Un thème qui a fait couler beaucoup d'encre à une époque.
Le triangle du diable revisité
Les théories paranormales seront-elles ou non déboulonnées ?
Par Franck Joseph, Atlantis Rising, mars 2013
[Note d'Hélios : toutes les photos proviennent
d'internet]
Il semblerait que tout a été dit sur la disparition
de bateaux et d'avions dans le dénommé "Triangle des Bermudes"
et publié ou débattu à de multiples reprises depuis presque 70
ans. Pas suffisamment au goût de Jon F. Myhre, officier aviateur
pendant 20 ans dans l'armée US. Myhre a commencé à voler à l'âge
de 12 ans, est devenu pilote en solo trois ans plus tard et c'est
aujourd'hui un pilote commercial et un instructeur de vol. Il fut
aussi le premier enquêteur à s'intéresser au "Triangle des
Bermudes" en se basant exclusivement sur sa propre expérience
professionnelle et en se concentrant sur l'événement le plus
tristement célèbre : la perte inexplicable des cinq appareils
et des 27 hommes du "Vol 19" et de l'hydravion venu à leur rescousse.
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Des "Avengers" identiques à ceux qui ont disparu en décembre 1945 |
Tout disparut dans la partie ouest de l'océan
nord-atlantique qui forme un triangle entre Miami (Floride), San Juan
(Porto Rico) et l'île des Bermudes. Le 5 décembre 1945 en début
d'après-midi, cinq élèves-pilotes décollèrent vers cette zone de
1 million et demi de km² pour une mission d'entraînement de routine
depuis la base aéro-navale de Fort Lauderdale en Floride. Chaque
homme volait sur un Grumman TBM Avenger d'un poids en charge de plus
de 8 tonnes, le monomoteur le plus lourd de la seconde guerre
mondiale, connu pour sa robustesse et sa stabilité. Malgré un vent
soufflant par rafales et des nuages noirs présageant des averses,
les météorologues de la base de Lauderdale décrivaient ces
conditions comme "favorables, état de la mer : agitée à
forte".
Les élèves-pilotes n'étaient pas des novices, ils
avaient 60 heures de vol sur l'Avenger et leur mission était de
former des escadrilles opérationnelles après cet exercice final
d'entraînement connu comme "problème de navigation numéro 1".
Leur but était d'apprendre les principes de la navigation à
l'estime, ils devaient voler plein est jusqu'aux hauts fonds de Hen
and Chicken où ils lâcheraient des bombes à basse altitude (300
mètres). Le vol devait se poursuivre avec ce cap sur 120 km avant de
virer à 346 degrés pendant 135 km, en survolant à cette occasion
l'île de Grand Bahamas. Il fallait ensuite mettre le cap à 241
degrés et poursuivre sur 225 km, au bout desquels l'exercice se
terminerait en faisant virer à gauche les Avengers pour rentrer à
Fort Lauderdale.
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En haut, Training 49 décrit le trajet de l'hydravion le 5 décembre 1945 |
Les pilotes étaient familiers de la région, ayant
survolé l'Atlantique pendant plusieurs missions d'instruction
précédentes et ils avaient pour moniteur le lieutenant Charles
Carroll Taylor, qui avait à son actif environ 2500 heures de vol,
sur des Avengers pour la plupart. Le début du vol 19 se déroula
selon le plan prévu ; 45 minutes après le dernier largage de
bombes, le suivi des transmissions radio indiqua que les deux compas
à bord de l'avion de Taylor étaient devenus inopérants, ce dernier
demanda donc au capitaine E.J. Powers, du corps des Marines, qui
faisait partie de la mission d'entraînement, de lui donner le bon
azimut.
"Je ne sais pas où nous sommes", répondit
Powers. "Nous avons dû nous perdre après le dernier changement
de cap". Aux environs de 18h20, le dernier message de Taylor fut
entendu alors qu'il ordonnait, "Tous les avions en formation
serrée. Nous allons devoir faire un amerrissage forcé. Dès que le
réservoir du premier avion tombe en dessous de dix gallons [45
litres], nous descendrons tous ensemble". La transmission de
Taylor déclencha une opération massive de sauvetage par air et par
mer à laquelle participèrent des centaines de garde-côtes et
personnels de la Navy avec une armada de vaisseaux et d'avions, et
parmi eux deux Martin PBM Mariner. C'étaient d'immenses hydravions
largueurs de bombes, chacun d'eux d'un poids en charge de 25 tonnes
et d'une envergure de 36 mètres. L'un des PBM décolla à 19h27
depuis la base navale de Banana River (aujourd'hui Patrick Air
Force), fut appelé pour un message radio de routine juste trois
minutes plus tard, qui fut le dernier. Pendant cinq jours, selon
Myhre, "plus de 300 avions, 30 bateaux, des milliers de
personnel militaire et des centaines de volontaires civils
ratissèrent presque 1 million de km² de l'Atlantique, des Caraïbes,
du golfe du Mexique et de la péninsule de Floride."
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Hydravion Martin PBM Mariner |
Ils ne trouvèrent aucune trace des Avengers ou du
Mariner et un rapport de 500 pages du bureau d'enquête de la Navy
publié début 1946 déclara qu'on ne pouvait offrir aucune
explication concluante sur ce qui était arrivé aux pilotes ou à
leurs avions. Depuis cette date, les suppositions vont bon train avec
différentes théories, comme un enlèvement par des extraterrestres,
un cristal géant de l'Atlantide qui fonctionnerait toujours au fond
de l'océan, et très récemment, des bulles de méthane sortant du
plancher océanique de temps à autre et qui perturberaient la
durabilité de l'air et de l'eau, faisant ainsi tomber les avions du
ciel et couler les navires.
Le pilote Jon Myhre entendit parler pour la première
fois de l'accident en 1982 lors d'une escale à Nassau dans les
Bahamas et il eut la certitude que la disparition du Vol 19 pouvait
être résolu par une enquête entièrement rationnelle sans la
moindre considération paranormale. Mais la recherche ne fut pas
aussi aisée qu'il le pensait au départ, et elle se poursuivit
pendant le siècle suivant, culminant avec la publication l'année
dernière [en 2012] de Révélations sur le Vol 19 : 30 ans à
la recherche de la patrouille perdue dans le triangle des Bermudes. [photo ci-dessous]
"J'ai interviewé des
centaines de gens", dit Myhre. "Beaucoup connaissaient les
pilotes, avaient participé à la vaste recherche ou avaient une
connaissance personnelle de l'accident. L'un d'eux était le dernier
membre survivant du Bureau d'enquête de la Navy en 1945. J'ai aussi
étudié la géographie de la zone où le Vol 19 avait opéré, les
courants océaniques et la météo. Les données provenaient de
rapports soumis le 5 décembre 1945 par des stations de la côte est
de la Floride et des Bahamas."
Dans la préface, le colonel
Edward L. Chase, retraité de l'US Air Force parle de l'approche
faite par Myhre de ce mystère, "Il n'y a aucune magie dans sa
technique d'investigation. Il n'utilise qu'une solide logique
aéronautique – les caps, les distances, la chronologie, les vents
pour établir un dossier exemplaire sur l'endroit où le Vol 19 a
sombré."
Un examen approfondi des
transcriptions radio, des bulletins météo, de la direction du vent
et des coordonnées de vol convainquirent Myhre que la dernière
mission d'entraînement était une combinaison fatale de mauvais
temps et d'une erreur de pilotage. Pour confirmer sa conclusion, son
livre est de loin la reconstitution la plus détaillée, étape par
étape, du Vol 19 et des efforts de sauvetage en se basant sur des
faits connus. L'utilisation de cartes aéronautiques, de cartes
d'approche aux instruments et d'un calculateur de navigation "me
convainquirent de pouvoir calculer en gros où le premier Avenger
avait sombré dans l'océan Atlantique. Cette déduction s'est basée
sur mon expérience de vol, l'interprétation des conversations radio
transcrites et le fait que je sois un familier des Bahamas."
Ayant rassemblé tous ces facteurs, Myhre démarra des
expéditions sous-marines et fut récompensé par la découverte de
plusieurs bombardiers Avenger récupérés au fond de la mer. L'un
d'eux fut retrouvé pendant la recherche de l'épave de la navette
spatiale Challenger qui explosa en 1986. Malheureusement aucun des
Avengers n'appartenait au Vol 19. Tous avaient été coulés par l'US
Navy comme ayant des défauts ou avaient sombré pendant d'autres
missions d'entraînement dans des circonstances beaucoup moins
énigmatiques. En fait il y eut jusqu'à 95 élèves-pilotes de Fort
Lauderdale qui furent tués pendant des accidents d'entraînement en
Atlantique entre 1942 et 1945.
Myhre pense que deux Avengers du Vol 19 auraient quitté
la formation et seraient aller s'écraser dans les marécages de
Floride et au moins un Grumman TBM y fut découvert dans un coin
perdu. Mais de nouveau, il s'avéra qu'il n'appartenait pas au Vol
19.
Ce qui aurait pu s'approcher le plus de la découverte
de l'un des avions perdus le fut en août 1991, quand il découvrit
un Avenger reposant sens dessus dessous dans les eaux au large de Cap
Canaveral. L'épave gravement endommagée fut remontée à la
surface. En faisant une inspection soigneuse des vestiges, il "trouva
le vague contour de la lettre "M" s'étalant sur 35 cm de
hauteur sur le flanc du fuselage, en dessous et légèrement vers
l'arrière du compartiment d'évacuation d'urgence où se trouvait
d'ailleurs toujours un radeau. Quand la tourelle se tordit pendant la
remontée, elle effaça la lettre M en l'éraflant. Il fut donc
impossible de voir s'il y avait un "T" avec le M, ce qui
aurait fourni une preuve concluante que l'Avenger que nous avions
découvert appartenait au Vol 19, l'identification de son escadrille
étant "MT". Même s'il semblait improbable que cet épave
d'avion fasse partie de la mission d'entraînement disparue, "l'épave
fut vendue ensuite à la ferraille. La question qui brûlait les
lèvres : l'Avenger récupéré provenait-il du Vol 19 ? En
deux mots : probablement". Cela y ressemblait peut-être,
mais ce fut un manque de chance.
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La remontée d'un Avenger en 1991 |
À ce titre, Myhre échoue à présenter la promesse
implicite du titre de son livre, "Découverte du Vol 19".
Au tout début du livre, il déclare que "le principal objectif
de ma quête était de dissiper ces notions ridicules", ou les
tentatives non-conventionnelles s'efforçant de comprendre ce qui
s'est passé le 5 décembre 1945. Personne n'aurait pu apporter une
application plus rigoureuse de la science aéronautique à ce mystère
ni le développer avec des détails aussi documentés. Dans toute
cette indubitable expertise et investigation logique, l'énigme qui
hante les historiens de l'aviation militaire depuis 60 ans continue
de résister à toutes les explications traditionnelles.
Il y a parfois un clin d’œil relatif au paranormal
même dans les pages entièrement traditionnelles du livre de Myhre :
"Vingt-cinq minutes après l'heure programmé pour le début du
briefing du Vol 19, le lieutenant Taylor arriva. Ses quatre élèves
et les neuf membres d'équipage engagés attendaient l'arrivée de
leur chef. Pour des raisons que personne ne saura jamais, Charles
Taylor demanda à son ami, le lieutenant Howard Williams de diriger
le vol d'entraînement. Williams a dit, "Il voulait que je
m'occupe de son vol ce jour-là. Je pense que Taylor a eu une sorte
de prémonition".
Myhre déclare que les deux compas du lieutenant Taylor
sont devenus inopérants avant la disparition du Vol 19 mais il ne
nous dit pas que le non-fonctionnement de l'un des deux compas était
très inhabituel, alors qu'une panne simultanée de deux compas était
virtuellement inconnue. De plus Taylor a passé un appel radio à
l'un de ses élèves, le capitaine Powers, dont le propre compas
semble être pareillement tombé en panne, ce qui suggérait que ceux
installés dans les autres Avengers étaient aussi tombés en panne,
parce que Taylor aurait pu se rabattre sur n'importe quel autre pour
reprendre son cap. Car tous les compas magnétiques – dix en tout –
qui tombent en rade au même moment était une impossibilité
technique, à moins qu'ils aient été affectés par quelque cause
extérieure que Myhre n'est pas disposé à prendre en compte.
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L'auteur du livre posant à côté d'un Avenger |
Il est certainement correct quand il souligne que le
dénommé "Triangle des Bermudes" n'a pas eu la prétention
à faire plus de victimes que toute autre région océanique.
Pourtant il ne parle pas du point évident qui met l'accent sur cette
zone particulière. Quand un navire ou un avion coule en mer, il
laisse invariablement derrière lui une traînée de carburant et des
débris en surface. Cinq Avengers qui seraient tombés ensemble,
selon les derniers ordres envoyés par le lieutenant Taylor, auraient
répandu ensemble 50 gallons (225 litres] de kérosène, car son
intention était de garder les bombardiers en vol jusqu'à ce que
l'un d'entre eux soit descendu en dessous de 10 gallons [45 litres].
Malgré l'état agité de la mer à ce moment-là, le carburant et
les débris dispersés dans la zone auraient été aisément
découverts avec le déploiement des 300 avions et des 30 navires
partis à la rescousse.
La même chose pour l'hydravion Mariner qui a disparu.
Le champ de débris qui aurait couvert la surface de la mer à la
suite d'une explosion n'aurait pu être manqué. Le fait que ce
Martin PBM et cinq autres avions aient disparu à la même heure
approximative, dans sensiblement la même zone, mais pour des causes
supposées différentes, est assez curieux, c'est le moins qu'on
puisse dire. Par ailleurs, Myhre estime que le Mariner envoyé à la
rescousse du Vol 19 a été détruit dans une explosion en plein ciel
causée par des fuites d'émanations gazeuses et il cite une
transmission du SS Gaines Mills [un tanker] qui a rapporté que des
flammes montaient à 30 mètres en brûlant pendant 10 minutes à la
position 28.59° N 80.25°W. Le capitaine Shonna Stanley n'a trouvé
aucun survivant alors que son navire croisait une zone couverte de
pétrole. Le porte-avions USS Solomons a également rapporté avoir
perdu le contact radar avec l'hydravion à la même position et à la
même heure. Mais ces observations ne font qu'approfondir le mystère,
parce que le Mariner fut porté disparu presque deux heures avant que
Stanley ou l'USS Solomons ne fassent leurs signalements.
En se concentrant exclusivement sur ce qui est arrivé au Vol 19,
Myhre néglige de situer sa disparition dans le contexte des autres
disparitions en rapport avec le triangle des Bermudes. Les lecteurs
autrement peu au courant de cette région ne savent pas que d'autres
avions et navires ont été pareillement portés disparus là-bas.
La plus importante fut celle de l'USS Cyclops [navire ravitailleur
charbonnier] de 19.670 tonneaux, qui s'évanouit quelque part après
avoir quitté l'île de la Barbade le 4 mars 1918. Le
lieutenant-commandant G.W. Worley avec 306 passagers et l'équipage
disparurent sans laisser de traces dans la seule et la pire perte en
vies humaines de l'histoire de l'US Navy. La quantité de débris et
de carburant recouvrant la mer sur le lieu du naufrage d'un tel
navire de 165 mètres de long aurait dû être prodigieuse.
Pourtant, pas le moindre morceau de débris ni aucune goutte de fuel
n'ont été retrouvés.
Trois ans plus tard, le Carroll A. Deering, une goélette à cinq mâts, fut retrouvée échouée et abandonnée à Diamond Shoals, près du Cap Hatteraas en Caroline du nord. Le catalogue, déjà copieux, de bateaux perdus ou désertés de la même façon dans le triangle des Bermudes s'épaissit toujours.
Les 5 bombardiers du Vol 19 n'ont pas été les seuls avions engloutis sans rien laisser derrière eux. Le 30 janvier 1948, le Star Tiger, un Avro Tudor IV, avion de ligne appartenant à la compagnie British South American Airways (BSAA), disparut au-dessus de l'Atlantique pendant un vol entre Santa Maria dans les Açores et les Bermudes. Comme pour la mission de sauvetage lancée trois ans plus tôt pour le Vol 19, une recherche de 5 jours impliqua 26 avions volant 882 heures restant en liaison radio avec de nombreux bateaux, mais on ne trouva aucun signe du Star Tiger ni de ses 29 passagers et membres d'équipage.
L'année suivante, un autre Avro Tudor Mark IVB de la BSAA s'évanouit pendant un vol entre les Bermudes et Kingston en Jamaïque avec 13 passagers et 7 membres d'équipage, de nouveau sans aucune trace. Cette disparition avait été précédée par celle d'un Douglas DC-3 transportant 32 personnes pendant un vol entre San Juan, à Puerto Rico et Miami. Il est à remarquer qu'aucun de ses supposés "accidents" n'a laissé de preuve matérielle.
Le pourquoi de ces disparitions qui n'en finissent pas est une question dépassant le cadre du livre de Jon Myhre ou celui de cet article. Mais que le triangle des Bermudes représente un phénomène particulier au pouvoir réel semble ne faire aucun doute.
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USS Cyclops |
Trois ans plus tard, le Carroll A. Deering, une goélette à cinq mâts, fut retrouvée échouée et abandonnée à Diamond Shoals, près du Cap Hatteraas en Caroline du nord. Le catalogue, déjà copieux, de bateaux perdus ou désertés de la même façon dans le triangle des Bermudes s'épaissit toujours.
Les 5 bombardiers du Vol 19 n'ont pas été les seuls avions engloutis sans rien laisser derrière eux. Le 30 janvier 1948, le Star Tiger, un Avro Tudor IV, avion de ligne appartenant à la compagnie British South American Airways (BSAA), disparut au-dessus de l'Atlantique pendant un vol entre Santa Maria dans les Açores et les Bermudes. Comme pour la mission de sauvetage lancée trois ans plus tôt pour le Vol 19, une recherche de 5 jours impliqua 26 avions volant 882 heures restant en liaison radio avec de nombreux bateaux, mais on ne trouva aucun signe du Star Tiger ni de ses 29 passagers et membres d'équipage.
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Tudor IV |
L'année suivante, un autre Avro Tudor Mark IVB de la BSAA s'évanouit pendant un vol entre les Bermudes et Kingston en Jamaïque avec 13 passagers et 7 membres d'équipage, de nouveau sans aucune trace. Cette disparition avait été précédée par celle d'un Douglas DC-3 transportant 32 personnes pendant un vol entre San Juan, à Puerto Rico et Miami. Il est à remarquer qu'aucun de ses supposés "accidents" n'a laissé de preuve matérielle.
Le pourquoi de ces disparitions qui n'en finissent pas est une question dépassant le cadre du livre de Jon Myhre ou celui de cet article. Mais que le triangle des Bermudes représente un phénomène particulier au pouvoir réel semble ne faire aucun doute.
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Pour la liste des bâtiments portés
disparus dans la région du triangle des Bermudes entre 1800 et 2005,
voir ICI.
Ils ont été télé transporté sur Jupiter.
RépondreSupprimerY°
RépondreSupprimerOui, avec une sauce marron aux châtaignes du siècle dernier.
Prochain article, le triangle du diable au sud du Japon....
Non, finalement plutôt un épisode (inédit) de Derrick,
avec la célèbre cascade de la cendre de cigarette sur la nappe.(non doublé !)
Bigre, ils étaient fortiches en ce temps là ;-)
RépondreSupprimerLa remontée d'un Avenger en 1191
Lol, une belle coquille... C'est corrigé. Au moins, tu as lu l'article, merci Dany.
SupprimerY°
RépondreSupprimerOK,;-) à mon humble réalisme plausible contemporain, ces triangles, répartis assez semblablement sur la mappemonde/LeyLanesGrid, sont conjoints d'anciennes pyramides englouties, ensevelies datant d'anciennes civilisations. Entre 15 000 et des millions d'années....
Tout comme Richard Hoagland, j'admets la réalité d'une physique dite "quadrimensionnelle" qui attribue aux formes des effets énergétiques.
Dans notre univers électrique, le soleil nous retransmets (et réciproquement d'ailleurs, comme toutes les planètes d'un système donné) des informations electro-magnétiques qui ont des effets sur l' E-M terrestre (et sur le notre propre individuel, voir communautaire/égrégoric champêtre:-). Du coup la terre bouge, son coeur enfle ou pas, et les tornades électro-magnétiques résultants des équilibrages entrainent des effets climatico-météos dramatiques et nouveaux, à notre mémoire.
Résumé SOTT - Juin 2014 - Météorologies extrêmes et bouleversements planétaires
http://www.youtube.com/watch?v=CkMVbiN_PRE
"Il$ pourraient calmer tout ça en usant de manière empathique et non eugéniste de "leur$" instruments de géo-ingénierie. Le but est une drastique réduction de population, donc...
Et autour des triangles-trou noirs si troublant s'opère le grand mystère de la vie : Y est, Y est plus ! J'le vois, j'le vois plus. Enfin c'est ce qu'on peut interpréter tant qu'on ne voit pas TOUTES les fréquences signant tous les mouvements-échanges d'énergies, heu ...alentour et partout aussi !
On peut polémiquer sur les causes de cette évidente transformation des informations électriques de notre système solaire. Car comme le rapport Dmitri le constate, TOUT le système solaire est en bouleversements, parfois bien supérieurs à notre entendement.
On aurait tendance à oublier Nibiru sous un épais coussins de poussière mentale avec un arrière gout d'escroquerie-à-gogos. Ou le doute d'un false-flag répétitif de cataclysmes prophétiques dont le but reste le même que précité....
Perso, je rajoute l'emprise archontique même sur les reptos qui manipulent les marionnettistes de nos criminels personnels politiques et autres "happy few".
Certains reportages plus EXOPOLITIQUE, d'origines rarement francophone (ben, chez nous y-a pas d'crise, alors pfff !) affirment bien la sous-jacence d'entités sombres dans des milieux influents, finances, médias, religions, politiques ( etc, etc)
31 ALCYON PLÉIADES - INFORMATIONS 2014: Apparitions d'OVNI, Conspirations, phénomènes Etranges...
https://www.youtube.com/watch?v=JOQXzZuZko4&list=UU2JD4uOltGoWsh0x5Md0aTw
Je suppose que si l'épidémie d'ébola avait été subjuguée, par un quelconque charme (MMS ?), ça se saurait. Pareil à Fukuchima, au WIPP, et un peu partout d'autres pertes de territoires viables, de ressources renouvelables, et personne ne parle ni de KESHE, ni d'Autres dont la liste, après avoir réjoui le moral d'éclair de ciel bleu, BLEU, fini par déprimer du fait de sa virtualité dans cette guerre contre la vie.
Snif, Sobs, glou-glou, hips, Bom ! (Paf !)
Tiennez bon, j'arrive ! (bientôt, heu..., là tout de suite j'ai une petite urgence, mais après, sans faute, j'y penserai; ((en pleurant)))
;-Q
LE TRIANGLE DES BERMUDES CACHE T IL UN VORTEX DE TYPE 1, 2, 3 OU 4.
RépondreSupprimerNous avons vu qu’il existe 4 types de Vortex dans l’Univers Généralisé. Pour rappel les Vortex de type :
- 1 permettent de voyager dans l’Espace d’un Univers Multiple vers un autre,
- 2 permettent de voyager dans l’Espace d’un Univers Parallèle vers un autre,
- 3 permettent de voyager dans l’Espace en reliant 2 points appartenant au même Univers Multiple ou appartenant au même Univers Parallèle,
- 4 permettent de relier 2 points appartenant à l’Univers Généralisé en voyageant dans l’Espace et dans le Temps (Porte Spatio-Temporelle, Trou noir, Trou de Ver, Trou Blanc).
Par définition l’UNIVERS GENERALISE est la réunion des Univers Multiples, des Univers Parallèles et du Temps T. La dimension de l’UNIVERS GENERALISE est 5.
Emplacement géographique du Triangle des Bermudes :
La zone géographique que représente le Triangle des Bermudes est très fluctuante selon les récits rapportés et les considérations des écrivains qui ont décrit les mystères liés à cette zone géographique. Selon les auteurs, la zone varie de 500 000 à 1,5 million de kilomètres carrés, ce qui influe sur le nombre des disparitions qu'on y reporte. C'est en février 1964 que Vincent Gaddis dans un article nommé « The Deadly Bermuda Triangle », définit dans le pulp magazine Argosy, la zone géographique que recouvre le Triangle des Bermudes. Cette zone se situe à l'intérieur d'un triangle formé par l'archipel des Bermudes, Miami et San Juan à Porto Rico. Néanmoins, cette zone géographique n'est pas reconnue par l'United States Board on Geographic Names.
Nombreuses sont les disparitions de Navires et d’Astronefs durant ces derniers siècles, le mystère reste total. Je présume qu’il existe une Porte Spatio-Temporelle dans cette zone géographique qui à l’instar d’un Trou Noir aspire tout ce qui est matériel et métallique, les Navires et les Astronefs sont projetés dans le Temps (passé ou futur) dans l’UNIVERS GENERALISE. Suite dans une prochaine rubrique LE TRIANGLE DES BERMUDES CACHE T IL UN VORTEX DE TYPE 1, 2, 3 OU 4.
Alain Mocchetti
Ingénieur en Construction Mécanique et en Automatismes
Diplômé Bac + 5 Universitaire (1985)
UFR Sciences de Metz
alainmocchetti@sfr.fr
alainmocchetti@gmail.com
@AlainMocchetti