Affichage des articles dont le libellé est Découvertes. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Découvertes. Afficher tous les articles

09 avril 2017

Nucléaire et OVNI, suite 2 et fin

LIEN vers l'article original de Miles Mathis.

LIEN vers les premiers commentaires du lecteur de Miles Mathis.

LIEN vers la première partie de la suite des commentaires du lecteur.

* * * * * * * * * * * *

NRO


Source de l'article

Traduit par Hélios
Les commentaires de Miles Mathis sont en vert.




La base Air Force de Kirtland était impliquée dans le Projet Manhattan, c'était un centre d'essai de vol, et plus tard le "quartier général d'essais de la 58ème division de bombardiers, qui stationnait sur l'aérodrome militaire de Roswell au Nouveau-Mexique". C'est là que s'est déroulé le crash de Roswell en 1947, plus précisément dans un ranch près du village de Corona, près de Roswell. N'est-ce pas le même nom que le projet de satellite Corona d'Hiller/Lockheed ? Et à quelle date le crash a-t-il été rapporté ? Le 8 juillet 1947 ; la CIA a été officiellement créée deux semaines plus tard, le 26 juillet (2+6 = 8) 1947. Et qui dirigeait le projet Corona ? La CIA. Et regardez ce qui est dit sur wiki : "L'armée décida de dissimuler le but réel du dispositif qui s'était écrasé – un suivi de test nucléaire – et informa à la place le public en annonçant que le crash était celui d'un ballon météo". Ce qui soutient de nouveau votre thèse concernant un nouveau type de transport probablement en cours d'essai. [Miles : oui, mais c'est encore du détournement d'attention parce qu'ils essaient de refourguer le programme nucléaire, même s'ils "divulguent" le "but réel". Donc, même quand ils disent les choses en règle, ils ne font que raconter un autre mensonge. C'est pourquoi nous devons examiner tout ces trucs du NRO de très près. Comme pour toutes les autres "fuites", nous pouvons supposer que celles-ci sont sous contrôle.]

06 avril 2017

Nucléaire et OVNI, suite 2

Comme annoncé dans mon commentaire, voici la dernière partie des recherches effectuées par le lecteur de Miles Mathis. Comme c'est assez long, je le publie en deux fois. Les commentaires de Miles Mathis sont en vert.

Source de l'article
Traduit par Hélios

NRO

Vos commentaires m'ont donné matière à réflexion, j'ai donc fait d'autres recherches. Ces écussons réclament une analyse.

Comme je le disais précédemment, la flèche noire sur le premier écusson est placé au-dessus des territoires britanniques d'outre-mer de Ste Hélène, Ascension et Tristan da Cunha. Il en est de même pour la flèche du dessous.

Nous avons déjà parlé d'Ascension, mais qu'en est-il des autres îles ? Je me demande tout d'abord pourquoi Napoléon a été exilé en 1815 à Ste Hélène par les Britanniques, sur l'un des lieux les plus isolés de la planète. Et pourquoi une garnison militaire a-t-elle été maintenue sur l'île Tristan da Cunha pour se prémunir de toute tentative française à venir au secours d'un Napoléon emprisonné à Ste Hélène, à 2173 km de là ? Cela semble ridicule.

02 avril 2017

Nucléaire et OVNI, suite


Voici le compte-rendu des recherches faites par l'un des lecteurs de Miles Mathis à la suite de son article sur les coulisses du programme nucléaire. Il traite entre autres des écussons de mission du NRO (Bureau de Reconnaissance National). 

Selon Wikipédia :
Le National Reconnaissance Office (NRO) est l'une des 17 agences de renseignements des États-Unis. Elle crée, construit, et met en opération les nombreux satellites espions du gouvernement américain. De plus, elle coordonne la récupération et l'analyse des informations des engins espions des services militaires et de la Central Intelligence Agency. Le NRO, qui fait partie du département de la défense, reçoit ses fonds du National Reconnaissance Program.
Le NRO travaille en étroite collaboration avec les autres agences de l'information et de l'espace, ce qui inclut la National Security Agency, la National Geospatial-Intelligence Agency, la Central Intelligence Agency, la Defense Intelligence Agency et plusieurs autres organisations. Le NRO est responsable de l'opération de nombreuses stations sur le sol qui collectent l'information prise par les satellites, pour ensuite la redistribuer.

Les commentaires de Miles Mathis figurent en vert dans le texte.

Source de l'article 

Traduit par Hélios.

NRO

[Miles : ce qui suit a été écrit par l'un de mes lecteurs en réponse à mon récent article qui discutait de ce qui peut se cacher derrière le problème nucléaire. Je l'ai publié pour votre édification avec quelques brefs commentaires de ma part.]

La référence à Hiller pourrait expliquer pourquoi les gars de la sphère conspirationniste ont pimenté l'histoire OVNI/extraterrestre avec les soucoupes volantes nazies. Et si les lumières de Phoenix "en forme de boomerang" (comme le disent des témoins dans les vidéos sur YouTube) étaient réelles, cela pourrait expliquer autre chose. Quand j'ai lu votre supposition des super-riches voyageant silencieusement de nuit dans les nouveaux modes de transport, cela m'a frappé. Je me suis souvenu de l'un des écussons les plus effrayants des missions de la NRO, sorti en août 2000 (3 ans après l'événement des lumières de Phoenix), avec des yeux de hibou et la devise La nuit nous appartient.

27 mars 2017

Programmes nucléaires et OVNI selon Miles Mathis


Miles Mathis (qui est physicien, je le rappelle) aborde le sujet du nucléaire et des OVNIs. 
J'ai omis de traduire certains passages concernant la généalogie (avec digressions) et résumé ce qui me semblait intéressant.

Que se cache-t-il vraiment derrière les programmes nucléaires ?



Par Miles Mathis (10 février 2017)
Traduit par Hélios

Comme à l'accoutumée, ce n'est que mon opinion, protégée par le droit à l'expression.

Cet article sera plus spéculatif que d'autres précédemment écrits. Les preuves cachées m'obligent souvent à déduire ou induire les causes probables, mais ici il me faudra induire plus que d'habitude. Je m'améliore à ce sujet en vieillissant et c'est parce que j'ai davantage de données dans la tête pour croiser les sources. J'ai étudié une large variété de questions depuis des dizaines d'années et à un moment toutes les pièces du puzzle se mettent en place. Au bout de plusieurs décennies, des schémas directeurs ressortent de tous les mensonges qu'on nous a racontés et le tissu de mensonges commence à s'effilocher. Il s'effiloche maintenant très vite selon moi.

12 janvier 2017

Le canular du 20 juillet 1969


On y revient. Et l'article qui suit sur le site d'Henry Makow me permet de découvrir aussi le travail d'information de Dave McGowan, décédé en décembre 2015 d'un cancer foudroyant du poumon. Cet homme a abordé plusieurs sujets sur un site aujourd'hui supprimé, mais ils ont été sauvegardés ailleurs par sa fille en mémoire de ses recherches (http://centerforaninformedamerica.com/). 

Sont abordées entre autres les réflexions de McGowan sur le 11 septembre (rédigées le 12/09), le MKUltra et l'affaire Dutroux, le site de Laurel Canyon (évoqué par Miles Mathis dans certains articles), le marathon de Boston et aussi le canular de la mission Apollo de 1969 (un PDF de 131 pages, lien donné dans l'article pour les anglophones). 


Fausses infos ??? L'atterrissage sur la lune était un canular

Par Henry Makow
Traduit par Hélios


(Dans ce livre publié en 1953, Wernher von Braun (1912-1977) a décrit ce qui serait nécessaire pour se rendre sur la lune. Ce n'est pas réalisable.)



[Henry Makow] : "Je n'avais jamais vraiment pris au sérieux les documents exposant l'atterrissage lunaire de juillet 1969 comme un canular jusqu'à ce que Glen m'envoie cette note jeudi dernier."


Par Glen

L'article [publié peu de temps avant sur le site] sur le film Figures de l'ombre parle de la première mise en orbite dans l'espace de John Glenn mais il enchaîne rapidement sur les alunissages Apollo. Sachant ce que je sais aujourd'hui, il est difficile de me rasseoir sans commenter une nouvelle série de mensonges que la majorité de la population a gobé tout cru.

08 janvier 2017

Elvis Aron Presley, projet des services secrets (3/3)

Partie 1
Partie 2

(...)

Au retour de Presley en 1960, Parker l'introduisit immédiatement à Hollywood où il resta presque toute la décennie. Ce qui n'est pas logique étant donné sa facilité supposée à gagner de l'argent avec les disques. On prétend qu'il avait vendu en février 1961 quelques 75 millions de disques. Entre 1964 et 1968, Elvis ne fit qu'un seul tube au top 10 parce qu'il passait tout son temps à faire des navets et des bande-sons pourries. Ce qui me semble une très mauvaise promotion si le but primaire est de gagner de l'argent. Mais leur but premier n'était pas de gagner de l'argent. Il était de faire de la propagande et les films étaient un bien meilleur véhicule de propagande que les disques. Les films d'Elvis faisaient tous passer de la propagande. Nous le voyons clairement d'après le premier, Love Me Tender. Il blanchit continuellement l'armée confédérée, ce qui n'était pas vraiment nécessaire en 1956, sachant que la guerre était terminée depuis 90 ans.  
  
Jailhouse Rock est un autre film de propagande, plein d'informations orientées. Elvis tue un homme et ne fait que 18 mois de prison. Il gifle ensuite violemment un manager mais n'est pas arrêté pour voie de fait. Mais le plus amusant dans le film ce sont les paroles de la chanson-titre :
Numéro quarante sept a dit à numéro trois
Tu es le prisonnier le plus mignon que j'ai jamais vu
Je me réjouis fort d'être en ta compagnie
Viens danser le rock du bagne avec moi.

Voyez-vous le problème ? Ils ne mélangent pas les sexes dans les quartiers de prison, donc 47 et 3 sont des hommes. Elvis dit à un autre homme : "tu es le prisonnier le plus mignon que j'ai jamais vu". Remarquez aussi les chiffres choisis. 1947 est l'année un de la CIA. Et ils adorent le chiffre 3, comme nous le savons.

Entre la fin de l'année 1960 et le début de l'année 1968, Elvis n'est pas apparu une seule fois à la télé. C'est étrange, si on se souvient de son succès avant son service militaire. Je suggère que c'est parce qu'ils ne travaillaient plus avec deux Elvis. Aron s'était apparemment déjà retiré à Graceland, où il passait tout son temps à manger et à jouer avec Priscilla. Elvis passait tout son temps à Hollywood et en studio. Il ne restait plus de temps pour la TV.

06 janvier 2017

Elvis Aron Presley, projet des services secrets (2/3)

Partie 1

(...)

La raison pour laquelle subsistent à ce jour des doutes quant à l'histoire de Parker est de dire qu'on lui a donné ce grade dans la Milice fédérale. Mais si le titre était honorifique comme suggéré, ce n'était pas un grade de la milice. Ce n'était pas du tout un réel grade militaire, c'était un titre, non un grade. Pour cette raison, je considère toute l'histoire comme une autre couverture. Que cachait-elle ? Bien, comme on nous a dit que Parker a rejoint l'armée aux environs de 1930, je suggère qu'il ne l'a en fait jamais quittée. En 1948, il y était depuis 18 ans, suffisamment de temps pour accéder au grade de colonel. Mais c'est probablement plus compliqué. Comme nous avons vu qu'il a certainement été recruté par le Renseignement international à l'époque de ses 17 ans, il a poursuivi cette activité pendant au moins 21 ans. On lui a probablement accordé la citoyenneté américaine dans le cadre de son projet ainsi qu'une formation linguistique poussée. C'est pourquoi personne n'a jamais remarqué d'accent néerlandais chez lui, je suppose. Ce qui expliquerait aussi comment il a pu échapper au gouvernement américain toute sa vie. Souvenez-vous, selon le récit officiel, il a rejoint l'armée, s'est marié, est devenu fabuleusement riche et célèbre en tant qu'agent d'Elvis et a géré l'immense propriété d'Elvis sans que le trésor public ou toute autre administration du gouvernement ne lui tombe sur le dos en prétextant qu'il était un étranger clandestin. Non crédible. Manifestement, ils ont tout le temps su qui il était. Pour preuve son certificat de décès où figuraient les Pays-Bas comme lieu de naissance et une nationalité américaine.

Je vous rappelle aussi qu'il serait né à Bréda. C'est un autre indice bien qu'ils soient sûrs que vous ne saurez pas le déceler. Bréda est une très ancienne, très célèbre et très riche cité, pas le genre d'endroit d'où proviendrait un immigrant.

(…) Bréda donne d'autres indices, car c'est pour le Bénélux le centre des opérations pour General Electric, General Motors, Scania, ExxonMobil, Texaco, Krohne et Toshiba. Mais avant tout on y trouve l'Académie militaire des Pays-Bas, un bras du Renseignement néerlandais. Un livre nous dit aussi que Al Qaïda opérait à partir de Bréda. C'est un autre repère pour le Renseignement, car bien sûr Al Qaïda est une création du Renseignement occidental.

Nous avons une nouvelle confirmation que Parker était l'instructeur de Presley et non son agent, par les pourcentages qu'il touchait. Un agent gagne normalement moins que son client, mais Parker a toujours gagné bien plus, même après la mort supposée de Presley. Par exemple, avec la société de licences de Presley, ce dernier n'en possédait que 22 %, alors que Parker en possédait 56 % et des partenaires anonymes possédaient les autres 22 %. C'est bien ça, Presley n'était même pas propriétaire d'un tiers. Ils admettent aussi que "en raison d'un accord malavisé entre Parker et Presley", RCA possédait tous les droits sur les chansons sorties avant 1973. Pardon ? Comment cela peut-il se baser sur un contrat entre Parker et Presley ? Parker et Presley se concertent et tombent d'accord pour donner à RCA 100 % des royalties ? Cela paraît-il rationnel ? Rappelez-vous, nous avons vu le même genre de choses avec les Beatles, qui ont mystérieusement renoncé ou vendu la plupart de leurs droits d'édition et royalties.

04 janvier 2017

Elvis Aron Presley, projet des services secrets (1/3)


Miles Mathis (2006)

La vie du "King" version Miles Mathis. Comme beaucoup d'autres artistes à la carrière très médiatisée, Presley est le produit d'un projet conduit dès son enfance. 



La longueur de l'article m'a obligée à laisser de côté certaines digressions, mais j'ai ajouté quelques photos.




Elvis Aron Presley, projet des services secrets




Par Miles Mathis (15 décembre 2015)

Traduit par Hélios

Comme d'habitude, ce n'est que mon opinion, résultat de ma recherche personnelle.

J'imagine que cet article ne va pas être très populaire. Après tout, la plupart des gens aiment Elvis – tout du moins l'Elvis des débuts. Pour mieux faire passer la pilule, sachez que moi aussi j'apprécie Elvis. Ce que je vais vous révéler n'a rien à voir avec son talent. Il en avait. C'était un gars séduisant avec une belle voix et beaucoup de charisme. C'est pourquoi on l'a choisi. Pour cela et pour d'autres raisons.

Pour démarrer, nous allons de nouveau parcourir la page Wikipédia  [celle en anglais, bien entendu] à la recherche de signaux d'alarme. Je vais vous montrer comment lire ces points-clé et comment les relier à d'autres informations plus importantes. La première chose qu'on lit est qu'Elvis avait un frère jumeau qui est mort à la naissance mais on ne nous dit pas toute la vérité. On doit donc garder ça sous le coude pour l'instant. On m'écrit souvent pour me demander si les espions se servent du clonage et cette question est en rapport avec notre affaire. Je répondrai brièvement qu'ils n'en ont pas besoin car la nature le fait déjà. Les services du Renseignement recherchent des vrais jumeaux qui sont en quelque sorte déjà des clones. Le truc sympa avec les jumeaux, c'est qu'ils peuvent se trouver à deux endroits à la fois. Et si vous en perdez un, vous en avez un autre de rechange.

Le signal d'alarme suivant est la mère d'Elvis, Gladys Love Smith. On apprend que l'arrière-grand-mère de Gladys a pu être une Cherokee, mais c'est une fausse piste. En réalité elle était juive. Gladys était elle-même juive, même s'il semble qu'elle ne pratiquait pas en raison de la désapprobation de son mari. Elvis savait pourtant qu'elle était juive et se considérait lui aussi comme juif (sachant qu'on est juif par sa mère). Une étoile de David figurait sur la pierre tombale originelle (remplacée depuis) de Gladys.

Elvis a été membre à vie de la communauté juive de Memphis. Il portait toujours un pendentif haï qu'on peut voir sur la photo ci-dessus. Haï signifie "vie" en hébreu et désigne l'émanation divine la plus proche du plan terrestre. En grandissant, Elvis est devenu chef de la mafia de Memphis, un groupe de garçons connu pour ses fanfaronnades. On trouvait aussi dans ce groupe George Klein, Marty Lacker, Larry Geller et Alan Fortas – tous juifs. Alan Fortas était le neveu d'un juge de la Cour Suprême, donc raconter qu'Elvis était pauvre et n'avait pas de relations est encore faux. Ses amis n'étaient pas seulement juifs, ils étaient des Juifs en vue.

11 novembre 2016

Harry Potter, le grand canular (2/2)

Partie 1

Suite de l'article de Miles Mathis, traduit par Valuebreak.
(...)

Bloomsbury Publishing est également tout près, juste après l'Université de Londres, à un bon kilomètre environ au sud de Regent's Wharf [quai du canal, voir photo plus loin].

Encore plus proche de Regent's Wharf que le Tavistock, il y a IBS Intelligence.
Fondée en 1991, IBS Intelligence est la source ultime des informations et des analyses indépendantes relatives aux marchés mondiaux de la technologie financière.
À côté se trouve le Digital Catapult Center, "développement de solutions innovantes pour le partage de données au Royaume-Uni". Un peu plus loin, le Startup Funding Club, spécialisé dans les services de financement des Startup".

Il est flanqué du Forum des services financiers.
Le Forum des services financiers est une organisation politique financière et économique non partisane composée des PDG des 18 institutions de services financiers les plus importantes et les plus diversifiées opérant aux États Unis.
Ce qui inclut JPMorganChase, Citigroup, BankofAmerica, GoldmansSachs, BNYMellon, Wellsfargo,UBS AG, Fidelity, DeutscheBank, HSBC, GE Capital, Prudential, MorganStanley, MetLife, et Allstate. Le forum des services financiers est situé à environ 250 mètres au sud de Regent’s Wharf.

Étrange de les trouver tous aux alentours de la gare de King’s Cross, n’est ce pas? On les chercherait plutôt dans la City. Je suggère que le Forum des services financiers est le lien de la City avec le Renseignement, et qu’il n’est pas situé là par hasard.

09 novembre 2016

Harry Potter, le grand canular (1/2)

Revoilà Miles Mathis. Aujourd'hui, il nous présente le fruit de ses recherches au sujet des best-seller écrits par J.K. Rowling.

Qui est vraiment l'auteur des livres ? Quel message veulent-ils faire passer ?

Merci à Valuebreak pour sa traduction.


Harry Potter, le grand canular




Par Miles Mathis (15 mai 2016)
Traduit par Valuebreak pour le BBB

Comme d'habitude, ce n'est que mon opinion basée sur une recherche personnelle.

Quand je fais mes recherches, il vient toujours un moment où je stoppe et commence à écrire. Ce moment arrive en général étonnamment vite, bien avant quelqu'un d'autre dans le même cas. Cela se produit quand je trouve un indice si formidable, si imparable, qu'il me donne la certitude qu'écrire ne sera pas une perte de temps. C’est au moment où je suis si certain d'être sur la bonne voie, qu'il n'y a aucune risque de découvrir plus tard que je me suis trompé. Je commence donc à écrire avant d'avoir fait la majeure partie de la recherche, que je finirai par la suite en sachant alors vers quoi m’orienter. En d'autres termes, je ne fais pas la totalité des recherches d'abord, en passant ensuite à la rédaction. Je passe peut-être trente minutes à aller à la pêche sur le web, découvre ce formidable indice et commence immédiatement à écrire. Tout en rédigeant je cherche par la suite les éléments qu'il me faut pour avancer. Je les trouve toujours.

Dans l'énigme qui nous occupe, le fameux indice a été de découvrir que la mère de Nigel Newton s’appelait prétendument Anne St Aubyn. Nul doute que vous allez dire, " De quoi parle-t-il ?" Qui est Nigel Newton? C'est le fondateur de Bloomsbury Publishing, l'éditeur de J. K. [Joanne Katleen] Rowling. Curieusement, bien qu'il ait plusieurs bios en ligne, dont une sur Wikipédia, sa mère n’y figure pas. Il n'a pas d'entrées généalogiques. Mais on trouve une nécrologie de son père Peter sur le New York Times, et là, sa première femme est donnée comme Anne St. Aubyn. Elle a déclaré être la mère de Nigel. Maintenant, c’est curieux pour plusieurs raisons. Un, les recherches n'aboutissent à aucune Anne St. Aubyn, épouse de Peter Newton. Deux – et c'est l'argument décisif – je savais déjà qu'Anne St. Aubyn était un personnage historique célèbre. Elle est également connue sous le nom de Anne Arundell, petite-fille de William Arundell de Menadarvy. Cette famille Arundell était étroitement liée à la Royauté (à Henri VIII, par exemple), et Anne St. Aubyn était du clan Trerice des Arundell, sis à Newlyn. Donc cette famille Arundell est très célèbre, c’est la raison pour laquelle nous avons des généalogies complètes remontant sur des siècles.

En outre, selon thepeerage.com [site traitant des titres de la noblesse britannique et européenne] [http://www.thepeerage.com/p7077.htm], il n'y a plus d’Anne St. Aubyn depuis 1800 environ. Il y en a eu plusieurs, mais aucune dans les deux derniers siècles. La famille est encore importante, Edward St. Aubyn, un écrivain, fait toujours les gros titres. Mais il n'a aucune parente vivante ou récemment décédée nommée Anne ou Ann. Par conséquent, nous pouvons en déduire que les rédacteurs des services du Renseignement se jouent de nous encore une fois. Si cette Anne St. Aubyn est un personnage fabriqué, il est probable que son fils Nigel Newton le soit également. Il existe probablement, mais uniquement comme façade pour le MI6 ou la CIA.

01 novembre 2016

Napoléon 1er revu par Miles Mathis (3ème et dernière partie)

Suite et fin de l'article de Miles Mathis sur Napoléon.

1ère partie
2ème partie

Traduit par Hélios



(...) Mais d'autres guerres truquées étaient nécessaires pour lever davantage d'impôts dans les nations européennes et transférer l'argent du trésor public dans les poches des milliardaires. Juste comme aujourd'hui. Le meurtre du duc servit donc à inciter à de nouvelles guerres, mettant prétendument en colère les royautés d'Angleterre et d'Autriche.

Pour que les choses soient claires, je ne dis pas que ces guerres et batailles ne se sont jamais produites. À ce stade, je laisse la question ouverte, mais je suppose qu'il y eut vraiment des guerres. Il me semble que la plupart des batailles sont surestimées et orchestrées, mais je suppose que beaucoup de gens y ont participé et qu'il y eut des morts. Dans certains cas comme Marengo, soit la bataille n'a pas eu lieu du tout ou elle a été largement exagérée et faussement rapportée. Mais dans la plupart des cas je suppose que les batailles sont simplement exagérées et faussement rapportées. En d'autres mots, elles se sont produites d'une certaine façon, mais pas comme on nous l'a dit.

Bien que cela puisse apparaitre sans doute comme une opinion radicale, je ne suis pas sûr qu'elle aille assez loin. Il est possible qu'après d'autres recherches, nous découvrirons qu'une majorité de batailles de l'histoire ne se sont déroulées que sur le papier. Si vous avez suivi mes recherches de ces trois dernières années, je pense que vous voyez ce que je veux dire. Strictement rien dans ce que nous avons étudié ne s'avère être ce qu'on nous a enseigné.

30 octobre 2016

Napoléon 1er revu par Miles Mathis (2ème partie)

La suite de la saga napoléonienne revue par Miles Mathis.

Traduit par Hélios

 
(...) En 1785, Napoléon fut engagé comme second lieutenant. Pendant quatre ans, entre 1785 et 1789, Napoléon eut deux ans de permission. Vraiment ? Est-ce ainsi qu'un engagement fonctionne ? Si par exemple vous sortez diplômé de West Point, vous vous engagez pour cinq ans sans permission prolongée. Toute permission accordée ne durera que quelques jours. Durant cette période, on nous dit que Napoléon fut un fervent nationaliste corse qui disait [dans une lettre à Paoli en 1789] :
Je naquis au moment où la nation périssait. Trente mille français furent lâchés sur nos plages, noyant le trône de la liberté sous des flots de sang. Telle fut ma toute première odieuse vision.
Ce qui confirme deux choses écrites ci-dessus : 1) Même alors, Napoléon ne se considérait pas comme français ; 2) Au moment de sa naissance, la Corse combattait toujours pour son indépendance. Napoléon ne dit pas, "Je naquis après le dépérissement de la nation".

Puis nous avons cette ridicule histoire de son combat aux côtés des corses :
En juillet 1792, il fut promu capitaine dans l'armée régulière, malgré un dépassement de son temps de permission et son rôle de leader dans un combat contre l'armée française en Corse.
Qui est assez stupide pour croire ça ? C'est comme pour la bio de Castro, dont je viens de faire l'analyse critique. Ces gars mènent toujours des coups d'état contre leur propre pays et ils sont ensuite acquittés ou promus après.

L'histoire stupide suivante est le siège de Toulon, où Napoléon est passé de capitaine à général de brigade à l'âge de 24 ans.

(…) Le récit du 13 Vendémiaire se lit de la même façon : du grand n'importe quoi. Il a été manifestement fabriqué après coup pour expliquer l'ascension de Napoléon. Il n'a sinon aucun sens ni dans son ensemble ni dans ses détails. Il se lit comme s'il avait été écrit par un français ayant ingurgité un peu trop de Bordeaux. Étonnamment, il est considéré comme de si peu d'importance par les historiens américains ou anglais qu'ils ne se sont même pas donnés la peine de publier une page Wikipédia en anglais sur le sujet. Elle a été clairement écrite par un français qui ne maîtrise pas très bien l'anglais. En fait, plusieurs sections sur la page Napoléon sont à lire de la même manière.

28 octobre 2016

Napoléon 1er revu par Miles Mathis (1ère partie)

Si ça continue, le BBB va devenir l'un des blogs officiels en français de Miles Mathis, mais cet auteur américain le mérite, par sa sagacité et ses nombreuses recherches.

Aujourd'hui, il s'attaque à l'un des fleurons de l'histoire française. Souvenez-vous de vos années de collège où l'on vous enseignait l'épopée du valeureux Napoléon Bonaparte. Pourrait-on remettre certains de ses hauts faits militaires et politiques en question ? Et autre question : était-il juif ?


Mathis se base (comme souvent) sur ce que relate le Wikipédia anglais. Or, chose curieuse, on y trouve des informations ne figurant pas sur la page en français, censée être plus détaillée et vice versa, ce qui rend les infos de Wikipédia encore plus incohérentes. 


Cet article étant très long, certaines digressions de Mathis trop éloignées de sa démonstration sur Napoléon ont été omises dans la traduction.


Napoléon était-il juif ?


Par Miles Mathis (16 avril 2016)
Traduit par Hélios


Comme d'habitude, ce n'est que mon opinion, forgée par recherche personnelle.

Vous n'allez pas croire ce qui m'a fait aborder ce sujet. Bon, ceux qui savent que je suis artiste et que j'étudie de près les photos voudront bien le croire. Ce fut cette photo de Karl Marx.
Observez sa main. Il fait la même chose que Napoléon, n'est-ce pas ? Pourquoi ? Eh bien, nous savons que Marx était juif. Cette position de la main cacherait-elle une sorte de code ? Napoléon aurait-il utilisé le même ? [note d'Hélios : Marx et Bonaparte étaient aussi franc-maçons, la "main cachée" est un signe de reconnaissance qu'on voit sur de nombreux portraits officiels]

Avant d'écarter cette idée en la jugeant ridicule, vous devez savoir que beaucoup de gens très connus pensaient que Napoléon était juif. Je ne suis donc pas le premier à le suggérer. Benjamin Disraeli, le seul juif à avoir été Premier Ministre en Angleterre, insinuait que Napoléon était juif. Disraeli a écrit de la fiction et dans son livre Tancrède, (publié en 1847 – notez la date), il faisait dire à son narrateur Sidonia que les crypto-Juifs [ceux qui adhèrent secrètement au judaïsme, tout en adhérant officiellement à une autre foi] étaient partout en position de pouvoir, qu'ils soient généraux, érudits ou hommes d'état. Il écrivait que non seulement Napoléon était juif, mais que Mozart, Beethoven et Haydn l'étaient également. En tant que juif lui-même, Disraeli savait. Dans son livre suivant, Lord George Bentinck, il est allé plus loin, nous apprenant que
Les premiers Jésuites étaient juifs ; cette mystérieuse diplomatie russe qui alarme tant l'Europe est organisée et poursuivie par des juifs… on trouve des hommes de race juive à la tête de chacun de ces groupes [communiste et socialiste].
Hum. Cela semble confirmer ce que j'ai découvert dans de récents articles, pas vrai ?

En fait, les propos de Disraeli étaient si accablants qu'ils nécessitaient une riposte, ce fut d'abord George Eliot [romancière britannique 1819-1880] puis Hannah Arendt qui s'en chargèrent. La réponse d'Eliot est particulièrement intrigante, elle disait que la politique électorale de Disraeli se résumait à
une éloquence si ronflante du style — " vous européens au visage joufflu, au nez rond, vous devez votre commerce, votre art et votre religion aux hébreux". Mais ma nature de Gentil se rebelle résolument contre toute supériorité supposée des juifs et est presque prête à se faire l'écho de la vitupération de Voltaire. Je m'incline devant la suprématie de la poésie hébreu, mais une bonne partie de leur mythologie originelle et presque toute leur histoire est absolument ignoble.
George Eliot
Eliot est malgré cela révérée par les Juifs en tant que pro-sioniste. Une rue porte son nom dans trois villes israéliennes, y compris à Jérusalem. Mais la réponse d'Eliot sert à nous dire comment lire Disraeli. Nous serions enclins à nous demander pourquoi un Juif dénigrerait ses compagnons juifs. Simplement parce qu'il ne pourrait s'empêcher de s'en vanter.

Disraeli nous informe aussi que l'un des généraux de Napoléon, Masséna, était un crypto-Juif, son nom étant au départ Manasseh. Ce qui nous fait penser à Manasseh ben Israël dans mon article sur la Kabbale.


23 octobre 2016

Steve Jobs, l'audacieux, le génie, l'impitoyable... le FUMISTE (3ème et dernière partie)

Suite et fin de la biographie de Steve Jobs par Miles Mathis.

Traduit par Valuebreak

Avant d'aborder la mort mystérieuse de Jobs, jetons un œil à sa femme présumée, Laurene Powell.


Comme le reste, il y a plein de trucs louches autour d'elle. Le premier truc est que sa page Wiki est totalement expurgée. Ils n'énumèrent même pas ses parents, ce qui est très rare pour une personne célèbre. Ils le font presque toujours. Sa Page Geni est également expurgée, aucune information. Même chose pour l'Applegazette et sa page sur Wikitree. Intelius nous dit qu'elle est reliée familialement à Johnson Ellman et Burke Ellman. Elle a fréquenté l'Université de Pennsylvanie, la Wharton School of Business, et la Stanford School of Business, où elle a obtenu son MBA [Maîtrise en Administration des Affaires]. Tous d'éminents nids d’espions. Voici un truc encore plus louche:

Avant l'école de commerce, Powell Jobs a travaillé pour Merrill Lynch Asset Management et a passé trois ans chez Goldman Sachs en tant que stratège de trading.

Notez : avant l’école de commerce, donc juste à la sortie de l’université de Pennsylvanie. Elle est donc passée en fait directement de Goldman Sachs à Wharton. Vous commencez à voir pourquoi ils ont effacé une grande partie de sa biographie. Il suffirait juste de rajouter Langley [siège de la CIA] dans sa bio pour avoir confirmation que c'est bien une barbouze. Elle est censée peser aujourd'hui 23 milliards de dollars. Juste pour dire que c'est plus que ce que Steve Jobs a jamais pesé. Quand j’ai fait des recherches sur Jobs en 2011 pour mon article sur Zuckerberg, Jobs pesait 8 milliards de dollars. La valeur d’ Apple aurait-elle triplé en  quatre ans ? Pas que je sache. La valeur boursière d' Apple avait triplé avant 2011, mais elle a doublé après, donc ça ne passe pas pour moi avec Laurene et ses 23 milliards. Mais ça n'a pas vraiment d'importance, car tous ces chiffres sont de toutes façons gonflés. Apple est censé peser environ 700 milliards à l'heure actuelle, soit le double d’Exxon-Mobil et de Microsoft, mais je n’y crois pas.

Mais revenons à sa page sur Intelius. Il y a quelque chose qui cloche, puisqu'il n'y est  pas fait mention de Burke ou de Johnson Ellman. Ils semble que nous soyons renvoyés à la société Ellman, Burke, Hoffman et Johnson, un cabinet d'avocats de San Francisco fondé en 1976. Leur associé principal, Howard Ellman, est également actionnaire de Buchalter Nemer, un autre grand cabinet d'avocats en Californie, avec des bureaux à Los Angeles, San Francisco, Napa Valley, Orange County, et Scottsdale, en Arizona. Laurene Powell a-t-elle un lien avec Howard Ellman? Peut-être, mais je pense que c’est juste une erreur. J'ai déjà vu des erreurs de ce genre chez Intelius, en particulier en ce qui concerne la parenté. Ils prennent les noms dans des documents judiciaires, et ces documents ne sont pas toujours en rapport. Il est curieux, cependant, qu'Ellman-Burke ait démarré la même année qu’Apple et cessé son activité lorsque Jobs a pris sa retraite.

Ma première idée était que Powell est une parente de Lewis Powell de la Cour suprême de justice dont les bios ont également été expurgées. À l'appui de cela, rappelez-vous ce que nous avons vu ci-dessus pour Chrisann Brennan. Bien sûr, Lewis Powell de la Cour suprême de justice est assis à côté de William Brennan de la Cour suprême de justice.



Coïncidence? J'en doute. D'après mes recherches, Chrisann n’était pas la petite-fille de William Brennan, car il avait deux fils, William et Hugh. Le père de Chrisann s'appelait James et il a un frère du nom de Dan. Donc, William serait au mieux son grand-oncle. William avait un frère, Lawrence L., donc si vous continuez sur  cette ligne de recherche, c’est la bonne voie. En ce qui concerne Laurene Powell, je me heurte à un mur. Ils ont très bien nettoyé sa bio, puisque je n’ai pas pu la retrouver non plus en partant de Lewis Powell. Il est pourtant clair qu'ils cachent un gros truc à son sujet.

21 octobre 2016

Steve Jobs, l'audacieux, le génie, l'impitoyable... le FUMISTE (2ème partie)

Deuxième partie de l'article de Miles Mathis sur Steve Jobs.

Traduit par Valuebreak


On nous raconte qu'en 1967 les Jobs déménagèrent dans une maison avec trois chambres, à Los Altos, un quartier encore plus riche. Ils ne la louaient pas non plus ; ils l'ont achetée. Comment un agent de recouvrement a-t-il pu le faire ? Ils admettent,
La nouvelle maison était intégrée dans un environnement encore plus peuplé de familles d'ingénieurs que celle de Mountain View.
Vous voyez, des ingénieurs, pas des agents de recouvrement. Puis nous avons cette délicieuse histoire :
Au milieu de l'année 1968, alors que Jobs était âgé de 13 ans, Bill Hewlett (de Hewlett Packard) donna un travail d'été à Jobs après que ce dernier l’eût démarché au téléphone pour demander des pièces de rechange pour un projet d'électronique : "Il ne me connaissait pas du tout, mais il finit par me donner des pièces électroniques et il me donna un travail cet été-là pour travailler sur la chaîne à Hewlett-Packard, à assembler des compteurs de fréquence...bon, assembler c'est une exagération. Je fixais des vis. Peu importe ; j'étais au paradis."
Bien. En passant, Hewlett-Packard se constitua en société en 1947. Notez la date. Jobs avait 13 ans. Notez le chiffre. Bill Hewlett était PDG de Hewlett-Packard en 1968, quand Steve Jobs l'aurait démarché par téléphone. Pensez-vous vraiment que le PDG de cette grosse société ait passé toute sa journée au téléphone à parler à un gamin de 13 ans qui appelait pour demander des pièces de rechange ? Plus encore, pensez-vous que des garçons de 13 ans soient autorisés à travailler sur la chaîne de montage d'une usine ? Avez-vous déjà entendu parler de syndicats? De lois sur le travail des enfants ? Encore une fois, nous sommes témoins de l'incroyable ignorance des rédacteurs de Langley concernant le monde extérieur, ou bien qui font comme si vous, vous l’ignoriez. Selon la loi de 1938 sur le travail, les enfants âgés de moins de 18 ans ne peuvent travailler en usine, ce qui inclut les chaînes de montage. Ils ne peuvent accomplir que des travaux agricoles ou des boulots à mi-temps comme distribuer des journaux par exemple. Il peut y avoir des exceptions pour les sociétés familiales, mais les chaînes de montage ne sont pas des sociétés familiales.

Jobs serait ensuite allé au lycée Homestead, qui n'était pas un établissement pour la classe ouvrière. C’était pour les enfants d'ingénieurs, non pour le fils d'un agent de recouvrement. Sa bio scolaire est bizarre comme le reste, car on ne le montre pas comme un acharné des maths ou des sciences ni faisant des expériences dans un laboratoire en sous-sol. On le voit plus fumer de l'herbe, sortir avec son amie artiste, étudier la rhétorique anglaise et l’écriture créative, lire Shakespeare, Dylan Thomas, Herman Melville etc. Il aurait suivi des cours d'anglais à Stanford pendant son année de terminale et travaillé sur un projet de film avec son amie. Tout est étrange et rien d'autre qu'une série de signaux d'alarme. Mais ça devient encore plus bizarre. On nous dit :
Pendant l'été, Brennan [Chrisann Brennan, sa petite amie], Jobs et Steve Wozniak trouvèrent une publicité sur le tableau d'affichage du lycée De Anza pour un travail qui nécessitait de se déguiser en personnages d’Alice au pays des merveilles. Brennan joua Alice et Wozniak et Jobs jouèrent le lapin blanc et le chapelier fou.
Voici votre indice suivant, ou plutôt deux pour le prix d'un. Premièrement, il nous révèle Steve Jobs comme acteur. Deuxièmement, c'est un autre indice des services secrets, car ils adorent Alice au pays des merveilles. Cherchez dans Google à "Alice au pays des merveilles CIA" et voyez ce qui sort. En gros, le Renseignement a utilisé ce livre et d'autres (comme la série de livres Le Magicien d'Oz) comme base pour des techniques dans certains projets, comme Bluebird, Artichoke, MKUltra et Monarch. Ici ils utilisent simplement les références comme une autre balise. Elle dit aux lecteurs : "Nous sommes là".

19 octobre 2016

Steve Jobs, l'audacieux, le génie, l'impitoyable... le FUMISTE (1ère partie)

Dans la série "démythification des célébrités médiatiques", Miles Mathis, nous parle aujourd'hui de ce personnage si encensé qu'a été Steve Jobs (1955-2011).
 
Article très long, qui sera, comme à l'accoutumée dans ce cas, publié en plusieurs parties. 

Vous aurez en prime d'autres informations (en commentaire) fournies par Valuebreak, le traducteur de cet article, que je remercie une nouvelle fois chaleureusement pour ce travail.

Steve Jobs, l'audacieux, le génie, l'impitoyable... le FUMISTE

Par Miles Mathis (janvier 2016)

Traduit par Valuebreak


Comme d'habitude, ce n'est que mon opinion, le fruit de ma recherche personnelle sur le web. J'ai écrit récemment que la bio de Jack London était la bio la plus grotesque que j'ai eu l'occasion de lire. Je retire ce que j'ai dit. Celle de Steve Jobs est pire. Pour les nouveaux lecteurs, je recommande de lire d'abord mon court article sur Mark Zuckerberg, qui est le précurseur de celui-ci. Également ma recherche sur Elon Musk [PDG de SpaceX, Paypal et Tesla Motors]. J'y montre que Musk est une création totale des services secrets, une simple façade pour divers projets. Ce fut la même chose pour Jobs, juste une version antérieure.

Certains me demanderont pourquoi j'ai parlé d'abord de Musk. Jobs n'est-il pas plus important ? Eh bien, je dois admettre que ma recherche est un peu désordonnée à certains égards. Je n'ai pas de réel plan d'attaque et les choses viennent quand elles doivent venir. Les Muses me mettent les choses sous les yeux et parfois j'accroche, parfois non. La chance y joue un grand rôle, comme c'est toujours le cas pour moi. Je n'avais aucunement l'idée d'écrire sur Jobs aujourd'hui jusqu'à il y a 10 minutes quand j’ai commencé à écrire sur lui. Je cherchais quelque chose d'autre, la photo de Jobs est sortie dans les informations et j'ai fait une recherche Google sur lui. En arrivant sur sa page Wiki, j'ai commencé à lire et j'ai compris comme il serait facile de le démasquer. La page est une absurdité et j'ai vu que c'était cousu de fil blanc. Elle montrait tous les signes d'une rédaction par un comité de Langley [siège de la CIA et du centre de recherche de la NASA] : remplie de manques, de contradictions et d'illogismes, avec un manque total de respect du lecteur. Nous commencerons en haut de la page et la déroulerons : je vous montrerai tout ce que je vois. Vous repérerez les mensonges à travers mes yeux.

Tout d'abord, il est clair qu'ils cachent ses racines, comme d’habitude. Son biographe s'appelle Walter Isaacson, un juif, ce qui n'est pas anodin comme vous allez le voir. Isaacson constitue lui-même un gros signal d'alerte, le plus gros peut-être de toute la page. Isaacson était à Harvard, puis devint un Rhodes Scholar [ancien étudiant méritant d'Oxford]. Il fut l'éditeur du magazine TIME, et plus tard le PDG de CNN. Il est aujourd'hui le PDG de l'Institut Aspen. Il fait aussi partie du comité de direction de United Airlines, de l'université d'Harvard, de l'université Tulane, de l'institut philanthropique Bloomberg et du Carnegie Institute for Science. C'est plutôt lui que je devrais exposer à la place de Jobs, voyant qu'il a et a toujours eu bien plus de pouvoir ; mais ses postes le démasquent sans aide de ma part. Cette liste vous indique tout ce que vous devez savoir. Jobs est un peu plus dissimulé. Sachez juste qu'Isaacson a écrit beaucoup de livres et à mon avis ils nous égarent dans de fausses directions. C'est ce que font ces gens et lui le fait beaucoup.

07 octobre 2016

Le bombardement de Dresde, une falsification ? (2/2)

Voici la deuxième partie des trouvailles de Miles Mathis,  et là c'est plus particulièrement son regard d'artiste-peintre qu'il a mis en action.

Traduit par Valuebreak pour le BBB.

(...) Addendum, 21avril 2016: j’ai eu quelques retours sur cet article, particulièrement d’Allemands, et donc j’ai fait quelques recherches complémentaires. Je n’avais pas compris exactement le choix de Dresde pour une falsification, même si j’ai fait une ou deux suggestions précédemment. Un article que je lisais récemment disait que le bilan de Dresde avait été falsifié par les Nazis pour créer de la sympathie. Mais, comme nous l’avons vu, des généraux américains de haut rang ont également largement accru ces chiffres. Donc, ça ne collait pas. Et puis, je me suis souvenu de la Madone Sixtine. Je me suis rappelé avoir lu il y a des années que ce chef-d’œuvre de Raphaël avait été détruit à Dresde. J’ai pensé : peut être que le bombardement a été simulé pour sortir des œuvres artistiques de musées publics vers des mains privées. Problème : quand je suis retourné vers les média grand public, il est apparu que la Madone Sixtine n’avait pas été détruite. On dit aujourd’hui qu’elle est allée dans un coffre en Suisse, où les Russes l’ont volée. Puis ils l’ont retournée à l’Allemagne des années plus tard.

Hum. Ma mémoire est meilleure que ça, normalement. Je ne suis pas capable de mémoriser les pages d’un annuaire d’un seul coup d’œil, mais sinon, ma mémoire est extraordinairement bonne. Je me rappelle la date anniversaire de ma petite amie … depuis que j’ai 9 ans. J’en ai 52. La perte d’un Raphaël majeur s’était littéralement inscrite dans mon cerveau, pour des raisons que je ne devrais pas avoir à expliquer. Je découvre maintenant que ça n’est pas le cas. Est-ce que l’article que j’ai lu était simplement erroné, ou me le suis-je mal rappelé ? La seule chose qui me vienne à l’esprit est que je l’ai peut-être lu dans un livre écrit juste après la guerre, et peut-être n'ont-ils su que plus tard que la peinture avait été volée par les Russes. Mais ça ne sert pas à grand-chose, puisque si la version actuelle est vraie, les Allemands auraient su immédiatement que le coffre avait été pillé par la Russie.

La mémoire me revient complètement. La photo de la Madone Sixtine du livre était en noir et blanc, bien que les autres fussent en couleurs. Je me rappelle avoir pensé qu’il était logique qu’elle soit en noir et blanc parce qu’ils n’avaient pas de photo récente. Elle avait été photographiée avant les films en couleurs, puis perdue pendant la guerre.

05 octobre 2016

Le bombardement de Dresde, une falsification ? (1/2)


Vous serez peut-être étonnés que je publie un article concernant un événement ponctuel de la seconde guerre mondiale, le bombardement de la ville de Dresde en Allemagne, qui a eu lieu les 13 et 15 février 1945. Un bombardement parmi tant d'autres, me direz-vous. D'accord, mais grâce à des gens comme Miles Mathis, on en arrive à avoir des doutes sur l'histoire telle qu'on nous la raconte et telle qu'on nous l'enseigne.Vous lirez à la fin de cette première partie pourquoi il a choisi cet épisode de la guerre.

Cet article a été traduit par Valuebreak pour le BBB et je le remercie pour sa très sympathique collaboration.


A-t-on également falsifié le 

bombardement de Dresde ?





Par Miles Mathis, première publication le 28 janvier 2016.

Traduit par Valuebreak


Comme d’habitude, ceci n’est que mon opinion personnelle à partir de mes propres recherches. Si vous ne l’appréciez pas, libre à vous de construire votre propre avis. À vrai dire, j’aurais préféré que l’histoire qu’on nous a vendue fût vraie.

Si vous pensiez être déjà arrivé au fond du trou, vous feriez mieux d’ajuster votre équipement de spéléo et d’allumer la frontale, nous sommes près de descendre dans un trou encore plus sombre rempli de stalactites et d’air vicié. Vous aurez peut-être besoin d’oxygène pour cette exploration-ci.

Nous commencerons en comparant deux photos en provenance toutes deux de la page Wikipédia sur le bombardement de Dresde.




Il est écrit dessous :
Un Avro Lancaster lâche le plus gros de sa charge, une bombe principale de 1800 kilos et 108 bombes incendiaires de 14 kilos au dessus de Duisbourg, 1944.

Maintenant en ce qui concerne la seconde photographie, êtes vous prêt ?



Sous celle-ci, il est dit :

Quelques secondes plus tard, le même appareil lâche un bouquet de petites bombes incendiaires de 1,8 kilos au dessus de Duisbourg, 14 et 15 octobre 1944.

Vous voyez le problème ? C'est la même photo doublée, avec deux retouches différentes pour les bombes. Regardez les nuages derrière l’avion. Pour vous aider, considérez les petites ailes de la queue, et les stabilisateurs verticaux. Prenez le plus proche de vous. Maintenant descendez d’un demi-pouce [1 pouce = 2,54 cm] jusqu'à la marque noire dans les nuages. Voyez cette petite ligne horizontale sombre, longue d’environ un quart de pouce.  Ok, retournez à la première photo. Vous trouverez la même ombre dans les nuages, mais environ un quart de pouce plus haut. Vous me suivez jusque-là ? Si la seconde photo est supposée être prise quelques secondes plus tard, pourquoi l’avion est-il à la même place ? Sommes-nous supposés croire que cet avion à vitesse rapide ne s’est déplacé que vers le haut en quelques secondes ?

01 octobre 2016

La mort de Marilyn Monroe a été simulée

Miles Mathis a encore sévi. Cette fois-ci, il est allé fouiner du côté de la mort de Marilyn Monroe dont les détails et les différentes versions lui ont paru très louches (suicide, assassinat ?). Et il nous donne le résultat de ses recherches. Et pourquoi Marilyn n'aurait-elle pu simuler sa mort ? Lisez ce qui suit pour vous faire votre propre opinion.

Pour rappel, c'est Miles Mathis qui a découvert que Stephen Hawking est mort il y a longtemps de sa maladie et qu'il a été remplacé par un (mauvais) sosie. À lire ICI si vous le souhaitez.

Il a publié aussi un très long article sur le faux assassinat de JFK. ICI.

De même qu'il a décodé l'arnaque des bombes atomiques.

(J'ai ajouté quelques photos et captures d'écran qui ne se trouvent pas dans l'article original.)


La mort de Marilyn Monroe était 
simulée




Par Miles Mathis


Traduit par Hélios

Ce qui ne devrait pas vous surprendre. Les divers compte-rendus n'ont aucune logique, aucune consistance et ne fournissent aucune preuve. Nous allons examiner ici plusieurs indices qui déclenchent une sonnette d'alarme.

On trouve le premier indice important sur Wikipédia, dans la chronologie des faits rapportés. À 22h30 le jour supposé du décès, Arthur P. Jacobs, l'agent de Marilyn, quitte un concert au Hollywood Bowl en déclarant aux personnes qui l'accompagnent que Marilyn vient de faire une overdose. Nouvelle qu'il venait d'apprendre par l'avocat de Marilyn, Mickey Rudin. À 1h du matin, Peter Lawford raconte la même histoire : Rudin lui dit que Marilyn a fait une overdose. Le problème ? Aucune de ces personnes n'aurait pu savoir que Marilyn avait fait une overdose, car le cadavre n'a été découvert qu'à 3h40. Comment Mickey Rudin aurait-il pu savoir qu'elle avait fait une overdose à 22h30 la veille ? Vous pourriez dire qu'ils se parlaient au téléphone quand cela s'est passé et elle lui aurait pu lui dire qu'elle venait d'avaler un flacon de comprimés. Alors pourquoi n'a-t-il pas appelé la police, une ambulance, un médecin ou ne s'est-il pas précipité lui-même sur les lieux ? Pourquoi appeler d'abord Jacobs ? Et si Jacobs a reçu cet appel à 22h30, pourquoi n'a-t-il pas appelé la police, une ambulance, un médecin ou ne s'est-il pas précipité lui-même sur les lieux ? Pourquoi Jacobs aurait-il d'abord ramené Natalie Trundy [sa future femme] chez elle en laissant Marilyn l'estomac plein de comprimés ? Si tout cela était vrai, Jacobs aurait été arrêté pour non-assistance à personne en danger, de même que Lawford et Rudin.

22 février 2016

L'assassinat de John Fitzgerald Kennedy (5ème et dernière partie)

Partie 1
Partie 2
Partie 3
Partie 4


(...)
Quittons maintenant Dallas et cherchons des preuves un plus près de nous dans le temps. Un indice plutôt flagrant est qu'en 1968 Johnson n'a pas posé sa candidature pour être réélu. [il est resté vice-président jusqu'en 1964 puis a été élu président] On nous a dit qu'il avait été accusé de manipuler la presse au sujet de la guerre du Vietnam. Mais c'est cela, être président. Johnson a manigancé toute sa vie. S'il haïssait autant les Kennedy, comme nous le disent les théoriciens alternatifs, pourquoi aurait-il quasiment appuyé la candidature de Bobby Kennedy ? Les gens illogiques diront que c'est parce qu'il savait que Bobby allait être assassiné aussi. Mais cela impliquait que la présidence reviendrait à Nixon. Également improbable, j'espère que vous l'admettrez. Aussi longtemps que nous continuerons à accepter la version officielle, la décision de Johnson de ne pas se présenter reste un mystère insoluble. Cela n'a aucun sens.



Mais cela a du sens si Johnson n'était qu'une marionnette. Johnson part parce qu'il en a assez d'être un homme de paille. Il pense au début que c'est super de vivre à la Maison Blanche et d'être appelé Monsieur le Président . Mais être une marionnette perd rapidement de son charme, peu importe où l'on vit. Quand on a un Roi clandestin, le titre de président perd beaucoup de son prestige. Johnson aurait pu facilement simuler sa mort comme les autres et vivre sur son ranch au centre du Texas.



Oui, j'ai écrit le mot Roi. Si nous n'avons aucune preuve que JFK a été tué, nous devons supposer qu'il n'a pas été tué. S'il n'a pas été tué, il est resté président. Mais dès qu'on met une présidence en clandestinité, on ne demande pas au président de ne plus jouer son rôle, jamais. À ce moment-là, le vote va au président marionnette, non au Roi.



(...) Une fois qu'on est Roi, le seul problème est de mourir avant l'heure. Il semble que Jack soit mort prématurément en 1968, alors qu'il n'avait que 51 ans. Vivre dans la clandestinité est plus difficile qu'on ne le pense et Jack a pris du poids et est devenu dépressif. Sa santé avait toujours été mauvaise et il souffrait de la maladie d'Addison. Il avait aussi besoin d'être au centre de l'attention et d'être mis en vedette et diriger en secret ne lui convenait pas. Bobby fut donc nommé pour prendre sa place. L'heure était venue de simuler aussi sa mort et de lui donner son temps sur le trône.