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08 octobre 2022

06 juillet 2022

Le mythe de la contamination épidémique

 Je vous livre la dernière lettre d'Yves Rasir intitulée : "Pasteur, fin de partie !"


Dès l’entame du Corona Circus, j’ai pensé que ce spectacle navrant aurait au moins l’avantage d’exposer en pleine lumière l’inanité de la médecine pasteurienne et la vacuité de son dogme central, celui de la contagion. Avec la grippe covid, il devenait en effet très évident que les épidémies ne sont pas provoquées par la propagation d’un micro-organisme prétendument pathogène et transmissible. Comme preuves de la fausseté de l’axiome infectieux, j’ai par exemple relevé que les « patients zéro » restaient introuvables partout sur le globe, que les « chaînes de contamination » étaient pleines de trous, que les « clusters » étaient aux abonnés absents après de grands rassemblements populaires, ou encore qu’aucun foyer épidémique n’avait été observé dans les transports publics, endroit où la promiscuité permettait pourtant au virus de s’en donner à cœur joie. L’énorme proportion de contaminés asymptomatiques témoignait également qu’il n’y avait pas de lien de causalité entre la présence de l’hypothétique particule virale et la maladie qu’on lui attribuait à tort. Dès février 2020, j’ai exprimé le sentiment que ces failles dans le paradigme dominant pouvaient le faire s’écrouler comme des fissures font s’effondrer un iceberg pourvu que l’une d’entre elles devient suffisamment large. Pour que l’éboulement survienne, il fallait cependant que le bon sens soit secondé par la bonne science, autrement dit qu’un chercheur se décide à lézarder la doxa du covid en démontrant qu’elle ne repose sur rien.  Il fallait que, quelque part dans le monde, un scientifique se lève  et déconstruise méthodiquement la fable pasteurienne du germe coupable et contagieux.  Ce moment est-il enfin arrivé ?
 
Le mythe de la contamination
 
C’est en tout cas l’émouvante impression que j’ai eue en visionnant la dernière vidéo produite par mon ami et confrère Alexandre Penasse. Pour la cinquième fois en quelques semaines, le rédacteur en chef du journal belge Kairos interviewe le statisticien français Pierre Chaillot, alias Pierre Lécot de la chaîne Youtube « Décoder l’éco ». Oui, je sais que mon admiration pour ce brillant jeune homme est en train de tourner à la fascination. Dès qu’il est sorti de l’ombre, je vous ai quasiment conseillé toutes les capsules postées par lui, ainsi que toutes les sessions du CSI (Conseil Scientifique Indépendant mis en place par Réinfo-Covid) où il est intervenu avec d’autres dissidents pour contester le récit officiel de la crise sanitaire. On lui doit notamment l’analyse implacable de la minime surmortalité et de sa normalité, la démonstration tout aussi limpide que les mesures liberticides n’ont eu aucun impact sur les courbes épidémiques, ou encore la très claire réfutation de la pertinence du test PCR,  technique de dépistage fumeuse sans laquelle la grande mascarade  et la manipulation des masses par la terreur eussent été impossibles.  Cette fois, Pierre Chaillot s’attaque encore à plus gros morceau puisque la vidéo est intitulée « Le mythe de la contamination épidémique ». C’est en effet ni plus ni moins au fondement du pasteurisme que le jeune homme s’en prend, à savoir à la théorie selon laquelle une épidémie se répand dans la population par la circulation et  la propagation d’un germe.  Cette théorie, constate-t-il ingénument,  fait consensus alors qu’elle n’a jamais été vérifiée. C’est une hypothèse sur laquelle sont bâtis tous les modèles épidémiologiques alors qu’elle n’est jamais, justement, qu’une hypothèse demandant validation. Or il suffit de chercher à la valider pour s’apercevoir qu’elle ne tient pas debout !  En préambule de son exposé  (vous pouvez aller directement à la 12ème minute car l’intro n’a pas de rapport avec la suite),  Pierre observe d’abord que la mortalité générale suit des cycles saisonniers : on meurt davantage en hiver et exceptionnellement en été en cas de canicule. Il note ensuite qu’il n’y a pas de progressivité épidémique géographique et que les pics de mortalité se produisent partout au même moment, ce qui contredit la légende des vagues de contaminations. Lui-même était persuadé  que le covid s’était propagé du Sud au Nord de l’Europe mais les données indiquent que le fléau s’est abattu de manière synchrone sur le vieux continent, ce qui ne cadre pas avec le modèle contagieux. Si les gens tombent malades et meurent en même temps, c’est forcément qu’il y a une autre explication que celle d’un  virus passant d’un individu à l’autre. D’autre part, et c’est là que cela se corse mathématiquement, la théorie virale ne peut se revendiquer valable que si l’épidémie progresse de manière exponentielle. Cette fonction mathématique est au cœur de toutes les simulations de contaminations. Or,  aussi incroyable que cela paraisse, il n’y a pas la moindre trace d’exponentielle dans les statistiques et courbes épidémiques ! Il y en a dans les modèles imaginés par les experts, mais pas dans la réalité où c’est plutôt la linéarité qui ressort. La doxa du covid et la patascience pasteurienne sont donc basées sur une pure fiction qui ne se rencontre pas dans la vie réelle : la propagation par contagion est bien un mythe !
 
Le microbe n’est rien, la température est tout
 
Mais alors, d’où vient que des tas de gens développent des symptômes infectieux identiques et succombent à des complications similaires aux mêmes périodes de l’année ? Dans la partie suivante de la vidéo, Pierre Chaillot avance une explication toute simple :  la température ! En collaboration avec un ingénieur, le statisticien a exploré le lien entre l’apparition des épidémies de grippe et les circonstances climatiques. À leur grande surprise,  ils ont découvert que la relation était plus qu’étroite : elle est quasiment parfaite. En remontant jusqu’aux années 70, leurs graphiques montrent en effet que la courbe (inversée) des températures épouse très fidèlement celle de la mortalité. Moins il y a de degrés dehors et plus les hôpitaux et cimetières se remplissent. Les êtres humains, et surtout les personnes âgées bien entendu, souffrent et meurent en raison du froid et des refroidissements qui en découlent. « En termes de corrélation entre deux variantes, c’est exceptionnel à quel point cela fonctionne » précise le décrypteur de chiffres. « Dans  plus de 90% des cas, l’augmentation de la mortalité suit la baisse des températures, ce qui est un niveau de corrélation extraordinaire. Il est complètement fou qu’il n’y ait pas encore des tonnes d’études sur le sujet tellement c’est évident ». Bien sûr, le scientifique précise que ce n’est pas  forcément le froid lui-même qui cause les pics de syndromes grippaux et de trépas. Quand le mercure chute, il y a aussi des différences de pression atmosphérique et d’hygrométrie qui modifient l’air ambiant. Et quand les gens se calfeutrent et allument leur chauffage, ils sont encore exposés à un air plus sec qui assèche leurs muqueuses. Le confinement va également de pair avec une augmentation de l’exposition à des champs électro-magnétiques dont l’influence sur la santé est  légitimement soupçonnée. Dans cette petite liste, Pierre Chaillot aurait pu ajouter qu’en fuyant les rigueurs hivernales, les citoyens calfeutrés multiplient leurs chances d’évoluer dans les mêmes circonstances psycho-émotionnelles et de traverser les mêmes épisodes conflictuels. On peut aussi – et surtout à nos yeux – « prendre froid » parce que le cœur manque de chaleur et que les relations sont refroidies par les conflits de nature territoriale plus fréquents en milieu intérieur. Ce qui est sûr, c’est qu’il n’est absolument pas nécessaire de faire intervenir la notion de contagion  pour expliquer une épidémie. Comme le conclut  le statisticien  après une heure vingt d’interview, « Des groupes de gens sont malades parce qu’il ont vécu la même chose en même temps et c’est tout. On n’a pas besoin de ce  principe de contamination qui n’a jamais été prouvé ».  
  
Remettre la science à l’endroit
 
Mais avant d’asséner sa conclusion-choc, le « décodeur de l’éco » taille encore beaucoup de croupières à la mythologie pasteurienne.  Il parle de Béchamp et de la controverse avec Pasteur, il relate les expériences de Roseneau,  il évoque les postulats de Koch  jamais remplis pour les virus, il montre comment les critères d’épidémie virale ont évolué  dans les années 30 et 50 pour faire abusivement  coller la science à la croyance. Bref, il apporte beaucoup d’eau au moulin que fait tourner Néosanté depuis sa création et que j’ai également actionné à maintes reprises  dans l’infolettre depuis le début de la saga corona. Mais s’il  cautionne nos analyses, Pierre Chaillot leur apporte un crédit supplémentaire  puisqu’il affirme que la science médicale actuelle marche sur la tête et fonctionne à l’envers. Elle affirme des choses qu’elle ne prend même pas la peine d’interroger et de vérifier par la méthode scientifique. Partant d’une étude parue dans Nature,  il dénonce que celle-ci se fonde sur des données fausses ou faussées que le premier étudiant en maths venu pourrait facilement repérer. Il épingle les « erreurs grossières » de cette publication  et son « incroyable médiocrité » qui en serait presque cocasse si elle n’avait pas servi d’alibi aux politiques totalitaires mises en œuvre. Il faudrait, dit-il que « les gens soient conscients   de l’énormité de l’arnaque et du niveau de supercherie de ce qu’on appelle la science aujourd’hui » . Concernant le sars-cov2, le statisticien note ironiquement  que « selon ses propres définitions, la science n’est même pas en train de regarder un pathogène.  Depuis le début, Il n’y a pas la moindre trace de preuve que quelque chose se transmet ». Va-t-il lui-même tenter de se faire publier dans des revues scientifiques ? Il ne ferme pas la porte. Mais dans l’immédiat, les vidéos tournées avec Kairos vont servir d’ébauche à l’écriture d’un livre. On se réjouit évidemment de le lire car cet ouvrage sera nécessairement un réquisitoire remarquablement argumenté contre le covidisme et le pasteurisme. Depuis deux ans et demi, j’ai partagé ma conviction qu’on ne sortirait pas du premier si ne faisait pas un sort au deuxième. Qu’il fallait dézinguer le paradigme infectieux dans son ensemble pour espérer échapper à la virophobie délirante et à l’hystérie vaccinale.   Non sans jubilation, je vois aujourd’hui que Pierre Chaillot pilonne l’iceberg pasteurien et qu’il y crée des failles potentiellement fatales. Élargissons les brèches en faisant connaître son magnifique travail !

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https://www.kairospresse.be/le-mythe-de-la-contamination-epidemique/

La chaîne YT  de Pierre Lécot : Décoder l'éco

05 mai 2022

Regardez le film "Terrain"

Que nous présente aujourd'hui Yves Rasir, du magazine Néosanté, dans sa lettre hebdomadaire.

"Après les fleurs, le pot. Je vous disais la semaine dernière beaucoup de bien du livre « Covid-19 : une autre vision de l’épidémie » mais je vais en dire un peu de mal aujourd’hui. Cet ouvrage m’a beaucoup plu parce qu’il expose implacablement que le récit politico-médiatique de la « crise sanitaire » a été multi-mensonger. Il m’a cependant parfois irrité parce que son auteur fonctionne sous logiciel pasteurien et que ça l’amène parfois à tenir des propos spécieux ou à s’appuyer sur des postulats douteux. Par exemple, Laurent Toubiana souligne l’inefficacité des masques buccaux mais écrit que ceux-ci « ont cruellement manqué » au début de l’épidémie.  Où est la logique ? Il adhère par ailleurs à la chimérique immunité de troupeau en écrivant que « l’adaptation immunitaire individuelle permet de créer une barrière immunitaire collective qui est l’un des facteurs importants pour le reflux, voire la disparition du fléau ». Il est pourtant très clair, et la grippe covid l’a spectaculairement démontré, que ni les très nombreuses infections naturelles ni les injections vaccinales massives n’ont fait barrage à la propagation de la maladie imputée à une « circulation du virus ». Comme Toubiana le souligne lui-même, les différences géographiques et les différentes politiques en matière de confinement n’ont pas non plus exercé d’influence notable sur les courbes épidémiques. Elle est où, alors, cette immunité grégaire, sinon dans l’imaginaire des disciples de Pasteur ?
 
C’est pas chinois
 
Ce qui me désole le plus, c’est que l’épidémiologiste ne remet pas fondamentalement en cause la narration mainstream du virus émergeant en Chine et se dispersant sur le globe en prenant l’avion ou le bateau avec sa petite valise de protéines pointues. Comme je l’ai pointé dans une infolettre précédente, ce scénario « classique » est le plus gros mensonge du récit covidiste puisque des études ont montré que l’agent infectieux baptisé sars-cov2 était déjà repérable en Occident durant l’été et l’automne 2019. Toubiana  cite d’ailleurs l’une d’entre elles, effectuée  par l’Inserm et publiée en février 2021 par l’European Journal of Epidemiology. Certes, ces travaux  méconnus ou ignorés permettent à l’auteur de justifier son rassurisme radical : puisque la durée d’incubation du covid est courte (3 à 8 jours) et qu’il a fallu 3 mois pour que les premiers morts apparaissent, ça signifie qu’il y avait déjà de très nombreux contaminés début 2020 et que le taux de létalité de la maladie était donc dérisoire. Les plandémistes ont bien maquillé un syndrome grippal banal en cataclysme mondial.  Mais pourquoi l’épidémiologiste dissident n’en tire-t-il pas l’autre conclusion qui s’impose, à savoir que le scénario du virus mortel (naturel ou artificiel) apparu à Wuhan et se répandant à toute allure sur la planète est une fable sans fondement  ? S’il n’était pas prisonnier de son paradigme pasteurien, Laurent Toubiana pourrait se rendre à l’évidence que le terrain est tout et que le virus couronné n’est rien puisque la présence de ce dernier est sérologiquement attestée bien avant sa prétendue émergence hivernale.
 
Pensez au cumin noir
 
La théorie infectieuse tient d’autant moins la route qu’il est allègrement prouvé que des compléments alimentaires naturels diminuent fortement la morbidité et la mortalité attribuées à l’assaillant viral.  Je ne vais pas vous en rappeler la liste, je vais seulement en mentionner un dont je n’ai pas encore parlé : la nigelle, appelée aussi cumin noir. Les graines de cette plante sont utilisées comme épice dans divers endroits du monde mais son huile est également employée comme remède traditionnel dans les pays musulmans.  Le prophète Mohammed disait d’elle qu’elle est « un remède pour toutes les maladies, sauf la mort ».  Si vous voulez faire connaissance avec cette panacée, je vous suggère de consulter  cette page internet qui est assez bien faite. L’action anticovid du cumin noir , je l’ai découverte grâce au Professeur Raoult qui, dans sa vidéo de la semaine dernière, conseille de consulter le site c19early.com comme source sérieuse sur les traitements précoces. Ce morceau de toile est en effet une mine d’infos car ses animateurs ont examiné près de 2.000 études scientifiques et ne se sont pas limités aux molécules chimiques. On y retrouve notamment la curcumine et la quercétine, mais aussi les effets de l’alimentation ou ceux de l’activité physique. Si vous cliquez à gauche sur Nigella sativa, vous pouvez voir que 5 des 6  recherches trouvées dans la littérature  montrent une efficacité très significative  de la nigelle à tous points de vue,  tant en prophylaxie et en traitement précoce qu’en soin curatif tardif. Lorsque des nutriments provenant de la nature protègent les patients et améliorent aussi puissamment l’état des malades, il est absurde de continuer à croire que l’agent infectieux a une quelconque responsabilité causale dans leur pathologie.  
 
Le docu qui dépote
 
Mais y-a-t-il seulement un faux coupable viral ?  Sans me faire une opinion définitive, j’accorde un certain crédit, et même un crédit certain à la thèse selon laquelle le sars-cov2 n’a jamais été isolé et que son existence même est sujette à caution. Non content d’avoir été le premier à désigner les vaccins antigrippaux comme facteurs probable des pneumonies atypiques et à avoir aussi rassemblé tous les indices menant à la piste toxique du graphène,  le « journaliste citoyen »  Dominique Guillet a récemment dressé un récapitulatif de tous les articles, études et vidéos mettant sérieusement en doute la réalité même du virus causant prétendument la « coque vide ».  Troublant, n’est-il pas ? Le trouble sera d’autant plus profond que certains médecins et  scientifiques repris dans cette liste (Andrew Kaufman, Thomas Cowan, Stefan Lanka…) vont jusqu’à contester l’existence de TOUS les virus et donc la validité de la virologie dans son ensemble. Les particules qu’on appelle virus seraient en réalité des débris excrétés par les cellules intoxiquées ou des variétés d’exosomes, mini-vésicules précisément chargées d’ébouer les terrains cellulaires encrassés. Pour rappel, ces théories audacieuses ont été présentées dans les numéros 108 (février 2021) et 112 (juin 2021) du mensuel Néosanté. Si vous désirez en savoir plus à ce sujet, réjouissez-vous : les animateurs du site cv19.fr ,  qui s’est fait une spécialité de traduire les textes anglo-saxons les plus dérangeants pour le pasteurisme, viennent en effet d’assurer le doublage en français du film américain Terrain, conçu et réalisé par le Dr Andrew Kaufman. On y explique très bien l’escroquerie de la soi-disant isolation des virus et la fraude de leur action supposément délétère : en vérité, les expérimentateurs ne font que provoquer la mort de cellules qu’ils affament et détruisent en ajoutant des antibiotiques dans leurs éprouvettes !  Mais alors, que mesurent les tests PCR ? Cela paraît énorme, mais le séquençage génomique serait également une imposture et le génome des virus serait purement virtuel, construit  in silico sur ordinateur et inexistant in vivo ! Quant à la  fameuse protéine Spike, elle serait commune chez l’être humain,  probablement altérée par un polluant extérieur et sans doute manipulée dans le vaccin à des fins obscures. Sans s’en tenir au covid, le film Terrain rend évidemment justice à la notion de terrain et absout complètement les microbes d’un quelconque rôle pathogène. On y retrouve la  célèbre métaphore du cadavre et de la mouche (c’est le cadavre qui attire la mouche et non l’inverse) et on y entend également une très pertinente réflexion du Dr Kelly Brogan : « On ne dit pas d’un compost qu’il est infecté quand il décompose de la matière organique, alors pourquoi le faire avec notre corps ?  ». Pour  s’initier à la vision que défendait Antoine Béchamp  (dont les microzymas sont ici appelés « protistes ») contre Louis Pasteur, le documentaire produit par le Dr Kaufman est à mes yeux un très bon début. Je vous invite à bien  le visionner jusqu’à la fin car les 10 dernières minutes sont absolument bouleversantes. À mon sens, les sidérantes « photos d’eau » congelée de Veda Austin sont encore plus stupéfiantes que les clichés cristallins de feu  Masaru Emoto et elles  sont susceptibles  de chambouler complètement notre compréhension de la vie en expédiant le matérialisme pasteurien aux oubliettes de l’histoire.  Si vous voulez mon avis,  et vous saisirez mieux mon émoi, ces prodigieuses images témoignent que l’Ère du Verseau (eau= symbole de connaissance et support de la conscience) a véritablement commencé ! Même si cet avènement s’avère assez pénible, on a la chance de vivre une fantastique époque…."

15 novembre 2021

Interview du Dr Valentina Kiseleva

 Tout est dit ! Partagez !

Durée : 1h35'

Transcription de la vidéo : https://textup.fr/595783LZ


28 septembre 2021

Les bébés de la pandémie ou "bébés aux yeux noirs"

Les bébés nés de parents vaccinés naissent avec des yeux noirs ! 

Copie d'écran de la vidéo

Après les vidéos virales sur les vaccinés devenant des aimants, voici maintenant les vidéos de bébés nés de parents vaccinés. Ce n'est pas sans me faire penser à la "légende urbaine" des "enfants aux yeux noirs" (voir ICI

Et comme par hasard, un film est sorti au printemps 2021 qui s'inspire de cette légende urbaine. Vous avez dit bizarre ?

L'équipe de La Quinta Columna avait déjà fait allusion à ces bébés et ils reviennent sur la question avec une nouvelle vidéo traduite par Orwell City. 

La Quinta Columna revient sur le cas des "bébés-aux-yeux-noirs" qu’on appelle aussi les "bébés de la pandémie"

La Quinta Columna présente une vidéo de nouveaux-nés dont les parents ont été inoculés entre décembre 2020 et janvier 2021. On les nomme aussi "bébés de la pandémie" ou plus récemment, "bébés-aux-yeux-noirs".

En dehors de leurs caractéristiques particulières [Ricardo Delgado parlait d’une apparence type syndrome de Down, la trisomie], ce qui est le plus frappant, ce sont leurs yeux noirs et leur vieillissement accéléré.

Ricardo Delgado: Comme promis, je vais vous montrer une vidéo de ces enfants dont les parents ont été vaccinés entre fin décembre 2020 et début janvier 2021. Avant la conception, logiquement, avant la grossesse et l’accouchement.

Nous pouvons voir que ces enfants ont une sorte d’effet syndromique. Ils présentent plusieurs traits caractéristiques, comme des yeux de couleur noire, alors qu’ils sont habituellement clairs à la naissance et acquièrent leur couleur définitive quand la rétine et l’iris sont formés.

Mais passons aux images et vous jugerez en fonction de ce que vous voyez.

Il est vrai que la musique n’est pas des plus appropriée. Si ces images sont légitimes… Il faudra les choisir avec soin. Il est vrai que nous aurons de plus en plus de ces vidéos malgré tout.

C’est comme s’il y avait un vieillissement prématuré. Et les aptitudes physiques qu’on devrait voir à un an ou à un an et quelque, ces bébés les manifestent à un âge très précoce, comme leurs tentatives pour ramper à deux semaines. Des choses qui ne sont pas normales. Sans parler de ces yeux noirs, ce qui n’est pas vraiment normal.

Nous voyons au début une vidéo un peu troublante sur le sujet des ‘yeux noirs’, comme on nomme les enfants nés en 2021. Des bébés nés après que les parents aient été vaccinés. Et ce que nous voyons… Bon. Prenons ces cas "avec des pincettes" en attendant d’avoir un peu plus de matière pour donner une meilleure crédibilité au sujet.

Mais ce que nous observons ressemble à un processus de vieillissement ou à un développement prématuré. Des enfants de 3 mois qui marchent, par exemple, alors qu’en temps normal, ce n’est pas avant neuf ou dix mois. À peu près.

Dr Sevillano : Avant 14 mois, plus ou moins. Un bébé doit être âgé de 12 ou 14 mois pour commencer à marcher. Mais c’est possible à partir de 9 ou 10 mois.

Ricardo Delgado: Ramper à deux semaines, par exemple. Ce n’est pas normal, n’est-ce pas ?

Dr. Sevillano: ce n’est pas normal. Non. Non.

Certains enfants sont en avance. Mais les yeux, en fait, attirent vraiment l’attention. Et il est nécessaire d’observer tout ce qui se rapporte à ces enfants pour savoir quel genre d’enfants sont nés après vaccination.

15 septembre 2021

Me Brusa enfin au courant pour la réelle composition des injections (+ rapport Dr Young)

Edit : le rapport du Dr Young a été posté sur le site de Réaction19 (accessible aux non-adhérents. Si pas le cas, prenez votre adhésion.) :

https://reaction19.fr/reaction19/enquetes-reaction19/140921-composition-des-pseudo-vaccins-dr-robert-young/

J'ai supprimé la vidéo youtube. Vous avez celle d'Odysee.

Vous trouverez la vidéo, sous le titre : "Avons-nous de bonnes nouvelles ?" sur le site de Réaction19 (le rapport en question, celui du Dr Robert Young, y sera dès lundi, je vous conseille d'adhérer à l'asso pour pouvoir le lire et l'imprimer si besoin). Rappelons que ce rapport est inspiré des recherches de La Quinta Columna. 

Vous la trouverez aussi sur la chaîne Odysee de Réaction19 :

https://odysee.com/@Reaction19_WebTV_Odysee:b/direct-ce-soir-19-h-10-avons-nous-de:a

28 juin 2021

Le vrai coupable

 Une info capitale nous vient d'un site espagnol (La Quinta Columna). La fameuse "protéine spike" n'est pas responsable des problèmes des "vaccins", si tant est qu'elle existe. C'est l'oxyde de graphène qui l'est avec ses différents modes d'entrée dans le corps (masques, écouvillons, injections). Cet oxyde explique aussi l'aimantation expérimentée par les injectés.

Allez lire l'article complet traduit par "Qactus" :

https://qactus.fr/2021/06/27/q-scoop-la-covid-19-est-cause-par-loxyde-de-graphene-introduit-par-plusieurs-voies-dans-le-corps/

Pour le lien original en anglais, c'est ici :

https://www.orwell.city/2021/06/covid-19-is-caused-by-graphene-oxide.html?

C'est en quelque sorte le "chaînon manquant" qui expliquerait tout et en particulier le lien avec les vaccins anti-grippaux qui contiennent des nanoparticules d'oxyde de graphène.




 


03 juin 2021

Le culte de la virologie

Vidéo trouvée sur l'excellent site cv-19.fr

 

30 avril 2021

Le Parlement Européen a voté en faveur du "certificat UE covid-19", mais c'était déjà prévu avant

 Malgré la notification de responsabilité du groupe de médecins pour une éthique du covid...

Pas surprenant, sachant que ces gens sont aux ordres des mondialistes en général et du Forum Économique Mondial en particulier.

Mais on apprend également sans surprise que c'était déjà prévu bien avant l'arrivée officielle de la plandémie.


Alors que le Parlement Européen approuve le certificat d'immunité, un document prouve qu'il était en préparation depuis 2019


 Par Derrick Broze (29 avril 2021) pour The Last American Vagabond

Traduit par Apolline

Dès juin, les voyageurs européens sont attendus à se déplacer grâce à un passeport d'immunité covid-19 tout juste approuvé par l'Union Européenne, cependant, un examen approfondi révèle que les passeports étaient déjà "dans les tuyaux" depuis 2019 au moins.

L'Union Européenne a annoncé jeudi le plan pour passer à la phase suivante pour une mise en œuvre européenne des fameux "passeports d'immunité" controversés. Les représentants des membres de l'UE ont débattu mercredi du lancement du certificat et ont annoncé les résultats jeudi matin. Le vote a donné 540 oui, 119 non et 31 abstentions. La mise en application du "certificat UE covid-19" se fera probablement début juin.

Ce certificat sera de type numérique ou version papier avec un QR code [QR = quick response] permettant à toute personne pleinement vaccinée ou donnant la preuve d'un test covid négatif ou ayant guéri du covid-19, de voyager dans l'Union Européenne. Bien qu'on parle souvent de "passeports d'immunité", ils ne se réfèrent pas nécessairement à l'immunité ni à un statut de vaccination car les individus peuvent aussi utiliser un test négatif au covid pour le recevoir. 


 Durant les débats de mercredi, des membres du Parlement ont réclamé une date butoir pour le programme, ils ont finalement opté pour un système dont la durée ne devrait pas dépasser 12 mois. Ils ont également voté en faveur d'un changement de nom, abandonnant "certificat numérique vert" pour "certificat UE covid-19".

Un membre italien, Piernicola Pedicini, a mis en garde contre une précipitation à approuver la procédure des certificats, déclarant que "la hâte est mauvaise conseillère". Il s'est montré aussi préoccupé par le fait d'avoir passé outre l'étape de la commission quant à son aspect législatif.

Le stade de mise en œuvre à venir implique des négociations entre le Parlement Européen et les dirigeants des 27 états-membres de l'UE sur la manière de démarrer le système de certification. Chaque état-membre doit mettre une infrastructure au point pour émettre, vérifier et stocker les données du certificat. Le dénommé "passage dans l'UE" sera ouvert en juin, autorisant les états-membres à rejoindre le programme.

25 avril 2021

Effets secondaires et décès en lien avec les 4 "vaccins" expérimentaux covid-19 (données officielles)

Données fournies par le site EudraVigilance (version en français possible). Je n'ai traduit que les réactions au "vaccin" Pfizer, car c'est celui qui provoque, de loin, les plus nombreux effets secondaires et décès. Mais vous pouvez voir les autres ICI.

7.766 morts, 330.218 préjudices corporels : Base de données européenne sur les effets secondaires des "vaccins" covid-19

Par Brian Shilhavy (24 avril 2021)
Éditeur de Health Impact News


La base de données européenne
qui rapporte les effets suspectés de réactions aux médicaments se nomme EudraVigilance ; elle compile aussi les préjudices et décès après injection des "vaccins" expérimentaux covid-19.

Voici ce que déclare EudraVigilance à propos de sa base de données :

Ce site web a été mis en ligne par l'Agence européenne des médicaments en 2012, pour fournir au public un accès aux déclarations sur les effets indésirables suspectés d’être liés aux médicaments (également appelés réactions indésirables). Ces rapports sont transmis par voie électronique à EudraVigilance par les autorités nationales de réglementation des médicaments et par les entreprises pharmaceutiques titulaires d'autorisations de mise sur le marché  pour les médicaments.

EudraVigilance est un système conçu pour la collecte des déclarations d’effets indésirables suspectés d’être liés aux médicaments. Ces rapports sont utilisés pour l'évaluation des bénéfices et des risques des médicaments pendant leur développement et pour la surveillance de leur sécurité postérieurement à leur autorisation dans l'Espace économique européen (EEE). EudraVigilance est utilisé depuis décembre 2001.

Ce site web a été mis en ligne pour répondre à la politique d'accès à EudraVigilance, élaborée pour améliorer la santé publique en soutenant la surveillance de la sécurité des médicaments, et pour renforcer la transparence pour les parties intéressées, notamment le grand public.

Le conseil d'administration de l'Agence européenne des médicaments a approuvé la politique d'accès à EudraVigilance en décembre 2010. Une révision a été adoptée par le conseil d'administration en décembre 2015 sur la base de la législation de 2010 relative à la pharmacovigilance. La politique vise à fournir aux parties intéressées, telles que les autorités nationales de réglementation des médicaments dans l'EEE, la Commission européenne, les professionnels de santé, les patients et les consommateurs, ainsi que l'industrie pharmaceutique et les organismes de recherche, un accès aux déclarations d’effets indésirables suspectés d’être liés à un médicament ou à une substance active.

La transparence est un principe directeur clé de l'Agence et constitue le fondement sur lequel se bâtit la confiance dans le processus de réglementation. En renforçant la transparence, l'Agence est plus à même de répondre aux besoins croissants des parties intéressées, notamment du grand public, en matière d'accès aux informations.

Leur rapport à la date du 17 avril 2021 répertorie 7.766 décès et 330.218 effets secondaires à la suite des 4 vaccins covid-19 expérimentaux :

Un abonné de Health Impact News en Europe a parcouru les rapports pour chacun des 4 "vaccins" inclus ici. Cet abonné s'est porté volontaire pour lister toutes les réactions, effets secondaires et décès, et c'est un énorme travail, car à aucun endroit du système EudraVigilance les résultats ne sont affichés sous forme de tableau.

24 avril 2021

Notification de responsabilité aux membres du parlement européen concernant le vote du "passeport vert numérique"

 Sur le site de :

Doctors for Covid Ethics

Tous les membres du parlement européen ont reçu une notification de responsabilité concernant les dommages et les décès imputés au vaccin Covid-19

Le 20 avril 2021, en vue du vote de l'Union Européenne du 28 avril sur les passeports vaccinaux (le "certificat vert numérique"), des notifications de responsabilité pour les dommages et décès imputés aux vaccins ont été remises à chacun des membres du parlement européen. La liste complète des destinataires est visible ICI.


NOTIFICATION DE RESPONSABILITÉ

[NOM]

20 avril 2021

Cette notification de responsabilité vous a été REMISE personnellement.

Vous pouvez être tenu pour personnellement responsable des dommages et décès causés par la mise en œuvre de la proposition dénommée RÈGLEMENT DU PARLEMENT ET DU CONSEIL EUROPÉENS relatif à l'émission, la vérification et l'acceptation de certificats interopérables de vaccination, test et rétablissement pour faciliter la libre circulation durant la pandémie covid-19 (certificat vert numérique) Bruxelles, 17 mars 2021, désigné pour contraindre à une large acceptation de la vaccination expérimentale. Si vous persistez à soutenir une telle mise en œuvre et si vous n'intervenez pas pour atténuer vos actions passées qui encouragent une telle mise en œuvre, vous pourrez être tenu pour personnellement responsable de tout dommage et mort qui en résulterait.

En annexe, et en tant que parties intégrantes de cette notification de responsabilité, figurent les documents suivants : Lettre ouverte urgente des médecins et scientifiques à l'Agence Européenne des Médicaments (A.E.M.) concernant les inquiétudes sur la sécurité du vaccin covid-19 ; réponse de l'A.E.M. aux médecins pour l'éthique covid ; des médecins et scientifiques accusent le régulateur médical de minimiser les dangers du vaccin covid-19 ; la lettre de réfutation à l'A.E.M. par les médecins pour l'éthique Covid ; les signatures des médecins pour l'éthique covid. [Tous les liens pré-cités se trouvent sur cette page : https://doctors4covidethics.medium.com/notices-of-liability-for-covid-19-vaccine-harms-and-deaths-served-on-all-members-of-the-european-a1f81f57216f

En outre, vous pouvez être tenu personnellement responsable du soutien de CRIMES CONTRE L'HUMANITÉ, définis comme des actes délibérément commis en tant que politique généralisée ou systématique, dirigés contre des civils et effectués dans le cadre d'une politique de l'état.

Vous êtes priés de répondre à cette NOTIFICATION DE RESPONSABILITÉ dans les 14 jours suivant la DATE DE SIGNIFICATION à :

MÉDECINS POUR L'ÉTHIQUE COVID

Doctors4CovidEthics@protonmail.com

21 avril 2021

Lettre ouverte au gouvernement et à ses conseillers sanitaires

Une lettre ouverte d'un "psychobiologiste", publiée aujourd'hui sur le site de Néosanté, qui remet les choses dans le bon sens.

LETTRE OUVERTE AU GOUVERNEMENT ET À SES CONSEILLERS SANITAIRES


Par Francis Cance (21 avril 2021)

Pour commencer cette lettre je vais aller droit au but qu’elle souhaite atteindre : Je vous exhorte à cesser de porter atteinte à la santé et à la vie des populations par les décisions que vous prenez à leur encontre, sous le prétexte de santé publique.

On pourrait se demander pourquoi science médicale et science politique se mélangent, tant leur domaine respectif est éloigné l’un de l’autre. Ce que l’on observe, c’est une instrumentalisation de la santé qui renforce des pouvoirs politiques, avec pour seul résultat, l’exercice de plus en plus fort d’un contrôle sur les populations.

Dès lors, je vais aussi user de ce même mélange hérétique entre ces deux domaines pour rétablir l’ordre des causes et des conséquences : Où les décisions politiques ne sont pas les conséquences d’un désordre sanitaire, mais où les décisions politiques sont les causes des désordres dans la santé publique.

Voici maintenant les raisons sur lesquelles se fonde mon propos :

La grande variété des symptômes et des maladies observés lors de cette « pandémie », témoigne seulement de la variété des souffrances morales ressenties par la population et causées par une politique anxiogène, je pourrais dire pathogène, et la création de grandes confusions.

Il n’est pas de vérité, scientifique soit-elle, qui ne dépende des paradigmes à partir desquels elle est observée. L’objet de ma lettre d’aujourd’hui porte sur les vérités partielles sur lesquelles se fondent les pratiques de la médecine actuelle.

Nul n’ignore maintenant que ces vérités découlent des conclusions de l’école pasteurienne que je vais ici, et pour faire simple, résumer en quelques mots :

Les organismes sont naturellement sains et saufs et doivent leurs désordres à l’intervention belliqueuse d’agents microbiens ou autres, venant de l’extérieur. Ce qu’il faut comprendre comme suit : les causes des maladies dites infectieuses sont toutes d’origine exogène.

03 avril 2021

Résumé de la situation : lettre de l'archevêque Carlo Maria Viganò

Je laisse la parole à cet archevêque qui était déjà intervenu deux fois l'année dernière et avait dénoncé le scandale en reliant correctement les points. 

La vérité doit l'emporter sur la peur : Covid-19, vaccin et Great Reset

Par l'Archevêque Carlo Maria Viganò, (25 mars 2021)

Cette Lettre reflète dans une large mesure mon intervention au prochain sommet "Truth Over Fear : Covid-19, the Vaccine, and the Great Reset", les 30 avril et 1er mai 2021, organisé par Patrick Coffin. Cet événement essentiel réunira plus de 20 des meilleurs médecins, chercheurs et avocats du monde, et proposera une approche scientifique et cohérente de la pseudo-pandémie. Tout le monde a droit à un consentement éclairé.

Cette crise sert à créer les conditions nécessaires pour rendre inévitable le Great Reset, c'est-à-dire le passage d'un monde basé sur la civilisation gréco-romaine et le christianisme à un monde sans âme, sans racines, sans idéaux. En pratique, il s'agit du passage du Royaume du Christ au Royaume de l'Antichrist.

Ce que nous avons appris jusqu'ici sur la pseudo-pandémie nous donne l'image d'une réalité inquiétante et d'une conspiration criminelle encore plus inquiétante ourdie par des esprits égarés. Cette réalité, cependant, n'est pas prise en considération par ceux qui, hypnotisés par l'endoctrinement médiatique, persistent à considérer une grave grippe saisonnière comme un fléau pandémique, les traitements connus comme inefficaces, et les prétendus vaccins reconnus inutiles et nocifs comme rien moins que miraculeux. 

La réputation des entreprises pharmaceutiques

Nous savons que les géants de l'industrie pharmaceutique - AstraZeneca, Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson - non seulement n'ont pas suivi les protocoles ordinaires de test des médicaments, mais ils ont un long passé de condamnations pour avoir précédemment causé de graves dommages à la population, en distribuant des vaccins dont il a été révélé qu'ils provoquaient des maladies invalidantes.

Les conflits d'intérêts

Nous connaissons les énormes conflits d'intérêts qui existent entre les entreprises pharmaceutiques et les organismes chargés de leur contrôle : dans de nombreux cas, les employés de ces entreprises sont passés par les entités qui doivent approuver et autoriser l'utilisation des médicaments, et il est difficile d'imaginer que ceux-ci - qui continuent souvent à avoir des liens professionnels avec Big Pharma - aient la liberté de procéder à une évaluation juste et prudente. En effet, nous venons de voir récemment avec le cas d'AstraZeneca en Europe que la nocivité évidente du soi-disant vaccin - qui a conduit certaines Nations à suspendre sa distribution - n'est pas considérée comme une raison suffisante par l'EMA (Agence européenne des médicaments) pour en interdire l'adoption. Les récentes découvertes sur les effets secondaires graves ont été conçues pour exclure la majorité des cas et surtout pour ignorer délibérément la relation de cause à effet entre l'inoculation du vaccin et ses effets secondaires à court ou à long terme.

31 mars 2021

Le contrôle mental dans l'ère du "covid"

Comment en est-on arrivé à cette soumission de la population à des mesures totalement irrationnelles ??

C'est la question que pose Yves Rasir dans sa dernière newsletter du 31mars. 

Il donne en lien l'article d'un psychiatre qui explique l'effet d'hypnose subi par les populations.

Voici le début de cet article publié par Nexus, vous le trouverez ICI dans son intégralité.

« Le contrôle mental », par le psychiatre Frédéric Badel

Comment parvient-on à faire porter le masque à toute une population sans qu’aucune preuve ne soit apportée d’une quelconque utilité du port de celui-ci ? Comment en vient-on à proposer le principe d’un passeport vaccinal pour un virus peu létal, mutant, qui tue essentiellement des personnes de plus de 80 ans ? Et comment se fait-il que ces propositions, solutions ou injonctions déclenchent si peu de réactions auprès des populations concernées ? Voici les questions posées le psychiatre Frédéric Badel, et les réponses qu’il leur a apportées.

Certaines techniques de manipulation de masse permettent d’expliquer l’évolution rapide des contenus de pensée à l’échelle de la population et l’adhésion d’une grande partie de cette population à un nouveau programme.

La manipulation de masse ne date pas d’hier. Les outils pour la mettre en place se sont modernisés et ont gagné en rapidité. La manipulation va permettre de disséminer à grande échelle une propagande visant à modifier les repères et les croyances habituels, puis à les remplacer par de nouveaux, sans qu’aucune supercherie ne soit détectée.

De nos jours, la propagation rapide de la propagande d’État est réalisée via la télévision qui reste l’outil d’information quotidien principal pour une majorité de Français. Cette véritable « institution » qu’est cet outil de communication et d’information occupe généralement une place centrale dans un salon ou une pièce où sont pris les repas. La télévision capte les regards et les conversations. Des expériences datant de la fin des années 60 (Thomas Mulholland, Herbert Krugman) montrent qu’après seulement une minute d’écoute, l’activité cérébrale du spectateur se modifie et passe de fréquences bêta à des fréquences alpha . Ce passage signe l’émoussement de la pensée logique et critique pour une détente proche de l’hypnose, ce qui peut expliquer bien des endormissements devant la télé. La propagande va donc employer l’activité hypnotique de cet outil omniprésent.

La télé propose actuellement des programmes en continu. Deux éléments sont utilisés :

La répétition d’informations identiques auprès de populations en état semi hypnotique permet de mieux ancrer ces informations dans le cerveau. La population recevant les mêmes informations acquiert un mode de pensée unique qui crée une pression sociale, peer pressure, un mécanisme d’auto-régulation du peuple par lui-même. Une fonction naturelle de l’homme est en effet de se calquer inconsciemment sur le modèle social ; à l’échelle de l’individu, un nouveau modèle s’installe pour correspondre à la pensée dominante. L’instinct grégaire et l’obéissance à la règle transforment les citoyens en gardiens de l’ordre établi.

La généralisation de programmes ne faisant pas intervenir la réflexion, la diffusion de programmes de télé-réalité faisant appel à la distraction, permettent de détourner l’attention et d’abêtir le peuple en l’éloignant des vrais problèmes sociaux.
Les programmes proposent donc une alternance d’informations inquiétantes et de programmes aliénants permettant la détente.

La télé est le média le plus performant pour conditionner les populations. Les journaux, débats d’idées lors de rencontres par exemple sont moins performants, car non hypnotiques. Les lecteurs ou auditeurs gardent un esprit critique, une réflexion, qui permettent plus difficilement d’accéder au subconscient pour y introduire de nouveaux concepts.

Le matraquage médiatique télévisuel utilise certaines stratégies visant à favoriser la modification des croyances. L’ingénierie sociale s’est développée dès les années 30 et plus particulièrement après-guerre. Elle a connu une accélération avec l’arrivée de la télévision qui a permis de s’introduire rapidement dans tous les foyers.

Lisez la suite ici : https://www.nexus.fr/actualite/analyse/controle-mental/

13 mars 2021

10 février 2021

"Nous gagnerons parce que nous devons gagner !"

 Je reproduis dans son intégralité cet article de Nouveau-Monde.ca. (via https://olivierdemeulenaere.wordpress.com

Haut les cœurs !

L'étau se resserre sur la clique de Davos

Par Jean-Michel Grau (8 février 2021)

Rappelons en préambule que le procès intenté contre le Dr Drosten par l’avocat allemand Reiner Füllmich a pour but de le poursuivre pour crimes contre l’humanité, pour avoir faussé le protocole des tests PCR pour le compte de la clique de Davos, qui a amené les gouvernements occidentaux à prendre toutes les décisions ravageuses de confinements, couvre-feux, distanciations sociales et port du masque obligatoire. En préconisant des valeurs de réglage CT jusqu’à 45, les résultats des tests devenaient presque tous positifs, même avec des traces infimes de virus, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée.

Voici le résumé traduit de la dernière communication du Docteur Füllmich du 11/01/2021. (1)

« Les auditions menées par le Comité Covid de Berlin depuis le 10.07.2020 d’une centaine de scientifiques, d’experts médicaux, d’économistes, de juristes et de personnes de renommée internationale ont révélé que le scandale Covid19 n’a en aucun cas porté sur la santé. La dangerosité de ce prétendu nouveau virus correspond à celle d’une grippe, selon les études du professeur John Ioannides de l’université de Stanford, mais aussi selon l’évaluation de l’OMS. De plus, les tests PCR du Dr Drosten, que la direction de l’OMS sous contrôle financier de la Chine et de la Fondation Bill & Melinda Gates a recommandé comme norme mondiale de référence pour la détection des infections, ne conviennent en aucun cas à la détection des infections. »

« Le fait est que les tests PCR comme méthode de mesure des infections ne sont pas seulement une absurdité scientifique, mais a apparemment été programmé intentionnellement de manière à créer le plus grand nombre possible de faux positifs, et donc à semer la panique dans le monde. Cela est prouvé par un article de rétractation rédigé par 22 scientifiques internationaux très respectés, qui demande à l’éditeur de la revue de rétracter immédiatement ces absurdités. Il a été consulté environ 18 millions de fois jusqu’à présent. »

« En outre, l’affirmation de Drosten, selon laquelle il existe des infections asymptomatiques, est également fausse. Parce qu’il n’y a rien de tel, comme l’a récemment prouvé une grande étude de Wuhan, concernant 10 millions de personnes. »

26 janvier 2021

À la recherche du virus, suite et FIN

Ce sera mon dernier article sur cet inexistant virus, l'arme du Forum Économique Mondial pour soumettre les peuples.


L'existence du SRAS-CoV-2 n'a pas été prouvée : les choquantes recherches de Christine Massey

 

par Jon Rappoport

26 janvier 2021

Vous pouvez voir le travail de Christine Massey sur son site, fluoridefreepeel.ca. Elle mérite les remerciements de toute personne intelligente.

Citation de Massey : "À l'aide de quelques assistants anonymes, j'ai soumis des demandes d'accès à l'information à diverses institutions canadiennes, à la recherche de dossiers décrivant l'isolement du "SARS-COV-2" (le prétendu virus du COVID-19) à partir d'un échantillon non altéré prélevé sur un patient malade.

Mes demandes ont été formulées intentionnellement pour éliminer les allégations frauduleuses, illogiques et non scientifiques d'isolation du 'SRAS-COV-2', qui existent en grand nombre...".

"Mes demandes ne se limitaient pas aux enregistrements d'isolation effectués par l'institution respective, et ne se limitaient pas aux enregistrements rédigés par l'institution respective, mais étaient plutôt ouvertes aux enregistrements d'isolation réalisées par toute personne, partout sur la planète...

Des collègues de nombreux autres pays ont obtenu de dizaines d'autres institutions des réponses à la même semblable demande d'information.

"En date du 22 janvier 2021, 46 institutions et services ont répondu à ces demandes. Toutes les institutions ont échoué à fournir ou à citer ne serait-ce qu'un seul document décrivant l'isolation réelle d'un quelconque "SARS-COV-2" à partir d'un échantillon de patient quel qu'il soit, à quelque endroit de la planète".

Voici une réponse typique à une demande de Mme Massey, provenant du ministère de la santé de l'Ontario. La réponse est arrivée au bout de quatre mois : "Ceci pour vous informer qu'aucun dossier répondant à votre demande n'a été trouvé. Une recherche raisonnable du ministère a été effectuée et aucun dossier pertinent n'a été trouvé. Le Dr David C. Williams, médecin hygiéniste en chef, est responsable de cette décision".

AUCUN dossier n'indique que le SRAS-CoV-2 a été isolé. "Isolé" signifie "séparé d'autres matériaux". En clair, isolation signifie "nous avons trouvé le virus et avons pu l'identifier".

UNE ISOLATION RÉELLE SIGNIFIE QUE LE VIRUS EXISTE. L'INCAPACITÉ À L'ISOLER SIGNIFIE QU'IL N'Y A PAS DE PREUVE DE L'EXISTENCE DU VIRUS.

Lorsque, comme l'indique Mme Massey, 46 agences distinctes disent la même chose - "aucun dossier d'isolation disponible" - on ne se demande plus ce qui se passe. Nous sommes fermement sur le territoire de la FRAUDE.

Comme je l'ai dit à plusieurs reprises, les virologistes déforment et torturent le sens du mot "isolé". Ils prétendent avoir le virus dans une soupe dans un plat du laboratoire. "Dans une soupe" est tout le contraire de "isolé".

La soupe contient des cellules animales et humaines, des produits chimiques toxiques et des drogues toxiques, ainsi que d'autres matériels génétiques. Certaines des cellules sont en train de mourir. Les chercheurs affirment de façon absurde que la mort doit être le résultat de l'attaque du virus sur ces cellules.

Cependant, les produits chimiques et les médicaments pourraient être responsables de la mort. Et les cellules humaines et animales sont privées de nutriments, ce qui suffit à les faire mourir.

Il n'y a donc aucune preuve que le prétendu (et non isolé) virus se trouve dans la soupe du plat au laboratoire.

Cette "preuve d'isolation" revient à prétendre que le soleil est la lune, que l'Alaska est une petite ville sur Saturne et qu'un lapin est un vaisseau spatial.

Ce n'est pas un hasard si l'enquête acharnée de Christine Massey n'a révélé aucune preuve d'isolation réelle.

02 octobre 2020

Le plan de folie prévu par le gouvernement britannique

Le British Medical Journal (BMJ) (créé en 1840) a publié un document fuité provenant du gouvernement britannique. Il ne fait que présenter les faits, sans prendre parti, bien évidemment. Voici le programme prévu pour nos voisins de Grande-Bretagne, appelé "Opération Moonshot" (littéralement "lancement d'une fusée vers la lune").

(J'ai mis certains mots en gras)

 

La Grande-Bretagne prévoit de dépenser 100 milliards de livres [110 milliards d'Euros] pour multiplier le nombre de tests

Opération Moonshot : que disent les documents divulgués ?

Par le BritishMedical Journal, 11 septembre 2020

Traduit par Apolline

"Opération Moonshot" est le nom du plan récemment proposé par le gouvernement britannique pour tester massivement la population. Le plan divulgué par le BMJ implique d'accroître la cadence des tests, en passant de quelques centaines de milliers par jour aujourd'hui à 10 millions par jour début 2021. Mais comment le gouvernement veut-il s'y prendre ?

De quelle manière cet accroissement sera-t-il réalisé entre aujourd'hui et début 2021 ?

Les documents montrent un déroulement en 3 phases. Ils précisent que la Grande-Bretagne pratiquera entre 200.000 et 800.000 tests par jour entre septembre et décembre 2020. Ce qui peut se décomposer ainsi :

- 200.000 tests par jour pour les gens présentant des symptômes

- 100.000 par jour pour les gens sans symptômes dans des zones restreintes, afin de supprimer l'extension de l'épidémie

- 250.000 par jour pour les employés du NHS [National Health Service, système de santé de la G-B] et les résidents d'EHPAD ne présentant pas de symptômes, et

- 100.000 par jour grâce aux études nationales du nombre de cas.

À partir de décembre, les plans proposent de faire passer la capacité journalière de 2 à 4 millions. Ce qui impliquerait un test de masse de tous les foyers des zones restreintes ou de cités entières quand le nombre de cas augmente (430.000 tests/jour) et de tester les gens pour leur permettre de pénétrer dans des endroits à haut risque, comme les visites à l'hôpital ou dans les EHPAD [care home en anglais].

Le plan prévoit ensuite un "plein déploiement" début 2021 avec 10 millions de tests par jour, pour "permettre aux gens de retrouver et de maintenir une vie normale." À ce stade, un test hebdomadaire serait progressivement disponible dans la population entière, autorisant les gens à se rendre à des événements à haut risque grâce à un "passeport numérique" confirmant qu'ils ont été testés négatif au virus.

 

28 mai 2020

À bas les masques !

La dernière newsletter d'Yves Rasir (27 mai) qui porte sur l'absurdité des masques et la non-contagion. Avec en fin d'article une lettre envoyée par un médecin du Doubs au Conseil de l'Ordre.

3 raisons de (re)jeter le masque


Pandémie, fin de partie ! Comme l’avaient bien prévu le Pr Didier Raoult et quelques autres spécialistes clairvoyants,  le Covid-19 s’est comporté comme une banale virose saisonnière et n’a pas résisté au retour des beaux jours. L’hiver n’a pas été rigoureux mais il a été long, les températures ne remontant vraiment qu’à partir du 15 avril. Et c’est précisément à partir de ce moment-là, avec l’arrivée du printemps climatique, que le nombre de cas a piqué du nez et que la très relative affluence dans les hôpitaux – en Belgique, l’occupation des lits en soins intensifs n’a jamais dépassé 60% – s’est brusquement tarie.  L’épidémie est terminée depuis un bon mois  et il n’y aura pas de deuxième vague, cette autre divagation née dans l’imagination des experts conseillant le pouvoir. Maintenant, la question est de savoir si l’on va retrouver la 7ème Compagnie, je veux dire la grippe annuelle qui a mystérieusement disparu des statistiques françaises de mortalité, comme le révèle l’article de notre collaboratrice Pryska Ducoeurjoly  que nous avons mis en ligne. Quoi,  c’est pas possible, on aurait  aussi amalgamé ce fléau prétendument dévastateur avec la bonne vieille « crève » hivernale ? Il n’est pas interdit de le penser.  Pour rappel (voir mes infolettres précédentes), certaines études montrent que 80% des syndromes grippaux hivernaux ne sont pas associés au virus Influenza. Et d’autres travaux indiquent que la famille des virus Corona intervient dans 7 à 15% des infections respiratoires qualifiées de grippes. Or celles-ci dégénèrent fréquemment en pneumonies typiques ou atypiques.

L'Union Européenne avait-elle prévu la pandémie dès 2018 ?


L'Union Européenne aurait-elle anticipé la pseudo-pandémie ? Impossible, n'est-ce pas, comment auraient-ils su ?

Quoique le meilleur moyen de connaitre l'avenir est de le créer...

Un rapport de l'UE prévoit depuis 2018 un plan d'action pour un "passeport de vaccination"

Le "plan vaccination" expose un programme de 3 ans pour encourager la "confiance envers les vaccins" et faire progresser le "traçage électronique".

Par Kit Knightly
(Merci à Pierre pour la traduction)

Un rapport publié en fin d'année 2019 par la Commission Européenne révèle que l'UE a envisagé d'accroître l'étendue et le pouvoir des programmes de vaccination bien avant l'actuelle "pandémie".

L'objectif du programme, parmi bien d'autres choses, est d'introduire une "carte/passeport de vaccination" commune à tous les citoyens de l'UE.

Cette proposition paraitra en commission en 2022, avec une "étude de faisabilité" prévue entre 2019 et 2021 (ce qui veut dire que nous en sommes aujourd'hui à mi-parcours).

Un point important : le "plan vaccination" N'EST PAS une réponse improvisée à la pandémie Covid-19, mais plutôt un plan en cours remontant à 2018, au moment où l'UE a publié une étude sur l'attitude du public envers les vaccins, intitulée "État de la confiance envers les vaccins en 2018".[tous les liens de l'article sont en anglais bien sûr]

À la suite de cette recherche, l'UE a commissionné un rapport technique nommé "Conception et mise en œuvre d'un système d'information d'immunisation" concernant – parmi d'autres choses – la plausibilité d'un système de surveillance des vaccinations à l'échelle européenne.