Malgré la notification de responsabilité du groupe de médecins pour une éthique du covid...
Pas surprenant, sachant que ces gens sont aux ordres des mondialistes en général et du Forum Économique Mondial en particulier.
Mais on apprend également sans surprise que c'était déjà prévu bien avant l'arrivée officielle de la plandémie.
Alors que le Parlement Européen approuve le certificat d'immunité, un document prouve qu'il était en préparation depuis 2019
Par Derrick Broze (29 avril 2021) pour The Last American Vagabond
Traduit par Apolline
Dès juin, les voyageurs européens sont attendus à se déplacer grâce à un passeport d'immunité covid-19 tout juste approuvé par l'Union Européenne, cependant, un examen approfondi révèle que les passeports étaient déjà "dans les tuyaux" depuis 2019 au moins.
L'Union Européenne a annoncé jeudi le plan pour passer à la phase suivante pour une mise en œuvre européenne des fameux "passeports d'immunité" controversés. Les représentants des membres de l'UE ont débattu mercredi du lancement du certificat et ont annoncé les résultats jeudi matin. Le vote a donné 540 oui, 119 non et 31 abstentions. La mise en application du "certificat UE covid-19" se fera probablement début juin.
Ce certificat sera de type numérique ou version papier avec un QR code [QR = quick response] permettant à toute personne pleinement vaccinée ou donnant la preuve d'un test covid négatif ou ayant guéri du covid-19, de voyager dans l'Union Européenne. Bien qu'on parle souvent de "passeports d'immunité", ils ne se réfèrent pas nécessairement à l'immunité ni à un statut de vaccination car les individus peuvent aussi utiliser un test négatif au covid pour le recevoir.
Durant les débats de mercredi, des membres du Parlement ont réclamé une date butoir pour le programme, ils ont finalement opté pour un système dont la durée ne devrait pas dépasser 12 mois. Ils ont également voté en faveur d'un changement de nom, abandonnant "certificat numérique vert" pour "certificat UE covid-19".
Un membre italien, Piernicola Pedicini, a mis en garde contre une précipitation à approuver la procédure des certificats, déclarant que "la hâte est mauvaise conseillère". Il s'est montré aussi préoccupé par le fait d'avoir passé outre l'étape de la commission quant à son aspect législatif.
Le stade de mise en œuvre à venir implique des négociations entre le Parlement Européen et les dirigeants des 27 états-membres de l'UE sur la manière de démarrer le système de certification. Chaque état-membre doit mettre une infrastructure au point pour émettre, vérifier et stocker les données du certificat. Le dénommé "passage dans l'UE" sera ouvert en juin, autorisant les états-membres à rejoindre le programme.