Il est conseillé
de lire la description des préparatifs avant la renaissance (ICI)
avant d'aborder ce qui suit.
Transcription manuelle du livre par Hélios.
Transcription manuelle du livre par Hélios.
La renaissance est
une expérience profonde. Les âmes qui s'apprêtent à revenir sur
terre ressemblent à des vétérans qui se préparent au combat.
C'est leur dernière chance de goûter à l'omniscience qui leur
donne une parfaite connaissance d'elles-mêmes, avant de s'adapter à
un nouveau corps. Ma dernière étude de cas [de ce livre] présente
une femme qui nous offre une description détaillée de son plus
récent retour sur terre.
Cas n°29
Michael Newton
(N) : Êtes-vous prête à renaître ?
Sujet
(S) : Oui, le moment est venu.
N : Qu'est-ce
qui occupe vos pensées ?
S :
L'occasion de vivre au 20ème siècle. C'est une époque
excitante, extrêmement changeante.
N : Et vous
avez eu la chance d'entrevoir cette vie, du moins en partie ?
S :
Oui... je suis passée par là...
(le sujet semble distrait)
N : Y a-t-il
quelque chose à propos de votre prochaine incarnation dont vous
aimeriez me parler ?
S :
J'ai eu un dernier entretien avec mon guide sur toutes les
possibilités de mon projet.
N : Peut-on
considérer que c'est votre dernier entretien avec votre guide avant
votre départ ?
S :
Oui, je le suppose.
N : Cela vous
aiderait-il si vous parliez des plans que vous avez préparés pour
votre prochaine vie en cas d'imprévus ?
S :
(d'une voix sèche et plutôt faible) Je... crois que tout
est en ordre...
N : Et comment
ça s'est passé dans la classe de reconnaissance ? Je présume
que cette phase préparatoire est terminée ?
S
(encore distraite) Euh... oui, j'ai rencontré les autres
participants à mon projet.
N : Les signes
vous permettant de rencontrer les bonnes personnes au bon moment
sont-ils clairs dans votre esprit ?
S :
(riant nerveusement) Ah... les signes... Mes ententes avec
les autres... Oui, tout est fait.
N : Sans
analyser ou censurer vos impressions de quelque façon que ce soit,
dites-moi ce que vous ressentez en ce moment.
S :
Je désire seulement me recueillir en vue... du grand saut
dans une nouvelle vie... Je ressens de l'appréhension, mais
également de l'enthousiasme.
N : Vous avez
peut-être un peu peur et vous vous demandez si c'est une bonne chose de
revenir sur terre ?
S :
(pause et ensuite plus d'entrain) Un peu... inquiète... à
cause de ce qui m'attend... quitter mon foyer ici... mais également
contente de l'occasion qui m'est offerte.
N : Ainsi
plusieurs émotions vous habitent à l'idée de quitter l'au-delà ?
S :
La plupart d'entre nous sommes dans cet état lorsque le
moment approche. Il m'arrive d'y penser à deux fois avant certaines
vies... mais mon guide le sait lorsque je suis en retard sur mon
horaire – on ne peut rien cacher ici, vous savez.
N : D'accord.
Maintenant décrivez-moi ce qui vous arrive.
S :
Je dis au revoir à tout le monde. Cela peut être...
difficile. (le sujet redresse la
tête avec détermination) De toute façon, tous espèrent
que tout ira bien pour moi et je m'éloigne... flottant seule. Rien
ne presse. Mon guide me permet de rassembler mes idées. Lorsque je
suis à peu près prête, il vient pour m'escorter... pour
m'encourager... me rassurer... et il sait quand je suis prête à
partir.
N : Je sens
que vous êtes maintenant plus optimiste à la perspective de
renaître.
S :
Oui, c'est une période d'inspiration et d'espérances...
un nouveau corps... le cours de la vie qui se déroule devant moi...
(…) N :
C'est bien. Maintenant vous êtes en compagnie de votre guide, prête
à quitter l'au-delà. Je veux que vous regardiez profondément en
vous-même et que vous m'expliquiez ce qui se passe ensuite, comme si
vous avanciez au ralenti. Allez-y !
S :
(pause) Nous commençons à nous déplacer... à une plus
grande vitesse. Ensuite je suis consciente que mon guide se détache
de moi... puis je suis seule.
N : Que
voyez-vous et que ressentez-vous ?
S :
Oh, je...
N :
Focalisez-vous sur ce que vous ressentez ! Vous êtes seule et
vous vous déplacez plus rapidement. Qu'arrive-t-il ensuite ?
S :
(d'une voix faible) ... Loin... le long d'une pente... à
travers des coussins d'une grande blancheur... m'éloignant...
N : Restez sur
cette expérience ! Continuez et dites-moi ce qui se passe.
S :
Oh, je... passe à travers les plis d'un tissu soyeux...
lisse... je suis sur une bande... un sentier... de plus en plus
vite...
N :
Continuez ! Parlez-moi sans arrêt.
S :
Tout est confus... je glisse vers le bas... dans un long
tube obscur... la sensation d'un creux... ténèbres... puis...
chaleur !
N : Où
êtes-vous maintenant ?
S :
(pause) J'ai conscience d'être dans ma mère.
N : Qui
êtes-vous ?
S :
(gloussant) Je suis dans un bébé – je suis un bébé.
(...)
Avant de poursuivre
avec ce cas, j'aimerais donner des informations d'ordre plus général
sur les âmes et les nourrissons. Tous mes sujets me disent que la
transition de l'âme lors d'une naissance est relativement plus
rapide que lors d'un décès. Pourquoi donc cette différence ?
Après la mort physique, nos âmes voyagent à travers le tunnel
temporel et empruntent le passage qui mène à l'au-delà de façon
progressive. Ce départ est intentionnellement graduel, afin de
permettre à l'âme, tout juste libérée de son corps, de
s'acclimater. En revanche, lorsque l'âme intègre le corps d'un
nouveau-né, elle est omnisciente, ce qui accélère son ajustement à
son nouvel environnement. La période qui précède la naissance lui
donne également davantage de temps pour s'adapter.
Le fait de passer
neuf mois dans le ventre de notre mère ne signifie pas que nous
sommes préparés au choc brutal de la naissance, où nous sommes
aveuglés par les lumières puissantes des hôpitaux, soumis tout à
coup à la nécessité de respirer et manipulés pour la première
fois. Mes sujets me disent que le choc physique de la naissance
est plus grand que celui de la mort. Avant la naissance, l'âme
entrera prudemment en contact avec le cerveau impressionnable et en
développement du fœtus, et s'y joindra de manière approfondie.
Lorsque l'âme décide de s'unir au corps d'un bébé, ce dernier n'a
pas de choix : il doit l'accueillir. Dès que l'âme intègre le
corps du bébé, sa vie chronologique commence. Selon l'âme, la
connexion aura lieu au début ou à la fin de la grossesse de la
mère. Certains de mes sujets ont planifié leur arrivée au dernier
moment, durant l'accouchement, mais cela se produit rarement. Mes
découvertes indiquent que, même lorsque les âmes se joignent
précocement au fœtus, elles voyagent beaucoup durant la grossesse.
Après la
naissance, l'union de l'âme et du corps s'est solidifiée :
c'est devenu un partenariat. Bien que j'ai affirmé que des âmes
peuvent être confinées et limitées dans le corps d'un être humain
traumatisé, elles n'en sont jamais prisonnières. Mise à part la
séparation définitive de l'âme et du corps au moment de la mort,
l'âme peut sortir du corps durant le sommeil, au cours d'une
méditation ou d'une anesthésie générale [phénomène
de NDE]. Les absences de l'âme peuvent être plus longues
lorsque le cerveau est sévèrement atteint ou lorsqu'une personne
est dans le coma.
Notre sujet continue sa description en expliquant la beauté
créatrice d'une âme qui entre dans le corps d'un nouveau-né.
N : Bien, je suis heureux de constater que vous êtes arrivée
saine et sauve dans votre nouveau corps. Dites-moi, quel âge a ce
bébé ?
S : Cinq mois ont passé (depuis la conception).
N : Est-ce à ce stade de développement du fœtus que vous
arrivez habituellement ?
S : Au cours de mes vies... je suis arrivée à différents
moments...selon l'enfant, la mère et ma vie future.
N : Votre âme est-elle en situation de détresse lorsque la
mère accouche avant terme, que ce soit volontairement ou non ?
S : Nous savons à l'avance si un fœtus doit parvenir au
terme de son développement, alors nous ne sommes pas surpris
lorsqu'il meurt en cours de route. Il arrive que nous restions dans
les parages uniquement pour réconforter l'enfant.
N : Alors si un fœtus n'arrive pas à terme, cela signifie-t-il
que votre mission avorte également ?
S : Non, car de toute façon, il n'y a jamais eu de vie de
prévue pour cet enfant.
N : Est-il possible que certains fœtus avortés n'aient jamais
eu d'âme ?
S : Cela dépend de leur stade de développement. La plupart
du temps, ceux qui meurent très précocement n'ont pas besoin de
nous.
N : Savez-vous à quel moment les âmes ont l'habitude de s'unir
aux fœtus qui arrivent à terme ?
S : Oh, certaines âmes flottent plus que d'autres, entrant
et sortant du corps du fœtus jusqu'à la naissance parce qu'elles
s'ennuient.
N : Que faites-vous d'habitude ?
S : J'imagine que je me situe dans la moyenne. En fait, je ne
passe pas beaucoup de temps avec les bébés parce que c'est plutôt
ennuyeux.
N : Bien. Prenons, par exemple, la situation dans le sein de
votre mère actuelle et laissons le temps passer. Que faites-vous
quand vous n'êtes pas avec le fœtus ?
S : Vous voulez la vérité ? Eh bien, il est acceptable
de partir et de paresser... lorsque le bébé est moins actif. Je
m'amuse avec mes amis qui font la même chose. Nous bondissons autour
de la Terre et nous rendons visite à nos amis... nous allons dans
des endroits intéressants... où nous avons déjà vécu ensemble
lors de vies passées.
N : N'avez-vous pas l'impression, vous et vos amis, que ces
longues périodes en dehors du corps du fœtus sont une façon
d'éluder vos responsabilités inhérentes à votre mission sur
terre ?
S (sur la défensive) Oh n'exagérez rien ! Qui a parlé de
longues périodes de temps ? Je ne fais pas ça ! De toute
façon, nos exercices difficiles n'ont pas encore commencé.
N : Lorsque vous quittez le bébé pour un certain temps, sur
quel plan astral vous trouvez-vous par rapport à la Terre ?
S : Nous restons sur le plan terrestre... et nous essayons
également de ne pas trop nous laisser distraire. Nous restons autant
que possible dans le voisinage du bébé quand nous jouons les joyeux
drilles. Je ne veux pas vous laisser l'impression qu'il n'y a rien à
faire avec les bébés avant la naissance.
N: Ah bon !
S : (continuant) Je suis occupée avec cet esprit tout neuf,
même s'il n'est pas tout à fait au point.
N : Pourquoi ne parlons-nous pas davantage de tout cela ?
Lorsque l'âme s'unit à un bébé, c'est pour habiter ce nouveau
corps l'espace d'une vie. Donnez-moi une idée de tout cela.
S : (après un profond soupir) Lorsque je m'attache à un
enfant, il est nécessaire que mon esprit se synchronise avec le
cerveau du bébé. Nous devons nous habituer l'un à l'autre.
N : D'autres personnes ont témoigné dans le même sens, mais
est-ce que le bébé et vous ressentez de l'affinité l'un pour
l'autre dès le début ?
S : Bien... Je suis dans l'esprit de l'enfant, mais j'en suis
également séparé. J'y vais progressivement au début.
N : Pourquoi ne m'expliquez-vous pas ce que vous faites avec
l'esprit du bébé ?
S : C'est une tâche délicate qui ne peut être précipitée.
Je commence par sonder doucement... définissant les connexions...
ouvertures... chaque esprit est différent.
N : Existe-t-il des conflits entre l'enfant et vous ?
S : (doucement) Ah... il y a une légère résistance au
début... une ombre de résistance lorsque j'établis les passages...
c'est rare... jusqu'à ce qu'on se familiarise. (le sujet s'arrête
un moment et rit doucement) Je bute sans cesse contre moi-même !
N : Lorsque vous vous intégrez au bébé, à quel moment
devient-il réceptif à la puissance de votre identité spirituelle ?
S : Le mot "puissance" me dérange. Nous ne forçons
jamais rien lorsque nous pénétrons dans le corps d'un fœtus.
J'établis mes lignes, mon traçage, avec grand soin.
N : Cela vous a-t-il pris beaucoup de vies avant de pouvoir vous
frayer un chemin dans l'esprit humain ?
S : Euh... un certain temps... Les nouvelles âmes reçoivent
de l'aide pour le traçage.
N : Puisque vous représentez de l'énergie pure, tracez-vous
votre route en utilisant les connexions du cerveau, par exemple les
neurotransmetteurs, les cellules nerveuses, etc. ?
S : (pause) Quelque chose comme ça... Toutefois, je ne
dérange rien... lorsque j'apprends à connaître la structure des
ondes cérébrales du bébé.
N : Faites-vous référence aux circuits de régulation de la
pensée ?
S : La façon dont cette personne traduit les signaux. Sa
capacité de le faire. Il n'y a pas deux enfants semblables.
N : Soyez franche avec moi. La vérité n'est-elle pas que vous
prenez possession de l'esprit du fœtus et que vous le soumettez à
votre volonté ?
S : Vous ne comprenez pas. C'est une combinaison. Il y avait
un... vide avant mon arrivée, vide que je comble afin que l'enfant
soit entier.
N : Est-ce vous qui amenez l'intellect ?
S : Nous développons ce qui est là.
N : Pourriez-vous expliquer avec plus de précision ce que votre
âme apporte au corps humain ?
S : Nous apportons une... compréhension des choses... nous
confirmons ce que le cerveau perçoit.
N : Êtes-vous certaine que cet enfant ne vous perçoit pas au
premier abord comme une entité étrangère à son esprit ?
S : Non. C'est la raison pour laquelle nous nous intégrons à
des esprits qui ne sont pas développés. Ils nous reconnaissent
comme un ami... un jumeau... qui fera partie d'eux. C'est comme si le
bébé attendait mon arrivée.
N : Croyez-vous qu'une puissance supérieure prépare le bébé
à vous accueillir ?
S : Je l'ignore, mais il semblerait que oui.
N : Votre travail d'unification est-il achevé avant la
naissance ?
S : Pas vraiment, mais au moment de la naissance, nous avons
commencé à nous compléter l'un l'autre.
N : Ainsi, le processus d'unification prend du temps ?
S : Certainement, le temps que nous nous adaptions l'un à
l'autre. Et comme je vous l'ai dit, je quitte le fœtus de temps en
temps.
N : Mais qu'en est-il de ces âmes qui s'unissent aux bébés à
la dernière minute, juste avant la naissance ?
S : Hum, c'est leur style, pas le mien. Elles doivent
commencer leur travail "au berceau".
N : Jusqu'à quel âge l'âme continue-t-elle à quitter le
corps de l'enfant ?
S : Jusqu'à cinq ou six ans. Habituellement, nous sommes
complètement opérationnels lorsque l'enfant commence l'école.
Avant cet âge, les enfants peuvent très souvent être laissés
seuls.
N : N'avez-vous pas pour devoir de toujours rester avec le
corps ?
S : Si les choses tournent mal physiquement – je reviens
sur-le-champ.
N : Comment pouvez-vous le savoir si vous faites le pitre avec
les autres âmes ?
S : Chaque cerveau a sa propre structure d'ondes cérébrales
– comme une empreinte. Nous savons immédiatement si le bébé
auquel nous avons été assigné est en difficulté.
N : Ainsi, vous surveillez constamment le bébé qui vous est
assigné – à l'intérieur comme à l'extérieur – au cours des
premiers stades de la croissance ?
S : (avec fierté) Oh oui ! Et je surveille les parents.
Ils peuvent se disputer autour du bébé, ce qui émet de mauvaises
vibrations.
N : Et dans ce cas, que faites-vous ?
S : Rassurer l'enfant du mieux que je le peux. Communiquer
avec les parents à travers le bébé afin de les calmer.
N : Donnez-moi un exemple de la façon dont vous communiquez
avec les parents.
S : Oh, agripper ou boxer gentiment le visage de mes parents
avec mes menottes, histoire de les faire rire et de rire à mon
tour... Vous savez, ces choses qui font craquer les parents.
N : Est-ce que vous pouvez maîtriser les mouvements du bébé ?
S : Je suis... moi. Je peux faire légèrement pression sur
les parties du cerveau qui maîtrisent les mouvements. Je peux
également chatouiller les endroits sensibles, parfois... Je fais
tout ce qu'il faut pour ramener l'harmonie dans ma famille.
N : Décrivez-moi comment on se sent dans le ventre de sa mère.
S : Une sensation d'amour chaleureux et confortable règne...
La plupart du temps, c'est l'amour qui est présent... parfois, c'est
l'anxiété. De toute façon, j'utilise cette période pour planifier
ce que je ferai après la naissance. Je songe à mes vies passées et
aux occasions ratées dans d'autres corps et cela me motive.
N : La mémoire de nos vies passées et de votre vie dans
l'au-delà n'est pas bloquée ?
S : Cela commence après la naissance.
N : À la naissance, est-ce que le bébé pense à l'âme qui
s'est attachée à lui et aux raisons de leur association ?
S : L'esprit de l'enfant est si embryonnaire qu'il ne peut
pas traiter cette information. Il possède une partie de ce savoir,
mais c'est pour le réconforter ; après ce réconfort
s'estompe. Lorsque j'arrive à l'âge de la parole, ce savoir est
profondément enfoui en moi, et c'est ainsi que les choses doivent se
passer.
N : Ainsi, vous aurez des éclairs de conscience où le souvenir
de vos précédentes enfances remontera ?
S : Oui... nous rêvassons... notre façon de jouer lorsque
nous sommes enfants... créant des histoires... ayant des amis
imaginaires qui sont réels... mais cela s'estompe. Les bébés et
les jeunes enfants en savent plus qu'on veut bien le croire.
N : Maintenant, vous êtes sur le point de naître. Dites-moi ce
que vous faites.
S : J'écoute de la musique.
N : Quelle musique ?
S : J'écoute les disques que mon père passe – cela le
détend beaucoup – ça l'aide à penser – je suis un peu inquiète
à son sujet...
N : Pourquoi ?
S : (pouffant de rire) Il pense qu'il veut un garçon, mais
je le ferai changer d'avis très rapidement !
N : C'est un moment productif pour vous alors ?
S : (avec détermination) Oui, je suis très occupée à
planifier l'instant où je ferai mon entrée dans le monde en tant
qu'être humain et où je prendrai mon premier souffle. Il ne me sera
plus donner de contempler tranquillement ma vie à venir. Et lorsque
je sortirai, je serai opérationnelle.
Bonjour ou bonsoir,
RépondreSupprimerje voudrais savoir si ce livre contient des réponses et/ou des explications:
- à propos des foetus qui vont naitre avec la trisomie 21 ou d'autres variations génétiques ou des syndromes comme Asperger par ex., ou bien de maladies à probabilité variable de transmission en famille(diabète, hypertension, cancer, etc.) est ce que l'âme s'adapte et/ou est déjà au courant que le foetus aura un handicap ou une maladie?
- est ce qu'il y a aussi des explications concernant les bébés nés avec une fente labio palatine? Des anciennes coutumes disent que le filtrum ou philtrum (la zone entre le nez et la lèvre supérieure) serait une marque des anges Gabriel ou Lailah ou autres noms selon croyances. Les bébés nés avec une fente labio palatine n'ont pas de philtrum, donc les anges n'ont pas pu effacer leur mémoire d'avant naissance?
HS...mais trop belle histoire !
RépondreSupprimerhttp://lesmoutonsenrages.fr/2015/07/12/le-pouvoir-de-la-musique-magnifique-histoire/
HS
RépondreSupprimerhttp://www.veoh.com/watch/v76352360rkz2Rp7k?h1=Lila+Rhiyourhi%2C+m%C3%A9decin+du+ciel
J'adore : Médecin du ciel !
Croyez vous sérieusement à ces choses ?
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