2ème partie
POLITIQUE
Attitude vis à vis de la politique
On
en a déjà parlé, JFK, dans sa jeunesse, n'était pas attiré par
la politique. Il n'a fait que ce que son père lui avait imposé de
faire.
En public, il semblait être très proche du
peuple, ravi de discuter avec les personnes et enchanté par les
bains de foule, qui lui permettaient de serrer tout sourire les mains
de ses concitoyens. Encore une image opposée à la réalité. Citons
une anecdote relatée par Reeves, qui ne peut que faire sourire :
« Le
journaliste Peter Lisagor accompagna brièvement Kennedy dans sa
tournée du Wisconsin. Alors que la voiture du candidat entrait dans
le parking d’un supermarché, Lisagor lui demanda : “Vous
aimez ces foules et tout ce genre de choses ?” Kennedy se
tourna vers lui et lui dit : “J’ai horreur de ça”, avant
d’ouvrir la portière pour saluer des électeurs. »
Cependant, il est vrai qu'il était beaucoup
plus "décontracté" que les autres présidents. Parfois,
il ne tenait pas compte des règles de sécurité les plus
élémentaires. Cela se produisit notamment le matin du jour de son
assassinat, alors qu'il se trouvait à Fort Worth (avant de
s'envoler pour Dallas). Il approcha la foule de face, attitude
particulièrement dangereuse dans le cas où un homme armé s'y
serait mêlé. Normalement, le président arrive par une extrémité
pour ensuite longer les barrières de sécurité : ainsi, cela permet
aux agents du Secret Service de vérifier que les mains des personnes
qu'il s'apprête à serrer sont vides.
Si Kennedy n'aima guère siéger au Congrès
(en raison de son jeune âge, « on le prenait souvent
pour un simple employé, voire (c’est arrivé une fois) pour le
garçon d’ascenseur »), il ne cessa jamais de travailler
d'arrache-pied. Il réussit par exemple à visiter les trois cent
cinquante et une villes et villages du Massachusetts au cours de la
campagne de 1952 pour le siège de sénateur, et ce en dépit de sa
maladie.
Contrairement à ce que son fils et lui-même
ont toujours essayé de nier, Joe Kennedy eut une très forte
influence sur John tout au long de sa carrière politique. Reeves
rapporte à ce sujet une anecdote sympathique :
« Il (Joe) se
faisait du souci pour sa santé, le bombardait d’informations et
d’opinions, lui recommandait des conseillers…, au point que John
confia un jour à Lem Billings (ami de longue date
de JFK qui s’investit dans la campagne présidentielle de 1960) :
“J’ai l’impression que papa a décidé d’être un
ventriloque… je suppose que cela me laisse le rôle de la
poupée”. »
On sait que Kennedy était un homme qui
vivait au jour le jour ; il évitait le plus possible de se projeter
dans le futur. En tant que président, il présentait la même
particularité :
“Ne
nous inquiétons pas de ce qui se passera dans cinq ans (...) Que
faisons-nous demain ?”
***********************
La baie des cochons et le Vietnam
Le 22 novembre prochain marquera le 50ème anniversaire de l’assassinat de J.F. Kennedy et il fait peu de doutes que nos formateurs d’opinion y trouveront l’occasion de nous rappeler tout le bien qu’il faut penser de ce « héros » de l’Occident.
Pourtant, il ne suffit pas d’avoir été assassiné (par qui ?) pour entrer dans l’Histoire par la grande porte. Ce pur produit du système élitaire américain s’est en effet distingué par des décisions qui font de sa présidence une calamité pour les peuples du monde...
Entré en fonction en janvier 1961, dès mars, Kennedy lance un programme d’armement parmi les plus importants en temps de paix : il double le nombre de missiles nucléaires balistiques intercontinentaux ; augmente le nombre de bombardiers stratégiques et celui des autres missiles ; et quadruple les unités de lutte subversive dites « anti-guérillas ».
En avril, il ordonne de renverser le gouvernement révolutionnaire de Fidel Castro. Des bombardiers américains maquillés aux couleurs cubaines attaquent les bases aériennes de l'île et détruisent les appareils au sol tandis que des bâtiments de guerre appuient le débarquement sur l'île d’une troupe de 1.500 exilés cubains recrutés et entraînés aux États-Unis par la CIA. Cette « invasion de la baie des Cochons », perpétrée en violation flagrante de la légalité internationale, se solde fort heureusement par un échec cuisant des Etats-Unis et de leurs mercenaires. Mais le peuple cubain déplore 176 tués et 4.000 blessés.
En août, Kennedy déclenche l'opération Ranch Hand, une guerre chimique contre la population du Vietnam qui consiste à répandre, sur les forêts et les récoltes, un défoliant connu sous le nom d’agent orange. Jusqu'en 1971, près de 80 millions de litres de ce défoliant sont déversés sur le Sud du Vietnam, principalement par avion. Plus de 2,5 millions d’hectares de forêts et de terres sont contaminés.
L'agent orange, qui contient de la dioxine, est un danger pour l'être humain. Les personnes exposées peuvent développer des cancers de divers types ou, s'il s'agit de femmes, mettre au monde des enfants présentant des malformations rares et monstrueuses : absence partielle ou totale de membres, tête disproportionnée, tronc a deux têtes, absence de cerveau, ...
De tels enfants continuent de naître aujourd'hui car les mutations génétiques acquises par les personnes contaminées se transmettent à leur descendance. Selon les autorités vietnamiennes, 800.000 personnes seraient encore malades du fait de leur exposition à la dioxine et 150.000 enfants souffriraient de malformations.
Après la Seconde Guerre mondiale, les dirigeants de l'entreprise IG Farben qui avaient produit le gaz Zyklon B utilisé dans les chambres à gaz ont été jugés, reconnus coupables de crimes de guerre et condamnés. Serait-il anormal que les dirigeants civils et militaires des Etats-Unis qui portent la responsabilité de l'épandage de l'agent orange sur le Vietnam subissent le même sort ?
Pour Kennedy, qu'il suffise que sa mémoire soit définitivement associée à un des crimes les plus horribles du XXème siècle, et qu'en France, au moins symboliquement, l'on débaptise les rues et avenues - trop nombreuses - qui portent son nom.
Source
3ème partie
JFK ET LES FEMMES
Un des atouts majeurs de Kennedy était son
charme. Il en était parfaitement conscient, et apprit très tôt à
s'en servir pour parvenir à ses fins. Cela lui permit notamment de
séduire de nombreuses femmes. D'après Reeves :
« les
filles se succédaient dans son lit à tel point qu’il ne se
donnait même plus la peine de retenir leur prénom,
les appelant simplement "chérie" ou "mignonne"
le matin venu ».
Les incessantes infidélités de JFK envers
Jackie aurait pu fortement ternir l'image du président du progrès
qu'il incarnait. Mais, bien entendu, les services secrets ou la
Maison-Blanche s'arrangeaient toujours pour les cacher des yeux du
monde. Ainsi, pour duper les journalistes, Kennedy faisait souvent
venir des jeunes femmes dans des camions de fleuristes. Jackie
n'était pas stupide, et avait parfaitement connaissance des actes de
son mari. Probablement par "vengeance", elle trouvait un
malin plaisir à l'humilier en ironisant. Par exemple,
lorsqu'elle découvrit un jour de la lingerie féminine dans une
taie d'oreiller, elle la tendit froidement à John en disant :
“Pourrais-tu
te renseigner pour voir à qui cela appartient ? Ce n’est pas
ma taille”.
Cependant, les services de la Maison-Blanche
essayaient à tout prix d'empêcher Jackie de surprendre son mari en
flagrant délit. Ainsi, lorsque John se baignait (nu) dans la piscine
de la "White House" en compagnie de prostituées, les
gardes du corps de ce dernier devaient surveiller les déplacements
de la Première dame et prévenir rapidement le président lorsque
celle-ci se rapprochait de ladite piscine, pour que les jeunes femmes
soient évacuées. Toujours à propos des frasques de JFK, relatons
un épisode absolument incroyable figurant dans le livre de Reeves :
« En
dehors de la Maison-Blanche, les services secrets devaient souvent
s’entourer de précautions particulières pour dissimuler les
écarts de conduite présidentiels. Comme les journalistes avaient
envahi l’entrée du Carlyle Hotel de New York, des agents faisaient
passer le président sous le Carlyle, par une enfilade de tunnels qui
conduisaient à des immeubles et des hôtels où il pouvait se
distraire. “C’était une vision assez bizarre, admet Charles
Spalding (ami de JFK). John, les deux
hommes des Services secrets et moi marchant dans ces gigantesques
tunnels sous les rues de la ville, le long de ces énormes tuyaux,
chacun de nous muni d’une torche. Un des agents portait également
un plan du sous-sol et disait de temps à autre : “Par ici,
Monsieur le président””. »
Mais, outre l'aspect éthique, ces écarts de
conduite pouvaient s'avérer extrêmement dangereux pour le pays.
Citons à nouveau Reeves :
« D’après
Langon Marvin, consultant, John échappa à ses agents à New York
pour se rendre en cachette à une soirée. Ce faisant, il se trouva
séparé de l’officier qui le suivait avec les codes nucléaires
fixés à son poignet ; cette situation s’est sans soute
répétée à plusieurs reprises lors des escapades nocturnes de
Kennedy. “Les Russes auraient pu nous bombarder comme des fous et
rentrer chez eux, souligne Marvin, et nous n’aurions rien pu
faire”. »
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On sait que
Marilyn Monroe fut le "mannequin présidentiel" de JFK, de
son frère Ted et de bien d'autres membres de "l'élite" au
pouvoir. Mais d'autres femmes sous programmation de l'esprit ont
raconté leur aventure avec JFK après avoir pu s'échapper. Entre
autres Brice Taylor.
Voici un extrait
de son livre "Thanks for the memory" (Merci pour les
souvenirs) paru en 1999. Brice Taylor (c'est un pseudonyme, son vrai
nom est Susan Ford) était comme Cathy O'Brien une esclave sexuelle.
Elle fut prostituée à plusieurs officiels américains au pouvoir
aussi bien à la Maison Blanche qu'en dehors. Parmi eux, Lyndon
Johnson, Henry Kissinger, Nelson Rockefeller, Gerald Ford, Jimmy
Carter, Ronald Reagan, George Bush (le père ; étant
exclusivement pédophile, il ne l'a utilisée que pour de
l'espionnage, mais il eut des relations sexuelles avec la petite
fille de Brice Taylor) et le comédien Bob Hope (qui fut son
"mentor"). Et aussi JFK, qui figure chronologiquement comme
le premier président à avoir abusé d'elle, en dehors de ses
"programmateurs".
Voici la
traduction d'un extrait de son livre concernant ses relations avec le pédophile
JFK. Étant née en 1951, Brice a autour de 10 ans à cette époque.
Avertissement, lectorat adulte.
JFK en avait vraiment dans le ventre.
Il me faisait même rentrer en douce à la Maison Blanche
l'après-midi. Il y avait parfois une autre esclave sexuelle avec moi
et quand nous montions à la chambre il disait, "Nous ne faisons
que fignoler ta formation afin que tu sois au top quand tu seras
grande". Il m'enseignait, "Les hommes aiment les femmes
sexuellement accrocheuses. Ma femme ne me satisfait pas. Elle ne fait
que s'allonger et attend. Mais les hommes aiment les femmes qui
prennent des initiatives". Puis il s'allongeait et attendait que
nous le stimulions toutes les deux, après quoi il se transformait en
animal. Jack (surnom de JFK) disait qu'il me formait pour plus tard.
Je ne savais pas ce que ça voulait dire. Il disait que je servais
mon pays en répondant aux besoins de leur dirigeant. Il disait, "En
soulageant mes tensions tu m'aides à prendre de meilleures
décisions". En touchant le bout de mon nez, il continuait,
"Donc jeune dame, tu es très importante pour la nation".
On venait de m'enlever mon appareil d'orthodontie. JFK avait un fin
corps musclé et une poitrine poilue. Il s'entraînait sur un rameur.
À une occasion alors que nous étions couchés au lit, il me dit,
"Tu sais, nous avons tous les deux le même type de dents".
(…) JFK aimait aussi les relations
sexuelles anales, comme son frère Ted. Après avoir découvert que
j'étais avec Ted, il me demanda à quoi ressemblait vraiment ce
frère. Quand j'expliquais qu'il me faisait mal, il secoua juste la
tête et dit, "Je n'ai jamais pu comprendre ce qui est arrivé à
mon frère. Nous avons eu les mêmes parents, mais nous sommes allés
à des écoles différentes et avons des amis différents".
(…) JFK ne me causa jamais de
blessures physiques. Il n'était pas violent, juste agressif
sexuellement mais jamais brutal comme son frère Ted. JFK aimait
toutes sortes de rapports sexuels. Il aimait des choses variées, et
pas du tout de routine. Il s'ennuyait rapidement et demandait tout le
temps des nouveautés. Nous avions des relations sexuelles à
plusieurs endroits. Il risquait gros...plus c'était risqué,
meilleur c'était. Nous le faisions même dans des toilettes
publiques quelque part près de Washington. À ces occasions, les
agents des services secrets avaient doublement peur à cause de lui.
Ils lui disaient, "Nous pourrions perdre notre job avec vos
petites combines pour vous éclipser". Et ils étaient tout
contrariés, suant et énervés parce que comme ils l'expliquaient,
ils avaient parcouru toute la ville pour découvrir par où il les
avait semés. Jack leur disait de se relaxer, qu'il allait bien et
qu'ils conserveraient leur boulot".
Traduit par le BBB.
Front National, histoire d'une trahison :
RépondreSupprimerhttp://florianrouanet.wordpress.com/2013/06/18/front-national-histoire-dune-trahison/
Conférence de Florian Rouanet donnée le 17 juin 2013, basée sur l’ouvrage du même nom, rédigé par Philippe Ploncard d'Assac président des Cercles Nationalistes Français.
Sujets abordés :
Jean-Marie Le Pen (origines, parcour personnel et politique, évolution, fortune et question migratoire...) ; Front National (affaire Lambert, SERP, la Veuve Poignet, Parti Populaire Français, Action Française, Division Charlemagne, Waffen SS française, passage de Philippe Ploncard d'Assac, gaullisme, question juive, mort de MM. Stirbois et Duprat, empire coloniale, PME, MSI, diabolisation, trahison, base militante et escroquerie démocratique...) ; Marine Le Pen (gauchisme, Vatican II du nationalisme, dédiabolisation, affaire Gabriac, l'Œuvre française, départ de Roger Holeindre, droit de l'homme, 1789, laïcité, Radio J et Israël...) ; Bruno Gollnisch (ralliement, LICRA, Dominique Venner) ; Cadres (Florian Philippot, Christian Bouchet, Gilbert Collard, Paul-Marie Couteau, Bruno Megret) ; Camp "national" (Radio Courtoisie, Club de l'Horloge, Nouvelle-Droite) ; Doctrine et analyses (Nationalisme, Décalogue, Mondialisme, "droit du sang", antiracisme, problème du "mariage" homosexuel, avortement et racialisme, Franc-Maçonnerie, électoralisme, décret Crémieux)...