C'est ce que la science dominante veut nous faire croire. Et puis la génétique permet de jouer aux "apprentis sorciers" pour le "bien" de l'humanité...
Tout peut-il dépendre de
l'ADN ?
Les champs morphogénétiques
et l'avenir de nos gènes
Par Christina Sarich (extrait du site Waking
Times)
Traduit par Hélios
Nos gènes sont depuis
longtemps l'objet de battages médiatiques, décidant d'une sentence
de mort ou d'une touche de génie, nous gratifiant d'une santé
parfaite et d'une vivacité d'esprit ou d'un cancer, d'une maladie
neurologique ou d'une "anomalie" congénitale. Et si notre
destinée était déterminée par quelque chose d'autre ? Et si
nos gènes n'étaient simplement que des constituants de base et
qu'une plus grande intelligence était responsable de notre capacité
à faire un lancer franc au basket ou à mourir à 46 ans d'une
prédisposition génétique aux arrêts cardiaques ?
Le déterminisme génétique
est l'idée que les gènes, à l'exclusion de l'environnement ou du
domaine de notre conscience et de notre expérience, déterminent
comment se fabrique un organisme. On pourrait en parler comme d'une
version extrême de l'inné versus l'acquis, où notre ADN nous dit
tout ce qu'il est possible de savoir sur notre devenir.
L'idée sus-mentionnée
impose que la programmation générationnelle soit la grande
responsable. Nous sommes devenus en fait si obsédés par les gènes
que tout est prétexte à faire des tests – rechercher les gènes
du cancer du sein ou des ovaires jusqu'aux indices se rapportant à
nos racines ancestrales. Ce n'est pas que ce genre d'information ne
soit pas utile, voire amusant, mais il peut s'avérer faussement
restrictif. Même si nous apprenons que nos
arrière-arrière-grand-parents aimaient pêcher ou avaient des
cheveux roux, nous pouvons aussi de tomber sur des "gènes"
moins plaisants qui présagent de conséquences plus sombres.