Je vous avais annoncé en 2013 la sortie du livre de Cathy O'Brien et Mark Phillips, L'Amérique en pleine trans-e-formation.
Cathy tient un blog et son dernier article du 10 septembre vient, si nous en avions besoin, confirmer nos soupçons. Elle qui a subi depuis sa naissance un contrôle mental MK-Ultra poussé, est très bien placée pour nous affirmer que le port du masque, parfaitement inutile pour un virus non contagieux et dont la présence n'a pas été prouvée, s'assimile à ce type de contrôle.
Comme elle évoque Mickael Jackson, j'ai ajouté quelques photos de lui en fin d'article.
Le grand démasquage
Par Cathy O'Brien
Traduction par Apolline
Les masques sont un outil de contrôle mental évident et le fait que de nombreuses personnes dans le monde s'y soumettent me perturbe beaucoup.
En voyant ces dernières années des photos de Chine avec des personnes portant des masques pour soi-disant contrôler, "en raison de la pollution", l'air qu'ils respirent , j'ai compris que c'était un mécanisme de contrôle de la population par la dépersonnalisation, tout comme le sont les burkas.
Les masques dépersonnalisent tout en donnant à la personne l'impression qu'elle n'a pas de voix. C'est une barrière vis à vis des autres.
Au cours du projet Monarch MK Ultra de contrôle mental, Michael Jackson devait porter un masque pour faire taire sa voix afin qu'il ne puisse pas demander de l'aide.
Vous souvenez-vous de sa voix chuchotée quand il ne chantait pas ? Les masques contrôlent l'esprit de l'extérieur vers l'intérieur, comme un changement de notre discours. En contrôlant ce que nous pouvons dire et ne pouvons pas dire de peur d'être taxés, par exemple, de racistes ou d'être passés à tabac, il exerce en fin de compte un contrôle sur la pensée qui guide nos paroles et finalement nos actes (ou leur absence).
De même, un masque étouffe nos mots afin que nous ne soyons pas bien entendus. Qui contrôle sa voix… contrôle ses mots… son intellect.
C'est du contrôle mental.