Merci à Valérie pour cette traduction.
Une enquête du British Medical
Journal (BMJ) révèle le rôle de conspirateur de Big Pharma
dans l'arnaque de l'Organisation Mondiale de la Santé pour la
pandémie de grippe H1N1 de 2009
16 février 2014 par Ethan A. Huff
L'OMS fait l'objet d'une nouvelle
enquête destinée à dévoiler ce qui s'est vraiment passé lors de
la pandémie mondiale de grippe de 2009, qui a conduit des dizaines
de millions de personnes à se faire vacciner contre ce que l'on
appelle la "grippe porcine". Une enquête conjointe du BMJ
et du Bureau d'Enquêtes Journalistiques (BEJ) a déjà révélé des
conflits d'intérêts majeurs au sein de l'OMS, au moyen desquels les
compagnies fabricant des vaccins ont grandement profité de la
pandémie et de l'hystérie collective qu'elle a générée.
L'enquête s'est concentrée
principalement sur le comité de conseils d'urgence qui a été
assigné à faire des recommandations officielles à l'OMS sur les
moyens de planifier une pandémie sujette à controverse depuis le
début. Au sein de ce jury consultatif se trouvaient des individus en
lien très proche avec des sociétés pharmaceutiques, annoncent le
BMJ et le BEJ, beaucoup d'entre elles ayant des intérêts financiers
personnels dans la promotion de médicaments antiviraux et de vaccins
contre la grippe, qui se sont avérés responsables de narcolepsie et
d'autres troubles.
Big Pharma aurait investi 4 milliards
de dollars dans la fabrication de vaccins contre la grippe porcine
dont la promotion sera lancée ensuite par l'OMS vers le public à
coup de propagande et en jouant sur la peur. Et la raison pour
laquelle l'OMS a si facilement accepté ces médicaments comme une
réponse valable à cette pandémie est que les principaux
conseillers, dont beaucoup sont toujours inconnus car gardés
soigneusement dans l'ombre, ont travaillé pour le compte de
l'industrie des vaccins pour que ces médicaments soient mis en
vedettes dans le processus de planification de la pandémie.
"Les scientifiques-clés qui
conseillent l'Organisation Mondiale de la Santé sur la planification
des pandémies de grippe ont exécuté un travail rémunéré pour
des entreprises pharmaceutiques, qui comptaient bien tirer bénéfice
de la supervision en préparation" explique le rapport de
l'enquête conjointe. "Ces conflits d'intérêt n'ont jamais été
rendus publique par l'OMS, et l'OMS a rejeté les investigations sur
sa manière de gérer la pandémie de grippe A/ H1N1 en les
qualifiant de "théories conspirationnistes".
L'hystérie de la pandémie de
grippe a conduit les gouvernements à acheter d'énormes quantités
de médicaments et de vaccins qui n'ont jamais été utilisés.
Le but final était bien sûr de
convaincre autant de gouvernements que possible dans le monde d'acheter de gros stocks de médicaments
antiviraux comme le Tamiflu et le Relenza, et des vaccins comme le
Pandemrix, pour faire des profits massifs. Certains de ces
médicaments n'ont jamais prouvé leur efficacité, encore moins leur
sécurité, et ils ont pourtant été largement distribués comme
étant le "remède" d'urgence du H1N1.
Le Tamiflu et le Relenza sont sur le
marché depuis la fin des années 1990, mais la FDA (Food and Drug
Administration) et autres régulateurs ont du rendre élastiques les
fragiles données reçues sur ces deux médicaments produits par ses
fabricants respectifs pour les approuver. Il s'avère que la FDA
s'est opposée tout d'abord à recommander le Relenza, fabriqué par
GlaxoSmithKline, durant la pandémie, parce qu'elle manquait
sérieusement d'informations sur sa sécurité et son efficacité –
mais l'agence a plus tard changé d'avis.
"Vérification faite par le Dr
Michael Elashoff (qui avait accès aux informations personnelles des
patients et aux résumés des rapports d'étude) le comité
consultatif de la FDA a voté par 13 voix contre 4 sur la
non-approbation du Relenza en se basant sur le fait qu'il n'était
pas plus efficace qu'un placebo quand les patients prenaient d'autres
médicaments tels que le paracétamol," ajoute le rapport. "Le
point de vue du Dr Elashoff était que le Relenza ne valait pas mieux
qu'un placebo – et qu'il avait des effets secondaires."
L'opération pandémie, comme beaucoup
de personnes le savent maintenant, s'est finalement révélée être
un fiasco total. Beaucoup de gens ont fini par refuser les
médicaments et les vaccins que le gouvernement les encourageait à
prendre, ce qui signifie que ces médicaments et vaccins payés avec
les impôts sont aujourd'hui stockés inutilement dans le monde avec
une date d'expiration qui approche.
Vous pouvez lire le rapport complet de
l'enquête conjointe faite par le BEJ sur la corruption de l'OMS
pendant la pandémie H1N1 de 2009 en visitant le site ci-dessous :
Traduit par Valérie pour le BBB.
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