SURPOIDS ET
TROUBLES
ALIMENTAIRES
La vision originale
du décodage biologique
L'originalité du décodage est de ne pas se focaliser sur les kilos à perdre, mais d'apporter un nouveau regard sur le surpoids et sur les troubles de l'alimentation.
Le surpoids, une
solution biologique
Ce que nous prenons
pour un problème est peut-être en réalité une solution. La
solution que notre corps a trouvée pour répondre à un besoin
biologique, besoin de se protéger, de stocker, de se remplir... Par
exemple, le besoin irrépressible de manger est-il déclenché par la
faim ? Rarement ! Plus souvent par le besoin de douceur, de plaisir,
d’amour, de se calmer... Sous cet angle, les kilos deviennent une
réponse à un besoin biologique non satisfait !
La question n’est
plus « pourquoi je grossis ? », mais « quelle est
l’utilité de ce poids que je porte en moi ? ». Répondre à
cette question est un élément essentiel du décodage biologique.
Cela permet de retrouver l’instant conflictuel, l’origine
émotionnelle de la prise de poids. Cet instant précis où mon
besoin n’a pas été satisfait et que ma biologie ressent toujours
!
Une origine
émotionnelle
Comme le cas de
cette patiente qui avait 16 kilos de trop. Elle a tout essayé :
régimes divers et variés, sport, massage... rien ne marche ! La
graisse est toujours là, sur ses fesses et ses cuisses ! Lors de la
séance, nous trouvons l’événement à l’origine de son besoin
de protéger son intimité. À 16 ans, elle est victime d’une
agression sexuelle... Elle est sans solution, impossible pour elle de
faire face à ce moment-là ! Son corps, lui, va trouver la bonne
solution et lui apporter la réponse biologique adaptée : protéger
cette partie de son corps qui a subi l’agression. Son besoin de se
protéger va
perdurer car
l’utilité va continuer. En effet, en gardant son surpoids, elle
devient moins désirable, et est donc en sécurité. En se libérant
de cela, elle a enfin pu se transformer, tant intérieurement
qu’extérieurement.
Cette écoute
thérapeutique orientée sur l’origine émotionnelle s’appuie
donc sur l’utilité du symptôme, c’est-à-dire la fonction
biologique du tissu adipeux : fonction de protection thermique et
mécanique, de réserves, de soutien de certains organes... et de sa
localisation. Dans notre exemple, les cuisses et les fesses
correspondent à la sexualité. Ainsi en s'appuyant sur la
physiologie, si, en s’appuyant sur la physiologie, le décodage a
permis de mettre en relief les conflits biologiques du surpoids,
comme par exemple le conflit d’agression, d’abandon, de manque,
de résistance, de silhouette... Il peut donc y avoir plusieurs
fonctions biologiques, plusieurs conflits et ainsi plusieurs
décodages.
Des «
profils-types »
Dans cette optique,
j’ai mis en place une grille de lecture afin de cibler les
structures inconscientes, d’affiner les décodages et d’adopter
une stratégie thérapeutique spécifique.
Voici quelques «
profils-types » que vous avez sûrement dû rencontrer :
• Les « piliers »
: il s’agit de personnes qui ne peuvent compter que sur elles, qui
doivent résister, faire face. Des personnes qui ont un rôle, une
place particulière dans la famille. Elles sont ou se considèrent
comme « les piliers de la famille », « cette femme forte sur qui
on peut s’appuyer ». Pour vivre, il faut faire face à
l’adversité, l’abandon ou la peur de l’être... On ne peut
donc compter que sur soi ! Le poids incarne la stabilité.
• Les «
donneurs-donneuses » : ces personnes sont tournées principalement
vers
les autres. Elles
s’occupent des autres plus que d’elles-mêmes. Que ne faut-il pas
faire pour appartenir, pour être accepté, pour être aimé ? Ce
besoin conduit à s’interroger sur la notion de place, de valeur,
d’estime de soi... on ne peut exister que si on est là pour les
autres ! À force de faire pour les autres, « si tu veux » ou
«comme tu veux », on se déconnecte de ses propres besoins. C’est
la perte de l’autonomie alimentaire.
• Les «
abandonné(e)s » : Pour ces personnes, la difficulté est double :
la peur des autres et en même temps le besoin des autres (ma
famille, mes collègues… la société). Il faut se protéger, se
cacher des autres, du regard des autres qui me jugent, qui
m’agressent, qui me rejettent et en même temps être vu(e), être
aimé(e), prendre plus de place pour exister, ne pas être oublié(e).
Comment faire pour se cacher et en même temps être vu ? Grossir
revient à porter une armure qui se voit à l’extérieur et qui
protège mon intérieur, c’est la solution idéale !
• Les «
stockeurs-stockeuses » : ils mettent en réserve, ils stockent,
en eux, ce qui leur manque, que cette absence soit réelle,
virtuelle ou symbolique. Il s’agit d’un besoin de remplir,
de combler un vide, du besoin d’être en contact avec ce qui n’est plus là... Le corps
va garder sous forme de chiffres et le nombre de kilos en trop sera signifiant de
l’absence. Il est possible, par exemple, comme une de mes
patientes, de garder le poids de sa mère décédée (63 kg). La
problématique tourne dans ce cas autour du deuil non fait.
• Les «
sociales-victimes » : Victimes d’agression, mais aussi victimes du
regard des autres, des
contraintes sociétales, de la dictature de la silhouette parfaite...
et même de leur propre regard ! La graisse fait alors office de
protection…
Cet échantillon des
structures de personnalité liées aux troubles alimentaires s’appuie
sur plusieurs années d’expérience, d’années de formation,
d’écoute thérapeutique mais également d’une expérience
personnelle déterminante. Ayant grandi dans une famille où la
silhouette était un dogme et l’alimentation une préoccupation
constante, deux types de troubles alimentaires ont touché mes
proches et moi-même. Le premier fut l’obésité avec son florilège
de régimes, plus inefficaces les uns que les autres, comme pour ma
sœur et plusieurs de mes nièces. Le second, l’anorexie, à
laquelle je fus confrontée ainsi que ma fille quelques années plus
tard. J’ai donc personnellement pu mesurer l’importance, la
pertinence et l’efficacité du décodage biologique, véritable
expérience intérieure que je souhaite partager avec le plus grand
nombre aujourd’hui.
Béatrice Bouro-Glisia
Béatrice Bouro-Glisia
Bien, peut-être un nouvel article pour le cas opposé ? :)
RépondreSupprimerCas opposé, c'est quoi pour toi ? Maigreur, anorexie ?
SupprimerEt bien d'une manière plus générale tout ce qui peut faire que l'on a de grandes difficultés à remplumer quoi que l'on fasse par ailleurs comme effort (ossature, muscle ou masse graisseuse).
SupprimerDans cet article il est question d'une origine émotionnelle, mais pour ma demande je ne m'y limiterais pas (origines hormonales, psychologiques diverses, spirituelles, héréditaires etc.). Toute piste est bonne à prendre lorsque l'on investigue sérieusement.
Je vais voir si je trouve quelque chose mais je ne te promets rien.
SupprimerMerci bien :)
SupprimerBon, Néosanté n'a pas encore traité du problème de la maigreur. J'ai fait une rapide recherche sur le net et j'ai trouvé ça, si ça peut t'aider :
Supprimerhttp://www.passeportsante.net/fr/Nutrition/Dietes/Fiche.aspx?doc=maigreur_diete
si ce n'était que génétique ou psychomachinchose, pourquoi tous ceux qui renversent la pyramide nutritionnelle perdent du poids????
RépondreSupprimerOn a démonisé le gras et adulé le sucre, c'est pour ça qu'on grossi, et ce n'est pas en mangeant moins que ça marche les régimes !!!!
Les gens avant n'étaient pas gros, mais ils ne s’empiffraient pas d'aliments hyper glucidiques à longueur d'année comme maintenant, les petits en-cas n'existaient pas et ils mangeaient plus gras, parce que les choses grasses tiennent mieux au corps
Mais maintenant au lieu de revoir de fond en comble la nutrition industrielle et toute sa teneur en sucre, on préfère dire que c'est dans la tête, en fait que tout et n'importe quoi est dans la tête, bientôt on vous dira que si une centrale nucléaire explose et que vous êtes irradiés, vous êtes malade parce que vous avez peur des radiations!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Je ne blague pas du tout en disant ça!!!
Ceux qui changent d'alimentation changent aussi "un peu" dans leur tête MAIS pour combien de temps ?
SupprimerC'est le cerveau archaïque qui gère les problèmes !
Alors oui Changer d'alimentation permet de maigrir mais après dès que la lutte, la guerre, l'affrontement, le sentiment d'abandon s'installe de nouveau la nécessité , parfois LES nécessités, de se protéger reviennent au galop et ce qui n'as pas été guérit dans le fond de la conscience ou de l'âme reprends les commandes ...
Quelle partie de vous "michèle" commande à vos hormones et à vos gènes lors de leurs reproductions ? Et lors de vos renouvellements cellulaires et de vos dendrites et des neurones etc ..
Il y a toute une partie automatique de survie qui est en lien avec notre histoire qui ne nous demande pas notre avis conscient AVANT de décider si il faut stocker quelques kilos ou pas ...!
Et ça n'a rien a voir avec la psychologie, mais la guérison de notre histoire personnelle permet de à notre histoire inconsciente de s'adapter à notre aujourd'hui et de na plus réagir à un avant-hier qui n'existe plus ! ! !
La réalité de notre conscient et de notre corps est "un peu "décalée".
Malheureusement la médecine "classique" n'en as pas souvent l'approche ni la compréhension idéale!
Heureusement des médecins comme l'auteur de cet article, dont Hélios à oublié de nous donner le nom, ont manifestement cette approche sauveuse et guérisseuse.
Oups, elle s'appelle Béatrice Bouro-Glisia. Je vais l'inscrire, merci.
SupprimerIl n'y a pas UN régime alimentaire chez l'humain, mais DEUX... Tout est là.
SupprimerAvant la révolution néolithique - naissance de l'agriculture - ces deux régimes s'alternaient pour l'homme en fonction des saisons, donc par la force des choses. En été du sucre (fruits) à profusion, impeccable pour faire des réserves lipidiques, c'est à ça que ça sert. En hiver PAS DE SUCRE, de la viande, des racines, du gras, plus DU GRAS CORPOREL de réserve bien sûr. Des fois, même rien à manger... On jeûne... La révolution industrielle a finalisé l'anéantissement de la contrainte des saisons sur la nutrition de l'homme...
Les effets ont suivi, et c'est ainsi que la médecine contemporaine s'est développée comme on sait, pour nous permettre de continuer à nous sentir libérés du pénible rythme des saisons. Elle ne sert pour ainsi dire qu'à ça aujourd'hui, à nous permettre de continuer tranquillement de nous empoisonner chaque jour. Cette médecine là est désormais, directement ou indirectement, un acteur clé de la civilisation mondiale courante, qui n'agit typiquement, on ne le sait que trop, qu'en vue du profit pécuniaire ou encore du pouvoir.
Dés lors nous vivons un été nutritionnel permanent, voulant ignorer que le sucre ne procure pas de satiété comme le gras, qu'il génère les radicaux libres, qu'il influe fortement, par sa prise excessive (et purifiée), dans l'évolution de l'obésité, des caries dentaires, des cancers, des maladies dégénératives et cardiovasculaires... Nous gavons même de sucre nos chers animaux familiers, pourtant étiquetés par notre science de "carnivores"...
Un seul savoir, encore tenu tant bien que mal sous la coupe du pouvoir médical, renversera résolument toute la médecine et toutes les industries qui l'accompagnent dans la complicité partagée de taire résolument UN SAVOIR RIGOUREUSEMENT SCIENTIFIQUE, dont la portée commence lentement à être connue. Tout a commencé par une étude marginale des années 1970 (un illuminé, bien sûr, selon la médecine), qui a périclité pour de vraies raisons, puis qui a été reprise par d'autres depuis cinq à dix ans seulement, sous une forme expressément scientifique, c'est à dire avec références dans les incontournables publications à comité de lecture...
Ce savoir est encore confidentiel parce qu'il n'a pas encore fait l'objet d'une synthèse publique massive, mais sa diffusion est réellement commencée et s'avèrera inéluctable, vous verrez... Rappelez vous bien ceci, il y a pour l'homme DEUX régimes alimentaires, qui coïncident avec DEUX mode métaboliques, contraires et complémentaires, concernant l'utilisation de l'énergie par le corps humain et non un seul comme le prône la diététique quand elle dit par exemple : "le cerveau ne peut se nourrir que de glucose", vous l'avez tous lu ou entendu quelque part au moins une fois et c'est tout simplement faux, car il y en a DEUX et personne, absolument personne ne peut prétendre le contraire et rester vraiment scientifique, car les preuves sont indiscutables : l'autre mode est le mode métabolique du nourrisson tant qu'il tête le sein... Il est le mode métabolique du corps en jeûne... Il s'active pour N'IMPORTE QUI jeûnant au sucre (entendons nous bien, dans ce texte, par sucre, nous parlons d'hydrates de carbones ou encore de glucides) et il induit en une semaine des effets "miraculeux" dont tout le monde rêve en malbouffeland... Je mets des guillemets parce que ces effets ne sont absolument pas miraculeux... Ils sont NORMAUX, ils sont tout simplement, pour chacun d'entre nous, à reconquérir sur une dérive culturelle qu'il nous faut amender en tant que civilisation : nous l'enseignerons à nos enfants, tout simplement, et la médecine dégonflera au dixième de ce qu'elle est aujourd'hui...
SupprimerCeux qui, ici, auront reconnu de quel concept il s'agit ne savent pas encore à quel point cette réalité là est décisive pour notre époque, à quel point elle est largement plus importante que TOUT LE RESTE en diététique, car elle est PREMIÈRE en ce domaine, tout simplement...
Ils ne savent pas encore, vous ne savez pas encore, nous attendons pour cela cette synthèse publique massive, que j'essaye gentiment d'amorcer ici comme ça, pour voir, parce que ça me démange, parce que j'aime bien cet endroit et que j'y lis des choses qui me rendent tristes sur des problèmes personnels de santé (dentition récemment par ex) qui ont pour moi UNE SEULE ET UNIQUE APPROCHE CORRECTIVE RATIONNELLE (Gingivite/caries permanentes, surpoids en augmentation avec l'âge (55 ans), problèmes de dos, de foie, d'énergie, amélioration de la beauté du corps et du visage, etc., je n'en ferai pas le tour comme ça).