood et d'en faire la vedette d'une série de films dramatiques. On s'était déjà servi de chiens au cinéma, mais il s'agissait à présent d'une grande production pour laquelle on envisageait une publicité monstre.